Bonjour, On a eu ce genre de problĂšme... Tous les jours je mettais une tapette, tous les matins j'avias un mulot oui je sais ça n'est pas bien de tuer des petites bĂȘtes, mignonnes en plus, mais bon trop c'est trop ! Je ne sais pas par oĂč ils entraient, mais on en retrouvait sans arrĂȘt dans la cuisine, sous les meubles... et pas moyen de trouver par oĂč ils passaient. Ils pullulaient chez le voisin qui a un assez grand terrain et venaient chez nous en promenade. Et puis on a repris un chat aprĂšs 2 ans de deuil du prĂ©cĂ©dent, et ma femme en a voulu un second, pour pas que le premier s'ennuie ! Ben sur les mulots, plus de problĂšme, et pourtant il y a plein de bouffe pour les oiseaux dehors. De tant en temps le chat celui des 2 qui franchit la grille nous en rapporte un pour nous faire plaisir, mais on ne voit plus de bestiole chez nous. Le chat est la solution la plus efficace, je pense, encore faut-il que ton chat soit un peu chasseur ce qui est pourtant le plus souvent le cas. Alors peut-ĂȘtre que ton chat est un peu fainĂ©ant comme le dit une blague, tant qu'il Ă©tait stagiaire ça allait, mais maintenant qu'il est titularisĂ© ! Alors peut-ĂȘtre en reprendre un en CDD ? Sinon et blague Ă part, c'est sĂ»r que pour se mettre au chaud une bonne couverture en laine de mouton c'est super. Si tu inspectes tu reconnaitras les endroits oĂč ils se planquent car il y a toujours des dĂ©chets, des coques souvent, des accumulations de toutes sortes. Sinon, envoie le chat faire une formation ?
Banane PĂȘche. Poire. Brocoli. Le pain dur. Fromage. Viande. Un aspect important que vous ne devez pas oublier Ă propos de l'alimentation de la souris est le fait que vous devez absolument Ă©viter de lui donner des aliments toxiques pour eux, comme c'est le cas du chocolat, de l'ail et de l'oignon. Une bonne hydratation est Ă©galement
Comment identifier un rongeur ? Quelles sont les caractĂ©ristiques qui les diffĂ©rencient les uns des autres ? Sont-ils tous dangereux ? Et quels sont ceux qui aiment infester les habitations des humains ? Voici lâarticle qui rĂ©pond avec le maximum dâinformation sur ces questions. Comment identifier un rongeur parmi dâautres ? Il y a un grand nombre de rongeurs qui se ressemblent, par consĂ©quent certaines personnes ont tendance Ă les confondre et nâarrivent pas Ă bien identifier un rongeur et le distinguer des autres. Pour identifier un rongeur avec les diffĂ©rentes espĂšces, ce nâest pas vraiment Ă©vident pour celui qui nâa pas lâhabitude ou qui ne possĂšde pas lâĆil de lâexpert. Voici alors quelques exemples de rongeurs qui existent en France et europe, avec chacun ses caractĂ©ristiques et quelques informations utiles sur leurs morphologies et leurs rĂ©gimes alimentaires respectifs. 1. La souris La souris comme on lâa soulignĂ© a beaucoup de cousins avec lesquels on pourrait facilement la confondre. Il est donc nĂ©cessaire de connaitre quelques caractĂ©ristiques propres Ă ce rongeur, notamment comportementales, physiques et nutritionnelles. a. La morphologie de la souris et son systĂšme de reproduction La souris la plus commune qui envahit les maisons mesure entre 6 et 10 cm avec une queue qui peut atteindre les 9cm. Son poids varie entre 15 et 30 grammes selon son Ăąge ainsi que son rĂ©gime alimentaire. La souris possĂšde de grandes oreilles qui sont amplement rondes et des yeux plus ou moins larges. Le pelage de cette bestiole est de couleur gris qui tend vers le brun mais qui sâobserve gĂ©nĂ©ralement en noir avec lâĆil humain. Ces petits mammifĂšres, comme tous les rongeurs possĂšdent une paire dâincisives qui leur sert Ă ronger des objets. Câest des animaux que vous pouvez apercevoir dans la journĂ©e mais qui activent principalement la nuit. Les souris sont pubĂšres Ă seulement 2 mois, les femelles peuvent en consĂ©quence commencer Ă porter des petits dĂšs cet Ăąge-lĂ et elles peuvent aller jusquâĂ 10 portĂ©es par an. Leur durĂ©e de gestation est de 2 semaines et elles donnent Ă chaque portĂ©e 5 Ă 6 souriceaux. b. Lâhabitat et lâalimentation de la souris La souris est lâune des rares bĂȘtes appartenant aux rongeurs qui sâadaptent aux changements Ă la fois environnementaux et alimentaires. Suivant leurs instincts primaires qui sont en lâoccurrence la reproduction et la survie, elles se sĂ©dentarisent dans tous les coins qui peuvent correspondre Ă ces besoins notamment les habiations des humains. La moyenne de vie des souris est dâune annĂ©e, mais celles qui vivent longtemps vont jusquâĂ 18 ou 22 mois. Leur rĂ©gime alimentaire nâest pas strict et sâadaptent Ă la nourriture qui se trouve dans lâenvironnement oĂč elles se nichent. NĂ©anmoins elles ont quand-mĂȘme des prĂ©fĂ©rences, notamment pour des goĂ»ts et des odeurs qui les attirent. Naturellement ses bestioles se nourrissent des cĂ©rĂ©ales, des lĂ©gumineuses et des noix, mais lorsquâelles se trouvent dans une maison elles peuvent se nourrir de toutes les alimentations qui sây trouvent. 2. Le rat noir Le rat est peut-ĂȘtre beaucoup plus facile Ă reconnaitre et Ă identifier parmi les rongeurs. Il est spĂ©cifiĂ© par une grandeur physique trĂšs remarquable par rapport Ă une souris ou un mulot et une couleur Ă©vidente. Il a en effet un comportement largement diffĂ©rent et un rĂ©gime alimentaire lĂ©gĂšrement distinct de ses derniers. Le terme rat est une vulgarisation en langue française de deux types de rongeurs qui sont du genre Rattus , de famille Muridae qui sont en fait le rat noir et rat dâĂ©gouts. a. Les caractĂ©ristiques physiques du rat Le rat noir ou rat des champs est dâorigine asiatique son nom scientifique est Rattus Rattus. Il est quasiment noir, il pĂšse en moyenne 230g, il mesure sans compter la queue entre 35 et 45cm. La taille de cette derniĂšre varie entre 13 et 15 cm. Son cousin le rat dâĂ©gouts ou le surmulot est scientifiquement appelĂ© Rattus Norvigicus et il est originaire dâAsie orientale plus prĂ©cisĂ©ment de chine. En fonction de sa nourriture trĂšs diversifiĂ©e le surmulot pĂšse entre 280 Ă 400g, il