Leurambition commune est de venir en aide Ă des personnes fragilisĂ©es ou dĂ©munies et dâaccompagner des jeunes dĂ©favorisĂ©s Ă sâĂ©panouir dans le monde actuel. Le premier Club français a ouvert Ă Paris en 1921. Depuis cent ans, le Rotary International accompagne lâĂ©volution du monde : participation de Rotariens Ă la future UNESCO
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XavierSymphor, vous ĂȘtes le PrĂ©sident du Rotary Club du Lamentin. Quâest-ce que le Rotary ? Quelles en sont les origines ? Le premier Rotary Club fut fondĂ© le 23 fĂ©vrier 1905 par un avocat du nom de Paul P. Harris. Lâappellation Rotary provient de la pratique de roulement des premiĂšres rĂ©unions entre les bureaux des membres du club.
Le Rotary International a eu 110 ans en 2015 Le 23 fĂ©vrier 2015, Le Rotary avait cĂ©lĂ©brĂ© lâanniversaire du Rotary International et ses nombreuses annĂ©es de lutte contre la polio. CrĂ©e le 23 FĂ©vrier 1905 par Paul Harris, jeune avocat de Chicago, le Rotary International est devenu en 100 ans et Ă lâĂ©chelle mondiale une force de propositions, dâactions et de progrĂšs unique en son genre. FidĂšle Ă son origine et Ă son crĂ©ateur, le mouvement international Rotarien est aujourdâhui constituĂ© dâun socle dâhommes et de femmes de tous horizons, reconnus pour leur expĂ©rience, leur compĂ©tence, leur exigence et Ă©thique professionnelles. Leur ambition commune est de venir en aide Ă des personnes fragilisĂ©es ou dĂ©munies et dâaccompagner des jeunes dĂ©favorisĂ©s Ă sâĂ©panouir dans le monde actuel. Cette volontĂ© forte se traduit trĂšs concrĂštement par la mise en Ćuvre et le financement de programmes au profit De la santĂ© Polio+, aide Ă la recherche sur les maladies du cerveau, amĂ©lioration des conditions dâhospitalisation des enfants ou des personnes ĂągĂ©es, De la famille et des jeunes bourses dâĂ©tudes, carrefours des mĂ©tiers, aide sociale, De la lutte contre lâillettrisme soutien scolaire, construction et Ă©quipement dâĂ©coles, De lâeau et du dĂ©veloppement accĂšs et partage de la ressource naturelle, Le Rotary International est prĂ©sent sur les cinq continents, dans prĂšs de 170 pays et regroupe 1,2 million de membres actifs dont 35 000 en France dans plus de 1000 clubs rĂ©partis dans lâhexagone Le premier Club français a ouvert Ă Paris en 1921. Depuis cent ans, le Rotary International accompagne lâĂ©volution du monde participation de Rotariens Ă la future UNESCO en 1943 et Ă la rĂ©daction de la Charte des Nations Unies en 1949, ouverture de clubs dĂšs 1989 en Europe de lâEst, en Chine en 2000. En coordination avec les organismes internationaux tels lâOMS ou lâUNICEF, ses membres oeuvrent pour la paix et le partage des richesses et sâactivent pour pallier les dĂ©sordres naturels et rĂ©parer les traumatismes nĂ©s de conflits. Le budget annuel du Rotary International dĂ©passe les 70 millions de dollars et celui de la Fondation Rotary, lâune des plus importantes fondations privĂ©es au monde, sâĂ©lĂšve Ă 100 millions de dollars.
Commentest né le Rotary (suite) ? 1905-1910 Création de clubs dans tous les USA. 1910 PremiÚre convention à Chicago réunissant 16 clubs. 1922 Application de la dénomination Rotary International. 1925 Il existe 20 000 clubs. Doyen des clubs services. Le plus international des clubs services. Club service mixte depuis 1989.
