LeRotary International est une organisation mondiale composée de bénévoles qui agissent pour la solidarité, la santé, le développement et la paix dans le monde. Les " Rotariens " sont rassemblés dans plus de 33 000 Rotary clubs. Cette organisation apolitique et non sectaire a pour devise "Servir d'abord". Quel est le but du Rotary club ?
La troisiĂšme Ă©dition de la Duck Race AlĂšs se tiendra samedi 3 septembre. PrĂšs de 5 000 de ces volatiles ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© adoptĂ©s. Tous seront jetĂ©s Ă  l'eau en contrebas du pont-Vieux et rejoindront, au rythme du courant du Gardon, la terrasse de la guinguette d'AlĂšs plage. Eux, ce sont les 13 000 petits canards en plastique de couleur jaune que possĂšde le Rotary AlĂšs-CĂ©vennes, organisateur de la Duck Race AlĂšs, dont la troisiĂšme Ă©dition est programmĂ©e samedi 3 septembre. "Cette annĂ©e, c'est un peu la galĂšre, car nous avons moins de sponsors et les ventes de billets ne sont pas, jusque-lĂ , fantastiques", confie Yanick Ginel, le coordinateur de l'Ă©vĂ©nement, en pointant du doigt la "conjoncture Ă©conomique actuelle". Pour autant, les membres du club services sont mobilisĂ©s et assurent que la manifestation aura lieu. "À condition qu'il ne pleuve pas au point que la course ne puisse avoir lieu. Si elle devait ĂȘtre interdite, nous procĂ©derions Ă  un tirage au sort pour dĂ©signer les gagnants, comme le stipule le rĂšglement, car il nous est impossible de la reporter." Une CitroĂ«n AMI pour le laurĂ©at On n'en est pas lĂ  ! Et les billets permettant l'adoption d'un canard sont en vente. Selon l'organisation, "prĂšs de 5 000" ont dĂ©jĂ  trouvĂ© preneurs. Les autres sont Ă  acheter sur le site voire le jour de la course, sur place, de 9 heures jusqu'au lĂącher, Ă  11h45. "L'an dernier, le grand gagnant avait achetĂ© son ticket le matin mĂȘme, sur internet", sourit Yanick Ginel. "Donc, n'hĂ©sitez pas Ă  tenter votre chance..." Les lots mis en jeu valent le coup une voiture Ă©lectrique CitroĂ«n AMI valeur 7 890 €, un scooter Ă©lectrique, un vĂ©lo Ă©lectrique, un ordinateur, une trottinette Ă©lectrique, un tĂ©lĂ©viseur grand Ă©cran, etc. Huit associations sont partenaires Comme lors de chaque Ă©dition, des associations caritatives sont partenaires de la Duck Race AlĂšs. Au nombre de huit, cette annĂ©e, elles seront ainsi soutenues financiĂšrement par les personnes qui adopteront un petit canard. D'ailleurs, il est possible d'en choisir une en particulier, ou plusieurs. Sinon, l'aide sera rĂ©partie Ă©quitablement. Les organismes mis en avant sont Les Amazones, l'Union des sapeurs-pompiers du Gard, Les GuerriĂšres, SolidaritĂ© SĂ©nĂ©gal, Coline, Les coups de pouce de Bruno, L'institut mĂ©dico-Ă©ducatif IME Les ChĂątaigniers et l'Ă©tablissement de service d'aide par le travail Esat Les Olivettes. En parallĂšle, le village de la Duck Race ouvrira ses portes Ă  11 heures. Chacun y trouvera un chĂąteau gonflable, une pĂȘche aux canards, du maquillage pour les enfants, des producteurs et artisans, des points de restauration. Sont Ă©galement attendus une dĂ©monstration de danse et un dĂ©filĂ© de mode, entre 13 heures et 15 heures. "Les canards sont lents", rit le coordinateur du club Rotary. "Il faut parfois les pousser, mais on a l'habitude..." Annonce des rĂ©sultats Ă  16h30 Quoi qu'il en soit, l'annonce des dix premiers gagnants aura lieu Ă  16h30 et les lots seront remis aux personnes qui seront prĂ©sentes. "À l’exception de la voiture, parce qu'il faudra d'abord l'immatriculer."