est dâailleurs plus arrondi et plus gros que son proche. Par contre il possĂšde une taille similaire avec ce dernier. Le pelage du rat dâĂ©gouts est de couleur gris et sa queue est en moyenne de 14cm. Hormis les distinctions morphologiques, les deux types de rats diffĂšrent sur le comportement, le rĂ©gime alimentaire ainsi que sur le systĂšme de reproduction. b. Le comportement des rats Le surmulot prĂ©fĂšre les habitats plus sombres et plus bas comme les Ă©gouts ou bien dans des caves ou des sous-sols lorsquâil sâagit dâune maison. Concernant le rat noir et contrairement Ă son cousin, il prĂ©fĂšre des terriers quand il est dans les champs ou les greniers et les tuiles lorsquâil se trouve dans une maison. Le rĂ©gime alimentaire du rongeur norvĂ©gien est visiblement anarchique et se nourrit de toutes les alimentations, pourvu que ça dĂ©gage une odeur intense et attirante. Le rongeur des greniers quant Ă lui, son alimentation est plutĂŽt stricte et mange des graines, fruits et lĂ©gumes secs, quoiquâil puisse transformer son rĂ©gime alimentaire lorsquâil a faim. Si on est infectĂ© par des rats et on est curieux de savoir de quel type il sâagit, on peut se fier aux caractĂ©ristiques citĂ©es ci-dessus sâil y a possibilitĂ©. En outre, il est possible de reconnaitre la nature de lâinfestation par les excrĂ©ments de ces animaux si on en retrouve. Les crottes du rat noir sont petites et pointues sur les cĂŽtĂ©s, contrairement Ă celles du surmulot qui sont grosses et arrondies sur les extrĂ©mitĂ©s. Les rats dâĂ©gouts sont plus rĂ©sistants et plus reproductifs que leurs cousins, leur espĂ©rance de vie peut aller jusquâĂ 60 mois. Le nombre de portĂ©e de la femelle est de 4 Ă 7 fois par an comptant Ă chaque fois une moyenne de 10 nouveau-nĂ©s. Les rats des greniers quant Ă eux, se reproduisent 5 fois par an et donnent naissance de 6 Ă 7 ratons sur chaque portĂ©e. Leur durĂ©e de vie par rapport Ă celle du surmulot est largement plus faible, elle varie entre 9 et 14 mois. 3. Le ragondin Le ragondin nâest nullement difficile Ă identifier ni encore moins Ă distinguer des autres rongeurs, il est diffĂ©rent tant sur les caractĂ©ristiques physique que comportementales. a. Lâorigine et le physique du ragondin Cet animal est dâorigine Sud-AmĂ©ricaine, il a Ă©tĂ© importĂ© en Europe notamment en France dans les annĂ©es 1800 pour exploiter sa fourrure. Il a Ă©tĂ© vite relĂąchĂ© dans la nature, ce qui a rĂ©sultĂ© sa prolifĂ©ration dans tout le territoire europĂ©en en particulier français oĂč il y a dĂ©sormais une trĂšs forte prĂ©sence. Il possĂšde lui aussi des incisives, ce qui le met dans la catĂ©gorie des rongeurs du genre Myocastor, qui appartient Ă la famille Myocastoridae. Le Ragondin est lâun des rongeurs les plus gros, il mesure environ 45 Ă 60 cm et sa queue peut atteindre les 50 cm. Il pĂšse en moyenne 7kg, toutefois les spĂ©cimens les plus gros dĂ©passent les 9kg parfois. b. Les agissements du ragondin Ce mammifĂšre possĂšde contrairement aux autres cousins deux paires dâincisives, une dans la partie supĂ©rieure et une autre dans la partie infĂ©rieure de la mĂąchoire. Elles sont de couleur orange et sont plus grosses, plus dures et plus tranchantes. La fourrure de cet animal est de couleur brun avec des nuances qui tendent vers le noir et parfois au gris. Le ragondin peut rester sous lâeau jusquâĂ 5 minutes et il est en effet un animal semi-aquatique. Par consĂ©quent il creuse ses terriers prĂšs des eaux dans des berges. La femelle de cet animal peut faire 3 portĂ©es par an et donner naissance Ă chaque fois 4 Ă 7 petits ragondins. Contrairement aux autres rongeurs, le ragondin nâest pas omnivore et se nourrit de cĂ©rĂ©ales, lĂ©gumes, herbeâŠce qui fait de lui une bĂȘte totalement herbivore. 4. Le mulot Le mulot a certes des spĂ©cificitĂ©s propres, nĂ©anmoins pour une personne lambda il peut facilement ĂȘtre confondu avec dâautres petits rongeurs. De ces derniers il est beaucoup plus proche de la souris, notamment en ce qui concerne les caractĂ©ristiques physiques. a. Cycle de vie et apparences du mulot Bien quâils se ressemblent, le mulot est relativement plus grand et plus gros quâune souris. Il pĂšse en moyenne 20g mais ceux qui se nourrissent rĂ©guliĂšrement Ă lâĂąge adulte peuvent atteindre les 30g. La taille de ce rongeur hors queue diffĂšre dâun spĂ©cimen Ă un autre, mais la mesure moyenne est de 13cm. Le mulot est de couleur brun qui nuance vers le roux, traversĂ© par des bandes noires sur le dos, et avec du blanc sur le ventre. Les aspects les plus communs entre la souris et le mulot sont les oreilles rondes et longues, des yeux grands et un museau lĂ©gĂšrement pointu. Le cycle de vie du mulot est remarquablement plus faible que celui de la souris. Ils se reproduisent 2 Ă 3 fois par an et donnent Ă chaque fois naissance 4 Ă 6 nouveau-nĂ©s. Ce rongeur comme tous les autres, agit et sâactive principalement la nuit. Son espĂ©rance de vie est dâune moyenne de 7 mois. b. Habitat et rĂ©gime alimentaire du mulot Le mulot est de nature moins rĂ©sistante et sâadaptent mal aux changements nutritionnels et environnementaux. Il vit dans les champs oĂč il creuse des terriers pour se nicher et se nourrit des insectes, cĂ©rĂ©ales et de champignonsâŠqui sây trouvent. En revanche, il peut lorsquâil est contraint par le manque de nourriture Ă lâextĂ©rieur renter dans une demeure humaine et manger ainsi de tout ce qui peut se trouver. Le mulot possĂšde une capacitĂ© de saut exceptionnelle, pouvant atteindre parfois jusquâĂ 1m de long. 5. Le loir Câest un rongeur qui possĂšde certes des comportements et apparences proches avec ses cousins, toutefois il a des caractĂ©ristiques diffĂ©rentes qui nous permettent de lâidentifier facilement. Le loir le plus commun et rĂ©pandu dâEurope est le loir gris, il est dâailleurs appelĂ© ainsi pour son pelage qui porte cette couleur. Cet animal mesure entre 15 et 20cm de long avec une queue touffue qui varie de 11 Ă 19cm. Son poids va de 90 Ă 250g selon son lâĂąge. Les yeux dâun loir sont