Policiers devant le corps du manifestant Carlo Giuliani, tuĂ© le 20 juillet 2001 Ă GĂȘnes. Photo Dylan Martinez. Reuters Tout lâart de gouverner revient pour le chef dâEtat Ă donner Ă entendre quâil est un YahvĂ© tĂąchant Ă organiser une citĂ© harmonieuse alors quâil utilise son serviteur policĂ© pour maintenir la disharmonie qui lâa portĂ© au pouvoir. Bernard Thomas Les provocations policiĂšres - 1972Au lendemain dâune manifestation oĂč leurs soudards ont tuĂ©, cognĂ© et torturĂ©, que font les huit Gangsters qui gouvernent le monde ? Ils dĂ©noncent comme responsables des affrontements ceux des manifestants qui ont rĂ©sistĂ© Ă leur Ă©tat de siĂšge dictatorial. Câest-Ă -dire quâils dĂ©signent comme responsables de la mort de Carlo Giuliani... ce mĂȘme Carlo Giuliani et ses camarades de combat !La ficelle est grosse, mais elle appartient aux classiques instruments de la roublardise gouvernante. Elle se rĂ©sume Ă ce constat fortement teintĂ© de menace Si les gens ne sâopposaient pas Ă nos diktats, ils ne risqueraient pas de prendre des Ă qui trouve cette argumentation digne dâĂȘtre Ă©coutĂ©e. Honte, plus encore, Ă qui la rĂ©percute servilement, telle la valetaille journaliste » lâamplifiant sur ses tams-tams responsables des affrontements de GĂȘnes et de leur rĂ©sultat tragique sont les seigneurs de la planĂšte qui lĂąchent leurs sbires armĂ©s dans les rues pour protĂ©ger les bunker-palaces oĂč ils tiennent leurs rĂ©unions contre les lĂ©gitimes manifestations de protestation de ceux quâils maltraitent. Les responsables de la mort de Carlo Giuliani et des blessures infligĂ©es Ă des centaines dâautres sont ces agresseurs de lâhumanitĂ© qui, au nom du marchĂ© roi, ne cessent de lâasservir, lâinsulter, la frapper, la dĂ©truire. Ce sont ces casseurs de vies qui sacrifient au culte de la rentabilitĂ© » pĂ©cuniaire des millions dâĂȘtres humains et la planĂšte elle mĂȘme. Ce sont ces provocateurs de colĂšres qui jouent avec les feux quâallument les rĂ©voltes contre leurs ignominies, afin que leurs embrasements mĂȘmes leurs soient appelant leurs opposants Ă isoler les violents et les extrĂ©mistes , ils montrent Ă la fois leur inquiĂ©tude devant une rĂ©bellion qui progresse, et leur foi dans leur capacitĂ© Ă gruger une fois de plus leurs sujets en leur tendant la perche truquĂ©e du dialogue ». Utilisant le dĂ©sarroi et lâinquiĂ©tude suscitĂ©s par les affrontements chez les manifestants qui ne les avaient pas imaginĂ©s, ils essayent, au moyen dâune trĂšs ancienne mĂ©thode, de faire reculer la rĂ©volte en lâaffaiblissant par la confusion et la Ă qui marcherait dans la combine ! Honte Ă qui reprendrait ce discours captieux au nom dâune contestation respectable » et se prĂȘterait aux concessions quâils demandent, qui se rĂ©sument ainsi Nous voulons bien condescendre Ă feindre dâĂ©couter vos griefs, Ă condition que vous les formuliez Ă plat est vrai que lâusage de la provocation est depuis longtemps une arme policiĂšre courante pour dĂ©stabiliser les rebellions, il nâen est pas moins vrai que les colĂšres que cette provocation infiltre pour tenter de les manipuler et de les dĂ©voyer ont leurs raisons dâĂȘtre, que ceux qui sâinsurgent contre les mĂ©faits de ce monde gagneraient Ă entendre, au lieu de se rallier Ă leur diabolisation. DĂ©crire ces colĂšres comme les manifestations dâun dĂ©sarroi aveugle Ă©quivaut Ă les diminuer. Elles sont bien aussi, souvent, la manifestation dâune luciditĂ© qui fait dĂ©faut Ă de moins irritĂ©s protestataires. Un