LeRotary International est une association qui rassemble plus de 32 000 clubs service présents dans plus de 170 pays. L'ensemble de ces clubs Rotary compte au total plus de 1 200 000 membres, appelés rotariens (dont 33 000 en France environ).. Le Rotary a été la premiÚre association de ce type. L'association, dont le siÚge se trouve aujourd'hui à Evanston (prÚs de
Le Rotary International est l’association des Rotary clubs du monde entier. Créé en 1905 c’est aujourd’hui une communautĂ© de 1,2 million d’hommes et de femmes de tous continents, cultures, religions, professions et expĂ©riences qui collaborent au sein de clubs locaux, prĂ©sents dans plus de 200 Pays ou RĂ©gions. La devise du Rotary International est SERVIR D’ABORD » Ses valeurs fondamentales Camaraderie IntĂ©gritĂ© DiversitĂ© Service Leadership Ses objectifs Soutenir les clubs et districts dans la mise en place de programmes et d’activitĂ©s dans le cadre du But du Rotary Encourager, promouvoir et faire croĂźtre le Rotary dans le monde Ses Causes Le Rotary mobilise ses membres sur ses axes stratĂ©giques afin de dĂ©velopper des relations internationales, d’amĂ©liorer les conditions de vie et de crĂ©er un monde meilleur pour soutenir nos efforts de paix. Promotion de la Paix en encourageant le dialogue pour favoriser la comprĂ©hension entre les cultures Lutte contre les maladies en Ă©duquant et Ă©quipant les communautĂ©s afin qu’elles stoppent la propagation de maladies Ă©vitables ou mortelles Approvisionnement en eau potable, assainissement et hygiĂšne SantĂ© des mĂšres et des enfants en amĂ©liorant l’accĂšs Ă  des soins de qualitĂ© afin qu’ils mĂšnent des vies productives Education en y facilitant l’accĂšs et en formant les Ă©ducateurs afin qu’ils inspirent davantage d’enfants et d’adultes DĂ©veloppement des Ă©conomies rurales en crĂ©ant des opportunitĂ©s individuelles et collectives permettant de s’épanouir financiĂšrement et socialement Eradication de la poliomyĂ©lite. Son But Le Rotary a pour objectif de cultiver l’idĂ©al de servir auquel aspire toute profession honorable et, plus particuliĂšrement, s’engage Ă  Mettre Ă  profit les relations et contacts pour servir l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral Observer des rĂšgles de haute probitĂ© dans l’exercice de toute profession, reconnaĂźtre la dignitĂ© de toute occupation utile, considĂ©rer la profession de chaque Rotarien comme un vecteur d’action au service de la sociĂ©tĂ© Appliquer l’idĂ©al de servir dans la vie privĂ©e, professionnelle et publique Faire progresser l’entente entre les peuples, l’altruisme et le respect de la paix par le biais de relations amicales entre les membres des professions, unis par l’idĂ©al de servir.
Leurambition commune est de venir en aide Ă  des personnes fragilisĂ©es ou dĂ©munies et d’accompagner des jeunes dĂ©favorisĂ©s Ă  s’épanouir dans le monde actuel. Le premier Club français a ouvert Ă  Paris en 1921. Depuis cent ans, le Rotary International accompagne l’évolution du monde : participation de Rotariens Ă  la future UNESCO

Adresse Numero Close Close s'identifier S'inscrire Accueil A propos Historique

XavierSymphor, vous ĂȘtes le PrĂ©sident du Rotary Club du Lamentin. Qu’est-ce que le Rotary ? Quelles en sont les origines ? Le premier Rotary Club fut fondĂ© le 23 fĂ©vrier 1905 par un avocat du nom de Paul P. Harris. L’appellation Rotary provient de la pratique de roulement des premiĂšres rĂ©unions entre les bureaux des membres du club.