aussi grands que celles dâune souris, les oreilles sont relativement plus longues et un museau beaucoup plus pointu. Quoique le loir puisse sâaventurer dans de cas rares dans les maisons, il est quasiment une bestiole qui habite dans les champs. MalgrĂ© son physique extrĂȘmement minuscule, son espĂ©rance de vie peut aller jusquâĂ 9 ou 10 ans. Comme la majoritĂ© des petits rongeurs, il est omnivore, il se nourrit Ă cet effet des graines, cĂ©rĂ©ales et les insectes qui sont Ă sa portĂ©e. 6. Le rat musquĂ© Le rat musquĂ© possĂšde beaucoup de ressemblances avec le ragondin, Ă la fois morphologiques et comportementales. Cependant il existe des diffĂ©rences trĂšs visibles sur les deux derniers aspects qui peuvent nous permettre de distinguer les deux animaux. a. CaractĂ©ristiques morphologiques et origine du rat musquĂ© Le rat musquĂ© est comme son proche citĂ© ci-dessus, une bestiole dâorigine sud-amĂ©ricaine qui a Ă©tĂ© importĂ©e en Europe afin dâexploiter sa fourrure. Lâanimal a Ă©tĂ© au dĂ©but Ă©levĂ© dans des lieux rĂ©servĂ©s, mais il a fini ensuite par ĂȘtre relĂąchĂ© dans la nature ce qui a rĂ©sultĂ© une prolifĂ©ration massive dans son nouveau continent. Il pĂšse entre et et mesure environ 35cm, sa fourrure dure et brillante est dâune couleur marronne qui tend vers le noir. Par rapport Ă son visage rond et relativement grand, les yeux et les oreilles sont trop petits, en ayant un museau lĂ©gĂšrement pointu. La queue du rat musquĂ© nâest pas touffue et varie entre 20 et 25 cm de long. b. Comportement du rat musquĂ© Câest un animal trĂšs dĂ©pendant de lâhumiditĂ© et se niche dans des terriers Ă proximitĂ© des berges des riviĂšres. Il est un trĂšs bon nageur et peut rester sous lâeau plusieurs minutes. LâespĂ©rance de vie du rat musquĂ© est de 3 ans mais lorsquâils sont en captivitĂ© peuvent vieillir et aller jusquâĂ 9 ans. La durĂ©e de gestation de la femelle de ce rongeur nâest que de 30 Jours, elle fait gĂ©nĂ©ralement 3 portĂ©es par an et donne naissance Ă 7 petits Ă chaque fois. Le rat musquĂ© est essentiellement herbivore et se nourrit de vĂ©gĂ©taux. Quoiquâen hiver il peut transformer son rĂ©gime alimentaire et se nourrir des petits animaux aquatiques et autres insectes. 7. identifier Le rat taupier Le rat taupier ou le campagnol terrestre ressemble beaucoup Ă certains rongeurs en particulier ceux qui portent ce nom, mais peut ĂȘtre diffĂ©renciĂ© par certaines caractĂ©ristiques notamment sa grandeur. Câest pour cela dâailleurs quâil porte une autre dĂ©nomination qui est le grand campagnol. a. Environnement et morphologie du rat taupier Celui-ci mesure entre 12 et 22 cm et une queue qui va de 5 Ă 6cm, le poids de cette bĂȘte est de 300g Ă lâĂąge adulte. Son museau est arrondi, les yeux et oreilles sont trĂšs petits par rapport Ă la taille di visage. Le pelage du rat taupier est brun foncĂ© dans le dos et un beige qui nuance vers le blanc dans le ventre. Lâhabitat naturel du campagnol terrestre est dans les champs oĂč il creuse des terriers pour se nicher. Pourtant lorsquâil trouve de la nourriture dans des jardins ou prĂšs des maisons il peut changer Ă la fois son habitat et son rĂ©gime alimentaire. b. RĂ©gime alimentaire et reproduction Son alimentation est totalement basĂ©e sur la vĂ©gĂ©tation, il se nourrit des bulbes et des tubercules mais aussi des racines notamment celles des arbres, rĂ©sultant parfois des dĂ©gĂąts trĂšs consĂ©quents pour la nature, ce qui met cet animal dans la catĂ©gorie des nuisibles. Concernant la durĂ©e de vie, le grand campagnol nâest guĂšre chanceux, il vit en moyenne 7 mois seulement. Sa prolifĂ©ration par contre est trĂšs intense due aux nombreuses portĂ© de la femelle par an, qui donnent naissance Ă 6 nouveau-nĂ©s en moyenne Ă chaque fois. 8. Les deux types de campagnol A moins que ça soit un connaisseur, il est difficile pour une personne quelconque de faire la diffĂ©rence entre les deux types de campagnols qui seront le sujet de ce titre. Les animaux en question sont le campagnol provençal et le campagnol des champs. Ils ont quelques apparences physiques et des agissements diffĂ©rents mais sont dâune façon gĂ©nĂ©rale trĂšs similaires. a. SpĂ©cificitĂ©s physiques des deux campagnols Le poids et la taille sont Ă peu prĂšs Ă©quivalents chez les deux rongeurs. Ils pĂšsent en effet lorsquâils sont adultes en moyenne 30g. Mais ça varie dâune bestiole Ă une autre. Ils mesurent 8 Ă 11cm avec une queue qui va de 2 Ă 3cm selon lâĂąge du campagnol. Les yeux sont remarquablement imposants sur la tĂȘte, contrairement aux oreilles, plus petites, qui sont dâailleurs cachĂ©es par la fourrure. Lâautre aspect commun est leur museau arrondi qui les diffĂ©rencie dâune façon flagrante des autres rongeurs de leur allure. La diffĂ©renciation entre ces deux campagnols peut sâapercevoir faiblement sur le pelage, qui prend la couleur brun-jaunĂątre chez celui des champs et brun-roux chez son proche provençal. b. Comportement des campagnols Les vraies distinctions des deux campagnols peuvent sâobserver surtout sur lâhabitat mais se rejoignent encore une fois en ayant dâautres comportements quasiment identiques Le campagnol des champs vit principalement comme son nom lâindique dans les bois, mais qui se trouvent dans de zones montagneuses. Contrairement au campagnol provençal qui habite les plaines et les territoires proches de la mer. Pour se nicher, ils creusent des galeries souterraines avec plusieurs ouvertures et sorties qui peuvent parfois avoir 50cm de profondeur. La maturitĂ© sexuelle est atteinte par les deux spĂ©cimens au bout dâun mois seulement, les femelles peuvent ainsi porter et donner naissance jusquâĂ 10 nouveau-nĂ©s tout en sachant quâelles se reproduisent en moyenne 4 fois par an. Les campagnols sont herbivores et convoitent les parties infĂ©rieures des plantes notamment les racines, mais sâalimentent aussi des fruits et graines qui se trouvent dans leur environnement. A rappeler que le blog est un blog dâinformation gĂ©nĂ©ral et ne peut remplacer en aucun cas les conseils avisĂ©s dâun professionnel de la dĂ©sinfection dans le domaine dâĂ©radication des nuisibles ni ceux dâun mĂ©decin en ce qui concerne la santĂ©. Liens utiles Liste des maladies transmises par les rats PiĂšge Ă souris comment tuer une souris ou un rat facilement Raticide professionnel Caussade oĂč peut se cacher une souris dans un appartement Comment chasser les souris de la maison Que mange une souris dans une maison? PiĂšges Ă loir et lĂ©rot DiffĂ©rence entre souris et mulot Quel remĂšde de grand-mĂšre contre les mulots ? PiĂšge Ă souris non mortel Les souris sont-elles dangereuses? 