mĂ©content est un pauvre qui rĂ©flĂ©chit, disait Talleyrand, cette merde dans un bas de soie. Certains de ces colĂ©reux sont des mĂ©contents ayant dĂ©jĂ fait lâexpĂ©rience des diffĂ©rentes techniques des pouvoirs en place pour calmer les rĂ©voltes et les Ă©touffer, et qui ne veulent plus se laisser pacifier » par la carotte ou le bĂąton. Ils savent que ça ne sert Ă rien de demander au pouvoir dâĂȘtre plutĂŽt comme-ci ou comme ça, dit, Ă leur propos un sociologue. Sur ce point, au moins, ces rĂ©voltĂ©s sont plus lucides que dâautres. Et ces autres devraient, sur ce point, au moins, leur prĂȘter attention. Que leur colĂšre puisse ĂȘtre dĂ©voyĂ©e par des manipulations sachant facilement lâexciter nâenlĂšve rien Ă la vĂ©ritĂ© qui la fonde ils ont peu dâillusions sur la nature de ce monde et lâimmensitĂ© des saloperies quâil gĂ©nĂšre, câest ce qui les Ă©nerve. Et, plutĂŽt que de sâen affliger, il conviendrait de sâĂ©tonner quâil y ait encore si peu de gens que ce monde rĂ©volte ainsi Giuliani Ă©tait visiblement de ceux-lĂ puisquâil est mort en attaquant la police. Qui veut rĂ©ellement lui rendre hommage doit lâadmettre. Ceux qui se lâapproprient comme martyr » de leur cause tout en crachant sur ce Black block auquel il Ă©tait mĂȘlĂ© se comportent en sordides charognards. Ils insultent sa mĂ©moire en insultant ceux qui sont comme lui et que la police nâa pas encore tuĂ©s. Quâils ne feignent pas lâaffliction. Ils lâutilisent le militantisme qui, Ă la maniĂšre du Black block, ritualise cette colĂšre et lâempĂȘche de devenir plus intelligente en lâexaltant comme seule forme de lutte possible, lâaffaiblit plus quâil ne la sert. Il la lance sur le terrain du seul affrontement militaire, celui oĂč les flics sont le plus Ă lâaise, et fait de son vandalisme » spontanĂ© ou orchestrĂ© le repoussoir facile dont ceux qui veulent modĂ©rer la rĂ©bellion peuvent user comme dâun Ă©pouvantail pour inquiĂ©ter les rĂ©voltĂ©s moins agressifs et les rallier Ă des solutions » plus molles. Comme le notent des anarchistes qui ne sont pas Black bloquĂ©s La croyance en le mythe violence = radicalitĂ© participe Ă susciter un faux clivage qui va fractionner les gens et rendre service Ă tous ceux qui ont intĂ©rĂȘt Ă susciter la division Globalisation du Roquefort, Courant Alternatif N° 111. Il est Ă©vident que ce ne sont pas des bastons » rituels avec les flics et des vitrines cassĂ©es et des banques brĂ»lĂ©es qui pourront suffire Ă changer un monde, câest-Ă -dire en construire un autre. Mais, traiter ceux qui se dĂ©chaĂźnent » de cette maniĂšre, comme des auxiliaires de police, câest marcher Ă fond dans ce que veulent les chefs dâorchestre de la provocation couper la rĂ©bellion de ceux qui y sont les plus dĂ©terminĂ©s, lâenfermer dans les dolĂ©ances flasques et les protestations » impuissantes oĂč elle se noiera, comme furent noyĂ©s bien dâautres faut toute la naĂŻvetĂ© dâapprentis insurgĂ©s, dĂ©munis de toute mĂ©moire historique, pour croire quâune rĂ©volte aura une chance dâĂȘtre considĂ©rĂ©e avec bienveillance par ceux contre lesquels elle se dresse parce quelle se refuserait Ă recourir Ă des mĂ©thodes pouvant les inquiĂ©ter. Lâhistoire prouve tout le contraire Jamais un pouvoir en place nâa cĂ©dĂ© sur lâessentiel sans y avoir Ă©tĂ© contraint. Jamais il nâa accordĂ© de modifications dĂ©cisives de lâorganisation sociale sans que celles-ci lui aient Ă©tĂ© arrachĂ©es. Lâaristocratie nâa aboli les privilĂšges que parce que la Bastille Ă©tait prise, que les chĂąteaux