Le Rotary International a eu 110 ans en 2015 Le 23 fĂ©vrier 2015, Le Rotary avait cĂ©lĂ©brĂ© l’anniversaire du Rotary International et ses nombreuses annĂ©es de lutte contre la polio. CrĂ©e le 23 FĂ©vrier 1905 par Paul Harris, jeune avocat de Chicago, le Rotary International est devenu en 100 ans et Ă  l’échelle mondiale une force de propositions, d’actions et de progrĂšs unique en son genre. FidĂšle Ă  son origine et Ă  son crĂ©ateur, le mouvement international Rotarien est aujourd’hui constituĂ© d’un socle d’hommes et de femmes de tous horizons, reconnus pour leur expĂ©rience, leur compĂ©tence, leur exigence et Ă©thique professionnelles. Leur ambition commune est de venir en aide Ă  des personnes fragilisĂ©es ou dĂ©munies et d’accompagner des jeunes dĂ©favorisĂ©s Ă  s’épanouir dans le monde actuel. Cette volontĂ© forte se traduit trĂšs concrĂštement par la mise en Ɠuvre et le financement de programmes au profit De la santĂ© Polio+, aide Ă  la recherche sur les maladies du cerveau, amĂ©lioration des conditions d’hospitalisation des enfants ou des personnes ĂągĂ©es, De la famille et des jeunes bourses d’études, carrefours des mĂ©tiers, aide sociale, De la lutte contre l’illettrisme soutien scolaire, construction et Ă©quipement d’écoles, De l’eau et du dĂ©veloppement accĂšs et partage de la ressource naturelle, Le Rotary International est prĂ©sent sur les cinq continents, dans prĂšs de 170 pays et regroupe 1,2 million de membres actifs dont 35 000 en France dans plus de 1000 clubs rĂ©partis dans l’hexagone Le premier Club français a ouvert Ă  Paris en 1921. Depuis cent ans, le Rotary International accompagne l’évolution du monde participation de Rotariens Ă  la future UNESCO en 1943 et Ă  la rĂ©daction de la Charte des Nations Unies en 1949, ouverture de clubs dĂšs 1989 en Europe de l’Est, en Chine en 2000. En coordination avec les organismes internationaux tels l’OMS ou l’UNICEF, ses membres oeuvrent pour la paix et le partage des richesses et s’activent pour pallier les dĂ©sordres naturels et rĂ©parer les traumatismes nĂ©s de conflits. Le budget annuel du Rotary International dĂ©passe les 70 millions de dollars et celui de la Fondation Rotary, l’une des plus importantes fondations privĂ©es au monde, s’élĂšve Ă  100 millions de dollars.
Commentest nĂ© le Rotary (suite) ? 1905-1910 CrĂ©ation de clubs dans tous les USA. 1910 PremiĂšre convention Ă  Chicago rĂ©unissant 16 clubs. 1922 Application de la dĂ©nomination Rotary International. 1925 Il existe 20 000 clubs. Doyen des clubs services. Le plus international des clubs services. Club service mixte depuis 1989. Policiers devant le corps du manifestant Carlo Giuliani, tuĂ© le 20 juillet 2001 Ă  GĂȘnes. Photo Dylan Martinez. Reuters Tout l’art de gouverner revient pour le chef d’Etat Ă  donner Ă  entendre qu’il est un YahvĂ© tĂąchant Ă  organiser une citĂ© harmonieuse alors qu’il utilise son serviteur policĂ© pour maintenir la disharmonie qui l’a portĂ© au pouvoir. Bernard Thomas Les provocations policiĂšres - 1972Au lendemain d’une manifestation oĂč leurs soudards ont tuĂ©, cognĂ© et torturĂ©, que font les huit Gangsters qui gouvernent le monde ? Ils dĂ©noncent comme responsables des affrontements ceux des manifestants qui ont rĂ©sistĂ© Ă  leur Ă©tat de siĂšge dictatorial. C’est-Ă -dire qu’ils dĂ©signent comme responsables de la mort de Carlo Giuliani... ce mĂȘme Carlo Giuliani et ses camarades de