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UneprotĂ©ine, impliquĂ©e dans la cognition et stockant des souvenirs Ă long terme, ressemble et fonctionne comme une protĂ©ine de virus. La protĂ©ine, appelĂ©e Arc, possĂšde des propriĂ©tĂ©s similaires Ă celles que les virus utilisent pour infecter les cellules hĂŽtes et provient dâun Ă©vĂ©nement Ă©volutionnaire accidentel qui sâest produit il y a des centaines de millions dâannĂ©es.
L'histoire complĂšte de la petite poucette Poucette ou la petite poucette est un conte d'Andersen qui raconte l'histoire une fille nĂ©e dans une fleur, chantant d'une voix mĂ©lodieuse et qui va vivre de folles aventures. Un conte magique d'Andersen ! Retrouvez encore plus d'idĂ©es de Petite Poucette La naissance de poucette Une femme dĂ©sirait beaucoup avoir un petit enfant ; mais, ne sachant comment y parvenir, elle alla trouver une vieille sorciĂšre et lui dit Je voudrais avoir un petit enfant ; dis-moi ce quâil faut faire pour cela. â Ce nâest pas bien difficile, rĂ©pondit la sorciĂšre ; voici un grain dâorge qui nâest pas de la nature de celle qui croĂźt dans les champs du paysan ou que mangent les poules. Mets-le dans un pot de fleurs, et tu verras. â Merci », dit la femme, en donnant douze sous Ă la sorciĂšre. Puis elle rentra chez elle, et planta le grain dâorge. BientĂŽt elle vit sortir de la terre une grande belle fleur ressemblant Ă une tulipe, mais encore en bouton. Quelle jolie fleur ! » dit la femme en dĂ©posant un baiser sur ces feuilles rouges et jaunes ; et au mĂȘme instant la fleur sâouvrit avec un grand bruit. On voyait maintenant que câĂ©tait une vraie tulipe ; mais dans lâintĂ©rieur, sur le fond vert, Ă©tait assise une toute petite fille, fine et charmante, haute dâun pouce tout au plus. Aussi on lâappela la petite Poucette. Elle reçut pour berceau une coque de noix bien vernie ; pour matelas des feuilles de violette ; et pour couverture une feuille de rose. Elle y dormait pendant la nuit ; mais le jour elle jouait sur la table, oĂč la femme plaçait une assiette remplie dâeau entourĂ©e dâune guirlande de fleurs. Dans cette assiette nageait une grande feuille de tulipe sur laquelle la petite Poucette pouvait sâasseoir et voguer dâun bord Ă lâautre, Ă lâaide de deux crins blancs de cheval qui lui servaient de rames. Elle offrait ainsi un spectacle charmant ; et puis elle savait chanter dâune voix si douce et si mĂ©lodieuse, quâon nâen avait jamais entendu de semblable. Poucette et les crapauds Une nuit, pendant quâelle dormait, un vilain crapaud entra dans la chambre par un carreau brisĂ©. Cet affreux animal, Ă©norme et tout humide, sauta sur la table oĂč dormait Poucette, recouverte de sa feuille de rose. Quelle jolie femme pour mon fils ! » dit le crapaud. Il prit la coque de noix et, sortant par le mĂȘme carreau, il emporta la petite dans le jardin. LĂ coulait un large ruisseau dont lâun des bords touchait Ă un marais. CâĂ©tait dans ce marais quâhabitait le crapaud avec son fils. Sale et hideux, ce dernier ressemblait tout Ă fait Ă son pĂšre. Coac ! coac ! brekke-ke-kex ! sâĂ©cria-t-il en apercevant la charmante petite fille dans la coque de noix. â Ne parle pas si haut ! tu la rĂ©veillerais, dit le vieux crapaud. Elle pourrait encore nous Ă©chapper, car elle est lĂ©gĂšre comme le duvet du cygne. Nous allons la placer sur une large feuille de bardane au milieu du ruisseau. Elle sera lĂ comme dans une Ăźle, et ne pourra plus se sauver. Pendant ce temps, nous prĂ©parerons, au fond du marais, la grande chambre qui vous servira de demeure. » Puis le crapaud sauta dans lâeau pour choisir une grande feuille de bardane, retenue au bord par la tige, et il y plaça la coque de noix oĂč dormait la petite Poucette. Lorsque la pauvre petite, en sâĂ©veillant le lendemain matin, vit oĂč elle Ă©tait, elle se mit Ă pleurer amĂšrement ; car lâeau lâentourait de tous cĂŽtĂ©s, et elle ne pouvait plus retourner Ă terre. Le vieux crapaud, aprĂšs avoir ornĂ© la chambre au fond du marais avec des roseaux et de petites fleurs jaunes, nagea en compagnie de son fils vers la petite feuille oĂč se trouvait Poucette, pour prendre le gentil petit lit et le transporter dans la chambre. Il sâinclina profondĂ©ment dans lâeau devant elle en disant Je te prĂ©sente mon fils, ton futur Ă©poux. Je vous prĂ©pare une demeure magnifique au fond du marais. â Coac ! coac ! brekke-ke-kex ! » ajouta le fils. Ensuite ils prirent le lit et sâĂ©loignĂšrent, pendant que la petite Poucette, seule sur la feuille verte, pleurait de chagrin en pensant au vilain crapaud, et au mariage dont elle Ă©tait menacĂ©e avec son hideux fils. Poucette est sauvĂ©e par les poissons Les petits poissons avaient entendu ce que disait le crapaud, et cela leur donna envie de voir la petite fille. Au premier coup dâoeil, ils la trouvĂšrent si gentille, quâils lâestimĂšrent bien malheureuse dâĂ©pouser le vilain crapaud. Ce mariage ne devait jamais avoir lieu ! Ils se rassemblĂšrent autour de la tige qui retenait la feuille, la coupĂšrent avec leurs dents, et la feuille emporta alors la petite si loin sur la riviĂšre, que les crapauds ne purent plus lâatteindre. Poucette passa devant bien des endroits, et les oiseaux des buissons chantaient en la voyant Quelle charmante petite demoiselle ! » La feuille, flottant toujours plus loin, plus loin, lui fit faire un vĂ©ritable voyage. Chemin faisant, un joli papillon blanc se mit Ă voltiger