brĂ»laient, et quâil fallait, note Chamfort, dĂ©sarmer la vengeance dâun peuple Ă©chappĂ© tout Ă coup de ses chaĂźnes Tableaux historiques de la RĂ©volution française, 1792. En 1848 ce sont les insurrections populaires qui ont apportĂ© les rĂ©publiques. Et le mouvement ouvrier nâa obtenu que par une dure lutte ces acquis » sociaux quâil perd Ă toute vitesse aujourdâhui. Les maĂźtres du monde, Ă toutes les Ă©poques, ont toujours rĂ©sistĂ© sans douceur Ă ce qui mettait en doute leur pouvoir, comme en tĂ©moigne lâĂ©crasement de nombreuses tentatives de changement de sociĂ©tĂ©. Pourquoi en irait-il diffĂ©remment aujourdâhui oĂč ils se sentent forts dâun arsenal rĂ©pressif administratif et technologique considĂ©rable et oĂč seule une infime partie de leurs sujets » remue un peu sous le joug ?Ă GĂȘnes, les manifestants ont pu faire lâexpĂ©rience de cette machinerie rĂ©pressive Ă lâĆuvre, en tĂątant des matraques dâune police qui avait visiblement pour instruction de cogner fort pour faire peur, et qui lâa fait avec joie. Car il faut avoir la douteuse naĂŻvetĂ© des leaders du Forum social pour affecter de croire que la police nâaurait pas chargĂ© les manifestants si le Black block ne lâavait pas provoquĂ©e ». Lâattitude des carabiniers bastonnant allĂšgrement des manifestants pacifiques, loin des lieux oĂč agissaient les vandales dĂ©signĂ©s comme Ă©tant du Black block parmi lesquels lâĂ©cole Diaz, théùtre dâun massacre policier immonde montre que, si câĂ©tait pour eux un prĂ©texte, il Ă©tait bien mince et que sâils nâavaient pas eu celui-lĂ , ils en auraient trouvĂ© un autre. En fait, ils Ă©taient lancĂ©s pour faire leur mĂ©tier cogner, et ils lâont fait avec dâautant plus de dĂ©termination quâils se savaient couverts, comme dâailleurs bien dâautres de leurs homologues dans de nombreuses situations semblables de par le monde, depuis Göteborg jusquâĂ la Kabylie, et aussi dâautres plus banalement quotidiennes comme ces " bavures " devenues ordinaires en aujourdâhui, confrontĂ© au tollĂ© que suscite leurs exactions et embĂȘtĂ© que son opposition en profite, le gouvernement italien feint de sâinquiĂ©ter des excĂšs » de sa police. Il trouvera sans doute quelque bouc Ă©missaire Ă sacrifier pour calmer lâindignation et reconstruire au plus vite des rapports de confiance entre la police et la sociĂ©tĂ© civile comme le demande le syndicat CGIL. Mais câest bien parce quâil a voulu cette violence quâelle a eu lieu. Car on ne met pas des troupes sur le pied de guerre pour sâĂ©tonner ensuite quelles la fassent. On ne joue pas Ă provoquer le feu comme lâont fait les policiers casseurs » en civil pour sâĂ©tonner quâil brĂ»le. Et lâon ne lance pas des hommes armĂ©s de flingues dans des affrontements sans avoir supputĂ© lâĂ©ventualitĂ© quâils sâen servent. Peut-ĂȘtre que les ordonnateurs de ce minable machiavĂ©lisme auraient prĂ©fĂ©rĂ© que ce soit un flic qui se fasse tuer par des manifestants. Cela aurait mieux justifiĂ© leur sanglante rĂ©pression. Mais quâils aient calculĂ© cela ou non ne change rien au fait quâils ont dĂ©libĂ©rĂ©ment excitĂ© Ă la bagarre et en sont responsables. Leurs hommes de main nâauraient pas bougĂ© si eux, les caĂŻds, ne lâavaient pas ailleurs, Ă voir ce qui sâest passĂ©, on ne peut sâempĂȘcher de se dire aussi que les cognes auraient peut-ĂȘtre eu plus de difficultĂ©s Ă taper dans le tas sâils avaient trouvĂ© en face dâeux des gens un peu plus dĂ©terminĂ©s Ă leur rĂ©sister. Car, tout de mĂȘme, 15 000 flics pouvant sans