combat !La ficelle est grosse, mais elle appartient aux classiques instruments de la roublardise gouvernante. Elle se rĂ©sume Ă  ce constat fortement teintĂ© de menace Si les gens ne s’opposaient pas Ă  nos diktats, ils ne risqueraient pas de prendre des Ă  qui trouve cette argumentation digne d’ĂȘtre Ă©coutĂ©e. Honte, plus encore, Ă  qui la rĂ©percute servilement, telle la valetaille journaliste » l’amplifiant sur ses tams-tams responsables des affrontements de GĂȘnes et de leur rĂ©sultat tragique sont les seigneurs de la planĂšte qui lĂąchent leurs sbires armĂ©s dans les rues pour protĂ©ger les bunker-palaces oĂč ils tiennent leurs rĂ©unions contre les lĂ©gitimes manifestations de protestation de ceux qu’ils maltraitent. Les responsables de la mort de Carlo Giuliani et des blessures infligĂ©es Ă  des centaines d’autres sont ces agresseurs de l’humanitĂ© qui, au nom du marchĂ© roi, ne cessent de l’asservir, l’insulter, la frapper, la dĂ©truire. Ce sont ces casseurs de vies qui sacrifient au culte de la rentabilitĂ© » pĂ©cuniaire des millions d’ĂȘtres humains et la planĂšte elle mĂȘme. Ce sont ces provocateurs de colĂšres qui jouent avec les feux qu’allument les rĂ©voltes contre leurs ignominies, afin que leurs embrasements mĂȘmes leurs soient appelant leurs opposants Ă  isoler les violents et les extrĂ©mistes , ils montrent Ă  la fois leur inquiĂ©tude devant une rĂ©bellion qui progresse, et leur foi dans leur capacitĂ© Ă  gruger une fois de plus leurs sujets en leur tendant la perche truquĂ©e du dialogue ». Utilisant le dĂ©sarroi et l’inquiĂ©tude suscitĂ©s par les affrontements chez les manifestants qui ne les avaient pas imaginĂ©s, ils essayent, au moyen d’une trĂšs ancienne mĂ©thode, de faire reculer la rĂ©volte en l’affaiblissant par la confusion et la Ă  qui marcherait dans la combine ! Honte Ă  qui reprendrait ce discours captieux au nom d’une contestation respectable » et se prĂȘterait aux concessions qu’ils demandent, qui se rĂ©sument ainsi Nous voulons bien condescendre Ă  feindre d’écouter vos griefs, Ă  condition que vous les formuliez Ă  plat est vrai que l’usage de la provocation est depuis longtemps une arme policiĂšre courante pour dĂ©stabiliser les rebellions, il n’en est pas moins vrai que les colĂšres que cette provocation infiltre pour tenter de les manipuler et de les dĂ©voyer ont leurs raisons d’ĂȘtre, que ceux qui s’insurgent contre les mĂ©faits de ce monde gagneraient Ă  entendre, au lieu de se rallier Ă  leur diabolisation. DĂ©crire ces colĂšres comme les manifestations d’un dĂ©sarroi aveugle Ă©quivaut Ă  les diminuer. Elles sont bien aussi, souvent, la manifestation d’une luciditĂ© qui fait dĂ©faut Ă  de moins irritĂ©s protestataires. Un mĂ©content est un pauvre qui rĂ©flĂ©chit, disait Talleyrand, cette merde dans un bas de soie. Certains de ces colĂ©reux sont des mĂ©contents ayant dĂ©jĂ  fait l’expĂ©rience des diffĂ©rentes techniques des pouvoirs en place pour calmer les rĂ©voltes et les Ă©touffer, et qui ne veulent plus se laisser pacifier » par la carotte ou le bĂąton. Ils savent que ça ne sert Ă  rien de demander au pouvoir d’ĂȘtre plutĂŽt comme-ci ou comme ça, dit, Ă  leur propos un sociologue. Sur ce point, au moins, ces rĂ©voltĂ©s sont plus lucides que d’autres. Et ces autres devraient, sur ce point, au moins, leur prĂȘter attention. Que leur colĂšre puisse ĂȘtre dĂ©voyĂ©e par des manipulations sachant facilement