autour dâelle et finit par se poser sur la feuille, ne pouvant admirer assez la jeune fille. Poucette, bien contente dâavoir Ă©chappĂ© au vilain crapaud, se rĂ©jouissait de toute la magnificence de la nature et de lâaspect de lâeau, que le soleil faisait briller comme de lâor. Elle prit sa ceinture, et, aprĂšs en avoir attachĂ© un bout au papillon, lâautre Ă la feuille, elle avança plus rapidement encore. Poucette est capturĂ©e par le hanneton Tout Ă coup un grand hanneton vint Ă passer, et, lâayant aperçue, il entoura son corps dĂ©licat de ses pattes et sâenvola avec elle dans un arbre. Quant Ă la feuille verte, elle continua Ă descendre la riviĂšre avec le papillon, qui ne pouvait sâen dĂ©tacher. Dieu sait quelle fut la frayeur de la pauvre petite Poucette quand le hanneton lâemporta dans lâarbre ! Cependant elle plaignait surtout le beau papillon blanc quâelle avait attachĂ© Ă la feuille, et qui mourrait de faim, sâil ne parvenait pas Ă sâen dĂ©faire. Mais le hanneton ne se souciait pas de tout cela ; il la fit asseoir sur la plus grande feuille de lâarbre, la rĂ©gala du suc des fleurs, et quoiquâelle ne ressemblĂąt nullement Ă un hanneton, il lui fit mille compliments de sa beautĂ©. BientĂŽt tous les autres hannetons habitant le mĂȘme arbre vinrent lui rendre visite. Les demoiselles hannetons, en la voyant, remuĂšrent leurs antennes et dirent Quelle misĂšre ! elle nâa que deux jambes. â Et pas dâantennes, ajouta une dâelles ; elle est maigre, svelte, elle ressemble Ă un homme. Oh ! quelle est laide ! » Cependant la petite Poucette Ă©tait charmante ; mais, quoique le hanneton qui lâavait enlevĂ©e la trouvĂąt belle, en entendant les autres, il finit par la croire laide et ne voulut plus dâelle. On la fit donc descendre de lâarbre, et on la posa sur une pĂąquerette en lui rendant sa libertĂ©. La petite poucette est perdu La petite se mit Ă pleurer de ce que les hannetons lâavaient renvoyĂ©e Ă cause de sa laideur ; cependant elle Ă©tait on ne peut plus ravissante. La petite Poucette passa ainsi lâĂ©tĂ© toute seule dans la grande forĂȘt. Elle tressa un lit de paille quâelle suspendit au-dessous dâune feuille de bardane pour se garantir de la pluie. Elle se nourrissait du suc des fleurs et buvait la rosĂ©e qui tombait le matin sur les feuilles. Ainsi se passĂšrent lâĂ©tĂ© et lâautomne ; mais voici lâhiver, le long hiver si rude qui arrive. Tous les oiseaux qui lâavaient amusĂ©e par leur chant sâĂ©loignĂšrent, les arbres furent dĂ©pouillĂ©s, les fleurs se flĂ©trirent, et la grande feuille de bardane sous laquelle elle demeurait se roula sur elle-mĂȘme, ne formant plus quâune tige sĂšche et jaune. La pauvre petite fille souffrit dâautant plus du froid, que ses habits commençaient Ă tomber en lambeaux. BientĂŽt arrivĂšrent les neiges, et chaque flocon qui tombait sur elle lui produisait le mĂȘme effet que nous en produirait Ă nous toute une pelletĂ©e. Bien quâelle sâenveloppĂąt dâune feuille sĂšche, elle ne pouvait parvenir Ă se rĂ©chauffer ; elle allait mourir de froid. Poucette chez la souris PrĂšs de la forĂȘt se trouvait un grand champ de blĂ©, mais on nây voyait que le chaume hĂ©rissant la terre gelĂ©e. Ce fut pour la pauvre petite comme une nouvelle forĂȘt Ă parcourir. Toute grelottante, elle arriva Ă la demeure dâune souris des champs. On y entrait par un petit trou, sous les pailles ; la souris Ă©tait bien logĂ©e, possĂ©dait une piĂšce pleine de grains, une belle cuisine et une salle Ă manger. La petite Poucette se prĂ©senta Ă la porte comme mendiante et demanda un grain dâorge, car elle nâavait rien mangĂ© depuis deux jours. Pauvre petite ! rĂ©pondit la vieille souris des champs, qui, au fond, avait bon coeur, viens manger avec moi dans ma chambre ; il y fait chaud. » Puis elle se prit dâaffection pour Poucette, et ajouta Je te permets de passer lâhiver ici ; mais Ă condition que tu tiennes ma chambre bien propre, et que tu me racontes quelques jolies histoires ; je les adore. » La petite fille accepta cette offre et nâeut pas Ă sâen plaindre. Nous allons recevoir une visite, dit un jour la vieille souris ; mon voisin a lâhabitude de venir me voir une fois par semaine. Il est encore bien plus Ă son aise que moi ; il a de grands salons et porte une magnifique pelisse de velours. Sâil voulait tâĂ©pouser, tu serais bien heureuse, car il nây voit goutte. Raconte-lui tes plus belles histoires. » Mais Poucette nâavait pas trop envie dâĂ©pouser le voisin ; ce nâĂ©tait quâune taupe. Couverte de sa pelisse de velours noir, elle ne tarda pas Ă rendre sa visite. La conversation roula sur ses richesses et sur son instruction ; mais la taupe parlait mal des fleurs et du soleil, car elle ne les avait jamais vus. La petite Poucette lui chanta plusieurs chansons, entre autres Hanneton, vole, vole, vole ! » et Quand le moine vient aux champs. » La taupe, enchantĂ©e de sa belle voix, dĂ©sira aussitĂŽt une union qui lui promettait tant dâagrĂ©ments ; mais elle nâen dit pas un mot, car câĂ©tait une personne rĂ©flĂ©chie. Pour faire plaisir Ă ses voisines, elle leur permit de se promener Ă leur grĂ© dans une grande allĂ©e souterraine quâelle venait de creuser entre les deux habitations ; mais elle les pria de ne pas sâeffrayer dâun oiseau mort qui se trouvait sur le passage, et quâon y avait enterrĂ© au commencement de lâhiver. Poucette et l'oiseau La premiĂšre fois que ses voisines profitĂšrent de cette aimable offre, la taupe les prĂ©cĂ©da dans ce long et sombre corridor, tenant entre ses dents un morceau de vieux bois, brillant de phosphore, pour les Ă©clairer. ArrivĂ©e Ă lâendroit oĂč gisait lâoiseau mort, elle enleva de son large museau une partie de la terre du plafond, et fit ainsi un trou par lequel la lumiĂšre pĂ©nĂ©tra. Au milieu du corridor sâĂ©tendait par terre le corps dâune hirondelle, sans doute morte de faim, dont les ailes Ă©taient serrĂ©es aux cĂŽtĂ©s, la tĂȘte et les pieds cachĂ©s sous les plumes. Ce spectacle fit bien mal Ă la petite Poucette ; elle aimait tant les petits oiseaux qui, pendant