mal rentrer dans le lard de 200 000 personnes il y a de quoi plastronner dans les commissariats transalpins ! Sâils ont pu le faire câest parce quâils nâont trouvĂ©, en majoritĂ©, en face deux que de naĂŻfs non-violents. Et câest Ă lâaulne de cette dĂ©faite que les pleurnicheries pacifistes » doivent ĂȘtre non-violence comme forme de combat devient vite, face Ă un adversaire dĂ©terminĂ©, une fabrique Ă martyrs câest pourrir beaucoup les moutons allant dâeux-mĂȘmes Ă lâabattoir. Ă GĂȘnes, les apĂŽtres de cette non-violence ont leur part de responsabilitĂ© dans les mauvais traitements quâont subis les manifestants. En flattant lâidĂ©e que cette non-violence pouvait suffire le comble Ă©tant atteint par les Tute Bianche organisant un assaut.. dĂ©sarmĂ© !, en ne prĂ©parant pas les manifestants Ă lâĂ©ventualitĂ© de la confrontation, ils ont envoyĂ© au casse-pipe des gens dĂ©munis de tout moyen de dĂ©fense, proies faciles pour les cogneurs. Entendre ensuite ces leaders Si peu prĂ©voyants accuser les anarchistes » dans leurs rangs dâĂȘtre cause des coups que les manifestants ont reçus donne envie de gerber. Comme si ce nâĂ©taient pas les flics qui avaient cognĂ©. Comme si ce nâĂ©tait pas ces flics qui mĂ©ritent la haine et non les anars » !Mais que croyaient-ils, ou quâessayaient-ils de faire croire, ces leaders pleurant que leur lutte » a Ă©tĂ© dĂ©considĂ©rĂ©e par les violents quâils qualifient si facilement dâanars ? Quâune manif non agressive aurait emportĂ© les rĂ©ticences des huit gredins Ă Ă©couter leurs dolĂ©ances ? Quâil aurait suffi que les manifestants posent leur cul devant les grilles de la Zone rouge pour que ces canailles, cĂ©dant Ă cette pression » insoutenable, leur accordent gain de cause ? Sâils sont sincĂšres, ils font preuve dâune stupĂ©fiante mĂ©connaissance du monde oĂč ils vivent et du cynisme intĂ©gral de ceux qui le George, une de celles qui pleurnichent ainsi Ă la une de journaux complaisants, tartine longuement sur la criminalisation » de la rĂ©volte Ă laquelle les gouvernants ont partout recours pour tenter de lâarrĂȘter. Mais y a-t-il lĂ de quoi sâĂ©tonner ? Pourquoi les mafias rĂ©gnantes considĂ©reraient-elles cette rĂ©volte comme autre chose quâune ennemie ? Pourquoi feraient-elles autre chose que tenter de la rĂ©primer, comme lâont fait de tout temps les tyrans sentant leur pouvoir menacĂ© ? Parce que lâ ordre » quâelles imposent nâest pas un ordre mafieux ! Parce quâelles ne sont pas des tyrannies ! VoilĂ bien la grande illusion, la principale, celle qui entraĂźne toutes les autres cette sociĂ©tĂ© serait une sociĂ©tĂ© dĂ©mocratique » et, comme telle, dotĂ©e des moyens de combattre ceux qui la bafouent. Faut-il que la poudre aux yeux ait bien fonctionnĂ© depuis Thermidor ! Faut-il que la luciditĂ© critique ait rendu les armes pour que 200 ans aprĂšs le Manifeste des EnragĂ©s 1793 on ait oubliĂ© que La libertĂ© nâest quâun vain fantĂŽme quand une classe dâhommes peut affamer lâautre impunĂ©ment. LâĂ©galitĂ© nâest quâun vain fantĂŽme quand le riche, par le monopole, exerce le droit de vie et de mort sur son dĂ©mocratie nâest quâun vain fantĂŽme quand ceux qui tiennent les cordons de la bourse ont le pouvoir effectif, quand les gouvernants ne peuvent ĂȘtre que les rĂ©gisseurs de leur domaine. Ă preuve alors que tant de lois sont faites Ă leur convenance, pour faciliter leurs rapines, ils nâhĂ©sitent pas Ă les bafouer sans vergogne dĂšs lors quâelles ne leur semblent pas suffisantes. Ainsi, Ă GĂȘnes, ont ils