l’exciter n’enlĂšve rien Ă  la vĂ©ritĂ© qui la fonde ils ont peu d’illusions sur la nature de ce monde et l’immensitĂ© des saloperies qu’il gĂ©nĂšre, c’est ce qui les Ă©nerve. Et, plutĂŽt que de s’en affliger, il conviendrait de s’étonner qu’il y ait encore si peu de gens que ce monde rĂ©volte ainsi Giuliani Ă©tait visiblement de ceux-lĂ  puisqu’il est mort en attaquant la police. Qui veut rĂ©ellement lui rendre hommage doit l’admettre. Ceux qui se l’approprient comme martyr » de leur cause tout en crachant sur ce Black block auquel il Ă©tait mĂȘlĂ© se comportent en sordides charognards. Ils insultent sa mĂ©moire en insultant ceux qui sont comme lui et que la police n’a pas encore tuĂ©s. Qu’ils ne feignent pas l’affliction. Ils l’utilisent le militantisme qui, Ă  la maniĂšre du Black block, ritualise cette colĂšre et l’empĂȘche de devenir plus intelligente en l’exaltant comme seule forme de lutte possible, l’affaiblit plus qu’il ne la sert. Il la lance sur le terrain du seul affrontement militaire, celui oĂč les flics sont le plus Ă  l’aise, et fait de son vandalisme » spontanĂ© ou orchestrĂ© le repoussoir facile dont ceux qui veulent modĂ©rer la rĂ©bellion peuvent user comme d’un Ă©pouvantail pour inquiĂ©ter les rĂ©voltĂ©s moins agressifs et les rallier Ă  des solutions » plus molles. Comme le notent des anarchistes qui ne sont pas Black bloquĂ©s La croyance en le mythe violence = radicalitĂ© participe Ă  susciter un faux clivage qui va fractionner les gens et rendre service Ă  tous ceux qui ont intĂ©rĂȘt Ă  susciter la division Globalisation du Roquefort, Courant Alternatif N° 111. Il est Ă©vident que ce ne sont pas des bastons » rituels avec les flics et des vitrines cassĂ©es et des banques brĂ»lĂ©es qui pourront suffire Ă  changer un monde, c’est-Ă -dire en construire un autre. Mais, traiter ceux qui se dĂ©chaĂźnent » de cette maniĂšre, comme des auxiliaires de police, c’est marcher Ă  fond dans ce que veulent les chefs d’orchestre de la provocation couper la rĂ©bellion de ceux qui y sont les plus dĂ©terminĂ©s, l’enfermer dans les dolĂ©ances flasques et les protestations » impuissantes oĂč elle se noiera, comme furent noyĂ©s bien d’autres faut toute la naĂŻvetĂ© d’apprentis insurgĂ©s, dĂ©munis de toute mĂ©moire historique, pour croire qu’une rĂ©volte aura une chance d’ĂȘtre considĂ©rĂ©e avec bienveillance par ceux contre lesquels elle se dresse parce quelle se refuserait Ă  recourir Ă  des mĂ©thodes pouvant les inquiĂ©ter. L’histoire prouve tout le contraire Jamais un pouvoir en place n’a cĂ©dĂ© sur l’essentiel sans y avoir Ă©tĂ© contraint. Jamais il n’a accordĂ© de modifications dĂ©cisives de l’organisation sociale sans que celles-ci lui aient Ă©tĂ© arrachĂ©es. L’aristocratie n’a aboli les privilĂšges que parce que la Bastille Ă©tait prise, que les chĂąteaux brĂ»laient, et qu’il fallait, note Chamfort, dĂ©sarmer la vengeance d’un peuple Ă©chappĂ© tout Ă  coup de ses chaĂźnes Tableaux historiques de la RĂ©volution française, 1792. En 1848 ce sont les insurrections populaires qui ont apportĂ© les rĂ©publiques. Et le mouvement ouvrier n’a obtenu que par une dure lutte ces acquis » sociaux qu’il perd Ă  toute vitesse aujourd’hui. Les maĂźtres du monde, Ă  toutes les Ă©poques, ont toujours rĂ©sistĂ© sans douceur Ă  ce qui mettait en doute leur pouvoir, comme en tĂ©moigne l’écrasement de nombreuses tentatives de changement de sociĂ©tĂ©. Pourquoi en irait-il diffĂ©remment aujourd’hui oĂč ils se sentent forts d’un arsenal rĂ©pressif administratif et technologique considĂ©rable et oĂč seule une infime partie de leurs sujets » remue un peu sous le joug ?