tout lâĂ©tĂ©, lâavaient Ă©gayĂ©e de leurs chants ! Mais la taupe poussa lâhirondelle de ses pattes et dit Elle ne sifflera plus ! quel malheur, que de naĂźtre oiseau ! Dieu merci, aucun de mes enfants ne subira un sort aussi malheureux. Une telle crĂ©ature nâa pour toute fortune que son Quivit ! quivit ! et lâhiver elle meurt de faim. â Vous parlez sagement ! rĂ©pondit la vieille souris ; le quivit ! ne rapporte rien ; câest juste ce quâil faut pour pĂ©rir dans la misĂšre cependant il y en a qui se pavanent dâorgueil de savoir chanter. » Poucette ne dit rien ; mais, lorsque les deux autres eurent tournĂ© le dos Ă lâoiseau, elle se pencha vers lui, et, Ă©cartant les plumes qui couvraient sa tĂȘte, elle dĂ©posa un baiser sur ses yeux fermĂ©s. Câest peut-ĂȘtre le mĂȘme qui chantait si gentiment pour moi cet Ă©tĂ©, pensa-t-elle ; pauvre petit oiseau, que je te plains ! » La taupe, aprĂšs avoir bouchĂ© le trou, reconduisit les dames chez elle. Ne pouvant dormir de toute la nuit, la petite Poucette se leva et tressa un joli tapis de foin quâelle porta dans lâallĂ©e et Ă©tendit sur lâoiseau mort. Puis elle lui mit de chaque cĂŽtĂ© un tas de coton quâelle avait trouvĂ© chez la souris, comme si elle craignait que la fraĂźcheur de la terre ne fĂźt mal Ă ce corps inanimĂ©. Adieu, bel oiseau ! dit-elle, adieu ! Merci de ta belle chanson qui me rĂ©jouissait tant pendant la douce saison de lâĂ©tĂ©, oĂč je pouvais admirer la verdure et me rĂ©chauffer au soleil. » Ă ces mots, elle appuya sa tĂȘte sur la poitrine de lâhirondelle ; mais aussitĂŽt elle se leva tout effrayĂ©e, elle avait entendu un lĂ©ger battement il provenait du coeur de lâoiseau, qui nâĂ©tait pas mort, mais seulement engourdi. La chaleur lâavait rendu Ă la vie. En automne, les hirondelles retournent aux pays chauds, et si une dâelles sâattarde en route, le froid la fait bientĂŽt tomber Ă terre comme morte, et la neige sâĂ©tend sur elle. Poucette tremblait encore de frayeur ; comparĂ©e Ă elle, dont la taille nâexcĂ©dait pas un pouce, lâhirondelle paraissait un gĂ©ant. Cependant elle prit courage, serra bien le coton autour du pauvre oiseau, alla chercher une feuille de menthe qui lui servait de couverture, et la lui posa sur la tĂȘte. La nuit suivante, se rendant encore auprĂšs du malade, elle le trouva vivant, mais si faible que ses yeux sâouvrirent Ă peine un instant pour regarder la petite fille, qui tenait Ă la main, pour toute lumiĂšre, un morceau de vieux bois luisant. Je te remercie, charmante petite enfant, dit lâoiseau souffrant ; tu mâas bien rĂ©chauffĂ©. Dans peu, je reprendrai toutes mes forces et je mâenvolerai dans lâair, aux rayons du soleil. â HĂ©las ! rĂ©pondit Poucette, il fait froid dehors, il neige, il gĂšle ; reste dans ton lit. Jâaurai soin de toi. » Ensuite, elle lui apporta de lâeau dans une feuille de fleur. Lâoiseau but et lui raconta comment, ayant dĂ©chirĂ© une de ses ailes Ă un buisson dâĂ©pines, il nâavait pu suivre les autres aux pays chauds. Il avait fini par tomber Ă terre, et, de ce moment, il ne se rappelait plus rien de ce qui lui Ă©tait arrivĂ©. Pendant tout lâhiver, Ă lâinsu de la souris et de la taupe, la petite Poucette soigna ainsi lâhirondelle avec la plus grande affection. Ă lâarrivĂ©e du printemps, lorsque le soleil commença Ă rĂ©chauffer la terre, lâoiseau fit ses adieux Ă la petite fille, qui rouvrit le trou pratiquĂ© autrefois par la taupe. Lâhirondelle pria sa bienfaitrice de lâaccompagner dans la forĂȘt verte, assise sur son dos. Mais Poucette savait que son dĂ©part causerait du chagrin Ă la vieille souris des champs. Non, dit-elle, je ne le puis. â Adieu donc, adieu, charmante petite enfant ! » rĂ©pondit lâhirondelle en sâenvolant au soleil. Poucette la regarda partir, les larmes aux yeux ; elle aimait tant la gentille hirondelle ! Quivit ! quivit ! » fit encore une fois lâoiseau, puis il disparut. Le chagrin de Poucette fut dâautant plus grand, quâelle ne put plus sortir et se rĂ©chauffer au soleil. Le blĂ© poussait sur la maison de la souris des champs, formant dĂ©jĂ pour la pauvre petite fille, haute dâun pouce, une vĂ©ritable forĂȘt. Cet Ă©tĂ©, tu travailleras Ă ton trousseau, lui dit la souris, car lâennuyeuse taupe Ă la pelisse noire avait demandĂ© la main de Poucette. Pour Ă©pouser la taupe, il faut que tu sois convenablement pourvue de vĂȘtements et de linge. » La petite fut obligĂ©e de prendre la quenouille, et la souris des champs employa en outre Ă la journĂ©e quatre araignĂ©es qui filaient sans relĂąche. Tous les soirs, la taupe leur rendait visite et leur parlait des ennuis de lâĂ©tĂ©, qui rend la terre brĂ»lante et insupportable. Aussi la noce ne se ferait quâĂ la fin de la saison. En attendant, la petite Poucette allait tous les jours, au lever et au coucher du soleil, Ă la porte, oĂč elle regardait, Ă travers les Ă©pis agitĂ©s par le vent, lâazur du ciel, en admirant la beautĂ© de la nature et en pensant Ă lâhirondelle chĂ©rie ; mais lâhirondelle Ă©tait loin, et ne reviendrait peut-ĂȘtre jamais. Lâautomne arriva et Poucette avait achevĂ© son trousseau. Dans quatre semaines la noce ! » lui dit la souris. Et la pauvre enfant pleura ; elle ne voulait pas Ă©pouser lâennuyeuse taupe. Quelle bĂȘtise ! sâĂ©cria la souris ; ne sois pas entĂȘtĂ©e, ou je te mordrai de ma dent blanche. Tu devrais tâestimer bien heureuse dâĂ©pouser un aussi bel homme, qui porte une pelisse de velours noir dont la reine elle-mĂȘme nâa pas la pareille. Tu devrais remercier le bon Dieu de trouver une cuisine et une cave si bien garnies." Poucette s'envole sur une hirondelle Le jour de la noce arriva. La taupe se prĂ©senta pour emmener la petite Poucette sous la terre, oĂč elle ne verrait plus jamais le brillant soleil, attendu que son mari ne pouvait pas le supporter. Chez la souris des champs, il lui Ă©tait au moins permis dâaller le regarder Ă la porte. Adieu, beau soleil ! dit-elle dâun air affligĂ©, en Ă©levant ses bras. Adieu donc ! puisque je suis condamnĂ©e Ă vivre dĂ©sormais dans ces tristes lieux