aboli la libertĂ© de circulation pour squatter une partie de la ville. Ainsi aux Ătats-Unis, Susan George peut relever une violation flagrante des droits garantis par la constitution Le Monde diplomatique, AoĂ»t 2001 puis constater en Europe Ă©galement, les gouvernements ne se, gĂȘnent nullement pour prendre des libertĂ©s avec les textes et conclure que le capital international nâa jamais aussi clairement affichĂ© sa haine de la dĂ©mocratie. Câest que le dĂ©guisement dĂ©mocrate lui convient lorsquâil peut servir Ă faire admettre ses diktats comme Ă©tant voulus par les populations auxquelles il les impose, mais quâil peut ĂŽter cette dĂ©froque sans risque lorsquâelle le gĂȘne aux entournures. Et, de fait, qui actuellement a les moyens de lâen empĂȘcher ? Personne. Il peut donc, sans sâangoisser, doubler les institutions dĂ©mocratiques » qui lui ont si longtemps servi de paravent par des organismes non Ă©lus directement Ă son service OMC, FMI etc. Certes, en faisant cela, il tombe le masque il devient visiblement ce quâil est rĂ©ellement depuis longtemps un despotisme. Mais sâil le fait câest quâil croit pouvoir se le permettre et, pour lâinstant, il le jour, peut-ĂȘtre, les hommes aussi Ă©loignĂ©s de nos prĂ©jugĂ©s que nous le sommes de ceux des Vandales, sâĂ©tonneront de la barbarie dâun siĂšcle oĂč ce fut quelque chose de religieux que de juger un tyran. Saint-Just, Discours sur le jugement de Louis XVI, 13 novembre pourquoi les pouvoirs en place criminalisent » la rĂ©volte contre lâorganisation sociale quâils dĂ©fendent, un commentateur diplomatique note que câest parce quâelle est perçue » par les dirigeants comme une opposition au systĂšme capitaliste mondial. Il nây a guĂšre Ă sâĂ©tonner quâelle soit ainsi perçue », car, si seule une minoritĂ© de ceux qui sây adonnent aujourdâhui la dĂ©finissent comme telle, câest effectivement ce quâelle doit devenir pour avoir une chance de fabriquer cet autre monde » dont elle affirme quâil est lâordre » des huit gangsters et de leurs seconds couteaux nâest pas un ordre fondamentalement humain qui commet quelques excĂšs, câest une organisation sociale fondĂ©e sur lâasservissement et lâaliĂ©nation de lâhumanitĂ©, de la mĂȘme nature que celle combattue par nombre de nos ancĂȘtres une sociĂ©tĂ© oĂč une minoritĂ© possĂšde les moyens de faire agir lâimmense majoritĂ© Ă son service et Ă la perpĂ©tuation de la machinerie Ă©conomique garantissant son pouvoir et ses avantages. Et ceux qui en sont les maĂźtres ne sont pas un groupe de braves gens soucieux du bien-ĂȘtre de chacun qui se tromperaient sur la maniĂšre de le fabriquer, ou dont les efforts seraient gĂąchĂ©s par quelques corrompus infiltrĂ©s, ce sont de trĂšs Ă©hontĂ©s salopards. Pour avoir une chance de faire un monde Ă©chappant Ă leurs mĂ©faits, il faut dâabord comprendre cela, au lieu de se leurrer sur leur ceux qui sâillusionnent sur la possibilitĂ© de faire entendre raison Ă ces satrapes, câest-Ă -dire seuls ceux qui sâimaginent pouvoir humaniser ce despotisme, en faire un despotisme Ă©clairĂ©, peuvent rĂȘver dâun dialogue avec lui qui pourrait ĂȘtre positif ». ĂcĆurĂ©s par les multiples crimes et dĂ©prĂ©dations du capitalisme, mais nâosant imaginer de pouvoir construire une sociĂ©tĂ© qui en serait entiĂšrement libĂ©rĂ©e, ces citoyens » lĂ espĂšrent les tempĂ©rer par un contrĂŽle » dont ils obtiendraient la possibilitĂ© grĂące aux actions de lobbies de leurs ONG soutenues par leurs manifestations dĂ©bonnaires. RĂȘvant dâun capitalisme