À GĂȘnes, les manifestants ont pu faire l’expĂ©rience de cette machinerie rĂ©pressive Ă  l’Ɠuvre, en tĂątant des matraques d’une police qui avait visiblement pour instruction de cogner fort pour faire peur, et qui l’a fait avec joie. Car il faut avoir la douteuse naĂŻvetĂ© des leaders du Forum social pour affecter de croire que la police n’aurait pas chargĂ© les manifestants si le Black block ne l’avait pas provoquĂ©e ». L’attitude des carabiniers bastonnant allĂšgrement des manifestants pacifiques, loin des lieux oĂč agissaient les vandales dĂ©signĂ©s comme Ă©tant du Black block parmi lesquels l’école Diaz, théùtre d’un massacre policier immonde montre que, si c’était pour eux un prĂ©texte, il Ă©tait bien mince et que s’ils n’avaient pas eu celui-lĂ , ils en auraient trouvĂ© un autre. En fait, ils Ă©taient lancĂ©s pour faire leur mĂ©tier cogner, et ils l’ont fait avec d’autant plus de dĂ©termination qu’ils se savaient couverts, comme d’ailleurs bien d’autres de leurs homologues dans de nombreuses situations semblables de par le monde, depuis Göteborg jusqu’à la Kabylie, et aussi d’autres plus banalement quotidiennes comme ces " bavures " devenues ordinaires en aujourd’hui, confrontĂ© au tollĂ© que suscite leurs exactions et embĂȘtĂ© que son opposition en profite, le gouvernement italien feint de s’inquiĂ©ter des excĂšs » de sa police. Il trouvera sans doute quelque bouc Ă©missaire Ă  sacrifier pour calmer l’indignation et reconstruire au plus vite des rapports de confiance entre la police et la sociĂ©tĂ© civile comme le demande le syndicat CGIL. Mais c’est bien parce qu’il a voulu cette violence qu’elle a eu lieu. Car on ne met pas des troupes sur le pied de guerre pour s’étonner ensuite quelles la fassent. On ne joue pas Ă  provoquer le feu comme l’ont fait les policiers casseurs » en civil pour s’étonner qu’il brĂ»le. Et l’on ne lance pas des hommes armĂ©s de flingues dans des affrontements sans avoir supputĂ© l’éventualitĂ© qu’ils s’en servent. Peut-ĂȘtre que les ordonnateurs de ce minable machiavĂ©lisme auraient prĂ©fĂ©rĂ© que ce soit un flic qui se fasse tuer par des manifestants. Cela aurait mieux justifiĂ© leur sanglante rĂ©pression. Mais qu’ils aient calculĂ© cela ou non ne change rien au fait qu’ils ont dĂ©libĂ©rĂ©ment excitĂ© Ă  la bagarre et en sont responsables. Leurs hommes de main n’auraient pas bougĂ© si eux, les caĂŻds, ne l’avaient pas ailleurs, Ă  voir ce qui s’est passĂ©, on ne peut s’empĂȘcher de se dire aussi que les cognes auraient peut-ĂȘtre eu plus de difficultĂ©s Ă  taper dans le tas s’ils avaient trouvĂ© en face d’eux des gens un peu plus dĂ©terminĂ©s Ă  leur rĂ©sister. Car, tout de mĂȘme, 15 000 flics pouvant sans mal rentrer dans le lard de 200 000 personnes il y a de quoi plastronner dans les commissariats transalpins ! S’ils ont pu le faire c’est parce qu’ils n’ont trouvĂ©, en majoritĂ©, en face deux que de naĂŻfs non-violents. Et c’est Ă  l’aulne de cette dĂ©faite que les pleurnicheries pacifistes » doivent ĂȘtre non-violence comme forme de combat devient vite, face Ă  un adversaire dĂ©terminĂ©, une fabrique Ă  martyrs c’est pourrir beaucoup les moutons allant d’eux-mĂȘmes Ă  l’abattoir. À GĂȘnes, les apĂŽtres