oĂč lâon ne jouit pas de tes rayons. » Puis elle fit quelques pas au dehors de la maison ; car on avait moissonnĂ© le blĂ©, il nâen restait que le chaume. Adieu, adieu ! dit-elle en embrassant une petite fleur rouge ; si jamais tu vois lâhirondelle, tu la salueras de ma part. â Quivit ! quivit ! » entendit-elle crier au mĂȘme instant. Elle leva la tĂȘte ; câĂ©tait lâhirondelle qui passait. Lâoiseau manifesta la plus grande joie en apercevant la petite Poucette ; il descendit rapidement en rĂ©pĂ©tant ses joyeux quivit ! et vint sâasseoir auprĂšs de sa petite bienfaitrice. Celle-ci lui raconta comment on voulait lui faire Ă©pouser la vilaine taupe qui restait sous la terre, oĂč le soleil ne pĂ©nĂ©trait jamais. En faisant ce rĂ©cit, elle versa un torrent de larmes. Lâhiver arrive, dit lâhirondelle, je retourne aux pays chauds ; veux-tu me suivre ? Tu monteras sur mon dos, et tu tây attacheras par ta ceinture. Nous fuirons loin de ta vilaine taupe et de sa demeure obscure, bien loin au-delĂ des montagnes, oĂč le soleil brille encore plus beau quâici, oĂč lâĂ©tĂ© et les fleurs sont Ă©ternels. Viens donc avec moi, chĂšre petite fille, toi qui mâas sauvĂ© la vie lorsque je gisais dans le sombre corridor, Ă moitiĂ© morte de froid. â Oui, je te suivrai ! » dit Poucette. Et elle sâassit sur le dos de lâoiseau et attacha sa ceinture Ă une des plumes les plus solides ; puis elle fut emportĂ©e par-dessus la forĂȘt et la mer et les hautes montagnes couvertes de neige. Poucette eut froid ; mais elle se fourra sous les plumes chaudes de lâoiseau, ne laissant passer que sa petite tĂȘte pour admirer les beautĂ©s qui se dĂ©roulaient au-dessous dâelle. Câest ainsi quâils arrivĂšrent aux pays chauds, oĂč la vigne avec ses fruits rouges et bleus pousse dans tous les fossĂ©s, oĂč lâon voit des forĂȘts entiĂšres de citronniers et dâorangers, oĂč mille plantes merveilleuses exhalent leurs parfums. Sur les routes, les enfants jouaient avec de gros papillons bigarrĂ©s Le petit peuple des fleurs Un peu plus loin, lâhirondelle sâarrĂȘta prĂšs dâun lac azurĂ© au bord duquel sâĂ©levait un antique chĂąteau de marbre, entourĂ© de colonnes qui supportaient des treilles. Au sommet se trouvaient une quantitĂ© de nids. Lâun de ces nids servait de demeure Ă lâhirondelle qui amenait Poucette. Voici ma demeure, dit lâoiseau ; mais il ne sera pas convenable que tu habites avec moi ; dâailleurs je ne suis pas prĂ©parĂ© pour te recevoir. Choisis toi-mĂȘme une des plus belles fleurs ; je tây dĂ©poserai, je te ferai tout mon possible pour te rendre ce sĂ©jour agrĂ©able. â Quel bonheur ! » rĂ©pondit Poucette en battant de ses petites mains. De grandes belles fleurs blanches poussaient entre les fragments dâune colonne renversĂ©e ; câest lĂ que lâhirondelle dĂ©posa la petite fille sur une des plus larges feuilles. Poucette, au comble de la joie, Ă©tait ravie de toutes les magnificences qui lâentouraient dans ces lieux enchanteurs. Mais quel ne fut pas son Ă©tonnement ! un petit homme blanc et transparent comme du verre se tenait assis dans la fleur, haute dâun pouce Ă peine. Il portait sur la tĂȘte une couronne dâor, et sur les Ă©paules des ailes brillantes. CâĂ©tait le gĂ©nie de la fleur ; chaque fleur servait de palais Ă un petit homme et Ă une petite femme, et il rĂ©gnait sur tout ce peuple. Dieu, quâil est beau ! » dit tout bas Poucette Ă lâhirondelle. En apercevant lâoiseau gigantesque, le petit prince si fin et si dĂ©licat sâeffraya dâabord ; mais il se remit Ă la vue de la petite Poucette, qui lui semblait la plus belle fille du monde. Il lui posa sa couronne dâor sur la tĂȘte, lui demanda quel Ă©tait son nom, et si elle voulait bien devenir sa femme. Quel mari en comparaison du jeune crapaud et de la taupe au manteau noir ! En lâacceptant, elle deviendrait la reine des fleurs ! Elle lâaccepta donc, et bientĂŽt elle reçut la visite dâun monsieur et dâune belle dame qui sortaient de chaque fleur pour lui offrir des prĂ©sents. Rien ne lui fit autant de plaisir quâune paire dâailes transparentes qui avaient appartenu Ă une grosse mouche blanche. AttachĂ©es Ă ses Ă©paules, elles permirent Ă Poucette de voler dâune fleur Ă lâautre. Pendant ce temps lâhirondelle, dans son nid, faisait entendre ses plus belles chansons ; mais, au fond de son coeur, elle se sentait bien affligĂ©e dâĂȘtre sĂ©parĂ©e de sa bienfaitrice. Tu ne tâappelleras plus Poucette, lui dit le gĂ©nie de la fleur, ce nom est vilain, et toi tu es belle, belle comme doit lâĂȘtre la reine des fleurs. DĂ©sormais nous tâappellerons MaĂŻa. â Adieu, adieu ! » dit la petite hirondelle en sâenvolant vers le y fut arrivĂ©e, elle regagna son nid, au-dessus de la fenĂȘtre oĂč lâauteur de ces contes attendait son retour. Quivit ! quivit ! » lui dit-elle, et câest ainsi quâil a appris cette aventure
4032 Parmi les solutions naturelles pour repousser le mulot de la maison ou du jardin, on retrouve : Lâail, Le ricin, La naphtaline, Le purin de sureau car cette plante est rĂ©putĂ©e pour ĂȘtre la plus efficace contre ces rongeurs. Ainsi, Est-ce que les mulots sont aveugles ? Les mulots juvĂ©niles sont moins roux que les adultes (gris-brun