Ă©thique », dâun marchĂ© qui ne transformerait pas tout en marchandises, dâune dictature allĂ©gĂ©e qui garantirait Ă ses serfs un service public » suffisant , câest-Ă -dire de requins sans dents et de chacals sans perfidie, ils sâefforcent de faire entendre aux potentats quâil serait de leur intĂ©rĂȘt dâaccorder audience Ă leurs dolĂ©ances et de faire quelques rĂ©formes afin de rendre leur domination moins pĂ©nible ; plus supportable. Ils aimeraient attĂ©nuer la misĂšre et lâaliĂ©nation sans supprimer ce qui les cause. Ils sâabusent complĂštement, aussi gĂ©nĂ©reux et sincĂšres soient-ils. Le mĂ©pris musclĂ© qui rĂ©pond Ă leurs suppliques ne fait que commencer Ă leur ceux qui, Ă leur tĂȘte, cultivent sciemment ces illusions sont moins naĂŻfs et plus roublards. Ils sont cette feinte dissidence fort justement dĂ©noncĂ©e par Louis Janover Voyage en feinte-dissidence, suivi de Thermidor, mon amour, Editions Paris-MĂ©diterranĂ©e qui, voyant croĂźtre lâinsatisfaction et la rĂ©volte en mĂȘme temps que le dĂ©sabusement pour le bluff politicard, sâest greffĂ©e Ă toute vitesse sur ce dĂ©but de rĂ©bellion pour avoir lâair de lâinitier, en prendre la tĂȘte et la contrĂŽler en lâembrouillant par des analyses trompeuses de la nature de lâordre » rĂ©gnant habillĂ©es du sĂ©rieux scientifique » dâĂ©conomistes et sociologues pĂ©remptoires, en flattant les illusions de pouvoir le rĂ©former, et en dĂ©guisant des dolĂ©ances aussi humbles que ridicules en grandes exigences et de la mendicitĂ© respectueuse en lutte radicale. Câest une mystification dĂ©fensive de la sociĂ©tĂ© capitaliste que cette feinte dissidence, prenant le relais du baratin de gĂŽche Ă©puisĂ© et dans laquelle de nombreux experts de ce baratin sâempressent de se recycler, qui a pour but de capter et captiver la rĂ©volte naissante pour la dĂ©voyer au service du maintien de ce quelle espĂšre changer. Et les manipulateurs qui la mĂšnent, si prompts Ă calomnier comme agents objectifs » de la rĂ©pression tous ceux qui ne reculent pas devant le conflit avec le despotisme, sont encore plus prompts Ă devenir mouchards et mobiliser leurs sĂ©vices dâordre pour isoler les violents et les extrĂ©mistes, comme leur demandent ceux auxquels prĂ©tendument ils sâopposent, afin de sauvegarder leurs chances dâĂȘtre invitĂ©s par ces despotes dans leur Think-tanks bidons ! et de pouvoir devenir autoritĂ©s » Ă leur tour dans un ordre du monde inchangĂ© mais repeint de neuf Ă la barbouille dâATTAC. Qui se croit sage en Ă©coutant leurs propos, se flattant de " rĂ©alisme ", peut prĂ©parer son autre monde est possible, mais il ne sâobtiendra pas comme la rĂ©bellion naissante veut aboutir Ă autre chose quâĂ faire le lit dâun nouveau gang dâarnaqueurs politicards, elle doit comprendre la nature de lâordre » contre lequel elle se dresse. Ce nâest quâen prĂ©cisant ses griefs et identifiant clairement ses ennemis quâelle pourra trouver les moyens de qui recommence entre les maĂźtres de ce monde et ceux qui contestent leur rĂšgne marque un retour de cette tenace guerre sociale que les gauchistes recyclĂ©s au Rotary croyaient avoir fossoyĂ© sous le PanthĂ©on Mitterrandien. Les seigneurs de la planĂšte, eux, ont toujours su quâil sâagit dâune guerre et nâont jamais rechignĂ© Ă la mener. Il serait temps que leurs opposants le comprennent aussi, quâils retrouvent sur ce point la luciditĂ© de certains de leurs sâinsoumettre, ne serait-ce quâun peu, est, aux yeux des despotes, le crime qui contient tous les crimes. Qui