Conseils ContrĂŽle Parasitaire 15 janvier 2022 Un problĂšme de rongeur Ă la maison vous empĂȘche de bien dormir? Vous nâĂȘtes pas seul. Notre Ă©quipe dâexterminateurs reçoit des dizaines dâappels chaque semaine, spĂ©cialement durant la pĂ©riode hivernale. Mais avant de passer Ă lâaction, il faudra tout dâabord faire la diffĂ©rence entre une souris, un mulot et une musaraigne, trois petits mammifĂšres trĂšs similaires avec qui nous partageons notre environnement, mĂȘme ici dans la grande rĂ©gion de MontrĂ©al! ReconnaĂźtre la souris commune du QuĂ©bec Nom latin Mus musculus Nom anglais common mouse La souris commune est parmi les petits rongeurs les plus rĂ©pandus au QuĂ©bec, en milieu urbain ou en campagne. Elle peut vivre dans la nature, mais Ă©tant donnĂ© son grand sens de lâaventure et ses goĂ»ts extrĂȘmement variĂ©s, elle a souvent tendance Ă vivre prĂšs des humains pour profiter de leur nourriture, de leur eau et de leur maison. Câest pourquoi en automne et en hiver, de nombreuses personnes font appel aux services dâexterminateurs spĂ©cialisĂ©s en infestation de souris. Vous avez probablement affaire Ă une souris si Sa couleur est brun-gris uniforme, avec un ventre gris, des orteils blancs et une queue Ă©cailleuse, clairsemĂ©e de poils fins Elle a de grands yeux, de grandes oreilles; ses pattes avant ont 4 doigts, et ses pattes arriĂšre en ont 5 Elle mesure de 7 Ă 9,5 cm, et sa queue est souvent aussi longue que son corps Autres caractĂ©ristiques qui peuvent vous aider Ă distinguer une souris dâun mulot ou dâune musaraigne Poids 12-30 g Habitat champs ou boisĂ©s en Ă©tĂ©; elle se creuse des terriers de 10 Ă 835 cm de long, comportant 1 Ă 8 segments de tunnels distincts et plusieurs chambres. Lorsquâelle vit en association avec les humains, elle cherche Ă sâintroduire dans les bĂątiments en hiver et se construit un nid avec des chiffons, du papier ou autres matĂ©riaux doux. Elle peut sâinstaller dans les plafonds, les murs, sous le plancher, dans un tiroir, une armoire ou un matelas. Elle concentre son activitĂ© dans un rayon de 3 Ă 10 mĂštres de son nid. Alimentation dans la nature, elle se nourrit de racines, graines, tiges, feuilles, champignons, dâinsectes et de petits invertĂ©brĂ©s; lorsquâelle sâĂ©tablit chez les humains, elle mange la mĂȘme nourriture quâeux y compris la viande, ainsi que leurs dĂ©chets, la colle, le savon, etc. ParticularitĂ©s bonne coureuse, jusquâĂ 13 km/heure; bonne grimpeuse et sauteuse; elle sait nager. Ă quoi ressemble un mulot au QuĂ©bec? Nom latin Apodemus sylvaticus Nom anglais field mouse Le mulot sylvestre est souvent confondu avec la souris, car câest un rongeur qui ne craint pas de vivre prĂšs des humains. Toutefois, son alimentation diffĂšre de celle de la souris, ce qui aura un effet sur ses contacts avec les humains. Vous avez probablement affaire Ă un mulot si Sa couleur est beige, roux ou brun foncĂ©, avec le ventre blanc Ses yeux et ses oreilles sont plus petits que ceux dâune souris; son museau est plutĂŽt rond et court Il mesure jusquâĂ 10,5 cm et sa queue mesure de 6 Ă 9 cm en sus Autres caractĂ©ristiques qui peuvent vous aider Ă distinguer un mulot dâune souris ou dâune musaraigne Poids 20-35 g Habitat champs en friche, prĂ©s verts, terres humides prĂšs des riviĂšres, lacs, marais; prĂšs des forĂȘts et clairiĂšres. Il fait son nid Ă lâabri des prĂ©dateurs dans un buisson, sous un tas de cailloux, dans une souche dâarbre ou un petit terrier; il fabrique son nid avec des brins dâherbe sĂ©chĂ©e. Alimentation graines, jeunes plantes, bourgeons, baies, insectes, champignons, escargots, vers de terre, lĂ©gumes racines carottes, courgettes, etc.; cultures de maĂŻs, blĂ©, avoine. ParticularitĂ©s excellent sauteur, ses pattes postĂ©rieures sont plus fortes que celles de la souris. Reste actif en hiver, sous le sol surtout; se nourrit de la nourriture quâil a entreposĂ©e dans des tunnels; les monticules de terre et les tunnels creusĂ©s deviennent souvent visibles au printemps Ă la premiĂšre fonte des neiges. La musaraigne, un mammifĂšre lui aussi trĂšs prĂ©sent sur la Rive-Sud et Ă MontrĂ©al Nom latin Blarina brevicauda, nommĂ©e grande musaraigne », la plus grande espĂšce parmi les 8 espĂšces de musaraignes retrouvĂ©es un peu partout au QuĂ©bec. La musaraigne aquatique Sorex palustris est Ă©galement prĂ©sente au QuĂ©bec; elle est une excellente nageuse et plongeuse, et se nourrit de crustacĂ©s, de larves et de petits poissons. Nom anglais short-tailed shrew La musaraigne est parfois appelĂ©e campagnol, mais il ne sâagit pas du mĂȘme animal. Contrairement Ă ce quâon peut prĂ©sumer, la musaraigne nâest pas un rongeur, mais simplement un mammifĂšre insectivore. Ătant donnĂ© cette diĂšte, il est peu probable quâune musaraigne sâĂ©tablisse dans une habitation, sauf pour y trouver refuge en cas de froid extrĂȘme, ou pour y suivre des insectes quâelle veut dĂ©vorer. Vous avez probablement affaire Ă une musaraigne si Son pelage est foncĂ©, parfois presque noir et uniforme Blarina brevicauda Sa queue est petite; son museau est long, pointu, moustachu, et ressemble Ă une petite trompe; ses pattes sont courtes et ont 5 doigts griffĂ©s Taille 9 Ă 15 cm Autres caractĂ©ristiques qui peuvent vous aider Ă distinguer une musaraigne dâun mulot ou dâune souris Poids 16 Ă 29 g Habitat forĂȘts feuillues matures; elle creuse son terrier et ses galeries dans la couche dâhumus et de vĂ©gĂ©taux en dĂ©composition Alimentation elle est vorace et mange chaque jour son poids en insectes, vers, escargots, limaces, fruits, graines, petits mammifĂšres et oiseaux Ă lâoccasion. Son rythme cardiaque de 800 battements par minute pousse son mĂ©tabolisme Ă une vitesse extrĂȘme et Ă la recherche frĂ©nĂ©tique de nourriture Ă longueur de journĂ©e. Elle peut localiser des larves dâinsectes jusquâĂ une profondeur de 15 cm dans le sol. ParticularitĂ©s Pour immobiliser ses proies comme de gros insectes ou des oiseaux, elle leur injecte sa salive, qui est venimeuse. Elle les conserve ainsi vivants et au frais dans ses tunnels. Est-ce que ces rongeurs sont actifs en hiver? Oui, car aucun dâentre eux nâhiberne au sens strict du terme. Leur comportement peut changer quelque peu, mais sâils se retrouvent Ă proximitĂ© dâune bĂątisse chauffĂ©e, ils tenteront certainement dâen tirer un avantage pour les aider Ă survivre et mĂȘme se multiplier pendant lâhiver. Câest pourquoi les professionnels dâAvalanche Extermination sont toujours prĂȘts Ă se rendre sur place pour dĂ©couvrir la source de tout problĂšme causĂ© par les souris, les mulots ou les musaraignes. Si vous avez retrouvĂ© ou capturĂ© ce qui semble ĂȘtre une souris Ă la maison et aimeriez obtenir lâavis dâun spĂ©cialiste, contactez notre Ă©quipe dâexterminateurs afin dâenvoyer une photo pour identification.
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il ressemble Ă la souris et vit dans les champs