a eu cette audace ne doit pas craindre dâĂȘtre devenu, ainsi, leur ennemi. Il doit au contraire poursuivre sur ce chemin et renforcer son crime », car la meilleure mĂ©thode pour ne pas avoir Ă subir leur punition câest de leur ĂŽter les moyens de lui nâest pas ĂȘtre un adorateur de la violence que de savoir quâil faut une certaine force pour dĂ©truire les Bastilles et plus encore pour changer radicalement le monde quâelles protĂšgent. Ce que lâon exige dâun tyran qui ne veut pas le donner, il faut savoir lui prendre. Et ce quâon a su lui prendre, il faut savoir le dĂ©fendre. Cette force ne doit pas, au risque de se perdre dans une impasse identique Ă celle des annĂ©es de plomb », se laisser prendre dans des collisions de type militaire, mais elle ne peut non plus se constituer en fuyant toujours lâaffrontement. Il appartient au mouvement qui la mettra en jeu dâessayer dâĂȘtre assez stratĂšge et sensible pour ne pas lâengager inconsidĂ©rĂ©ment vers des issues tragiques. Pour lâheure, cette force est Ă construire. Cela ne pourra se faire que si ceux auxquels elle est nĂ©cessaire se libĂšrent des nombreuses illusions qui les menottent encore presque les violents et les extrĂ©mistes câest bien, en effet, ce que la rĂ©volte doit faire Isoler les violents mercenaires qui gardent les Versailles de lâOMC, du G8 et de ses vassaux. Isoler les extrĂ©mistes sectateurs du marchĂ© » qui ont engagĂ© le djihad de dĂ©fense de leur religion et de leurs privilĂšges contre les peuples de la terre. Pour qui veut ne pas subir la marchandisation du monde, il ne sâagit pas de chercher comment sây prendre pour attĂ©nuer un peu les dĂ©gĂąts quâelle cause, mais de trouver comment sâen cela, les bastonneurs » doivent se demander comment construire et les pacifistes » doivent se demander comment se battre. Plus ils en dĂ©battront ensemble, plus ce soulĂšvement progressera. Plus ils sâexcluront rĂ©ciproquement, plus il stagnera et reculera. Cependant, pour avancer, ce mouvement doit tout de mĂȘme exclure une chose de son sein la soumission Ă lâordure rĂ©gnante, et ceux qui la encore un effort pour sortir de la Berneri AoĂ»t 2001
LeRotary compte plus de 1,2 million de membres dans plus de 35 000 clubs. Aux quatre coins du monde, vous retrouvez des Rotariens qui mettent en pratique notre devise Servir dâabord. Aux quatre coins du monde, vous retrouvez des Rotariens qui
QU' EST- CE QUE LE ROTARY ? LE ROTARY EST UN CLUB SERVICE qui regroupe des hommes et des femmes d'entreprises chefs d'entreprise, professions libĂ©rales, fonctionnaires divers dont enseignants et chefs d'Ă©tablissement, artisans...rĂ©unis autour du mĂȘme idĂ©al de "SERVIR". La devise du Rotary international est du reste "SERVIR D'ABORD". LE ROTARY EST INTERNATIONAL - Il siĂšge Ă l'ONU dans le cadre du CES Conseil Economique et Social, au titre des ONG Organisation Non Gouvernementale - Il a une voix consultative Ă l'UNESCO - Il est partenaire de l'OMS Organisation Mondiale de la SantĂ©. en 1993, Le Rotary International s'est vu dĂ©cerner la prestigieuse "MĂ©daille d'Or de la SantĂ© pour tous". en 1996, le Rotary International, fut la premiĂšre organisation Ă recevoir le Prix Jenner de l'initiative pour les vaccins Ă l'enfance IVE. Le Rotary est aujourd'hui PrĂ©sent dans 160 pays dans le monde, et compte environ 1201000 membres dans 29 300 clubs regroupĂ©s en 521 Districts chiffres 1999 . Pour en savoir plus cliquez sur qui a créé le Rotary
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