de cette non-violence ont leur part de responsabilitĂ© dans les mauvais traitements qu’ont subis les manifestants. En flattant l’idĂ©e que cette non-violence pouvait suffire le comble Ă©tant atteint par les Tute Bianche organisant un assaut.. dĂ©sarmĂ© !, en ne prĂ©parant pas les manifestants Ă  l’éventualitĂ© de la confrontation, ils ont envoyĂ© au casse-pipe des gens dĂ©munis de tout moyen de dĂ©fense, proies faciles pour les cogneurs. Entendre ensuite ces leaders Si peu prĂ©voyants accuser les anarchistes » dans leurs rangs d’ĂȘtre cause des coups que les manifestants ont reçus donne envie de gerber. Comme si ce n’étaient pas les flics qui avaient cognĂ©. Comme si ce n’était pas ces flics qui mĂ©ritent la haine et non les anars » !Mais que croyaient-ils, ou qu’essayaient-ils de faire croire, ces leaders pleurant que leur lutte » a Ă©tĂ© dĂ©considĂ©rĂ©e par les violents qu’ils qualifient si facilement d’anars ? Qu’une manif non agressive aurait emportĂ© les rĂ©ticences des huit gredins Ă  Ă©couter leurs dolĂ©ances ? Qu’il aurait suffi que les manifestants posent leur cul devant les grilles de la Zone rouge pour que ces canailles, cĂ©dant Ă  cette pression » insoutenable, leur accordent gain de cause ? S’ils sont sincĂšres, ils font preuve d’une stupĂ©fiante mĂ©connaissance du monde oĂč ils vivent et du cynisme intĂ©gral de ceux qui le George, une de celles qui pleurnichent ainsi Ă  la une de journaux complaisants, tartine longuement sur la criminalisation » de la rĂ©volte Ă  laquelle les gouvernants ont partout recours pour tenter de l’arrĂȘter. Mais y a-t-il lĂ  de quoi s’étonner ? Pourquoi les mafias rĂ©gnantes considĂ©reraient-elles cette rĂ©volte comme autre chose qu’une ennemie ? Pourquoi feraient-elles autre chose que tenter de la rĂ©primer, comme l’ont fait de tout temps les tyrans sentant leur pouvoir menacĂ© ? Parce que l’ ordre » qu’elles imposent n’est pas un ordre mafieux ! Parce qu’elles ne sont pas des tyrannies ! VoilĂ  bien la grande illusion, la principale, celle qui entraĂźne toutes les autres cette sociĂ©tĂ© serait une sociĂ©tĂ© dĂ©mocratique » et, comme telle, dotĂ©e des moyens de combattre ceux qui la bafouent. Faut-il que la poudre aux yeux ait bien fonctionnĂ© depuis Thermidor ! Faut-il que la luciditĂ© critique ait rendu les armes pour que 200 ans aprĂšs le Manifeste des EnragĂ©s 1793 on ait oubliĂ© que La libertĂ© n’est qu’un vain fantĂŽme quand une classe d’hommes peut affamer l’autre impunĂ©ment. L’égalitĂ© n’est qu’un vain fantĂŽme quand le riche, par le monopole, exerce le droit de vie et de mort sur son dĂ©mocratie n’est qu’un vain fantĂŽme quand ceux qui tiennent les cordons de la bourse ont le pouvoir effectif, quand les gouvernants ne peuvent ĂȘtre que les rĂ©gisseurs de leur domaine. À preuve alors que tant de lois sont faites Ă  leur convenance, pour faciliter leurs rapines, ils n’hĂ©sitent pas Ă  les bafouer sans vergogne dĂšs lors qu’elles ne leur semblent pas suffisantes. Ainsi, Ă  GĂȘnes, ont ils aboli la libertĂ© de circulation pour squatter une partie de la ville. Ainsi aux États-Unis, Susan George peut relever une violation flagrante des droits garantis par la constitution Le Monde diplomatique, AoĂ»t 2001 puis constater en Europe Ă©galement, les gouvernements ne se, gĂȘnent nullement pour prendre des libertĂ©s avec les textes et conclure que le capital international n’a jamais aussi clairement affichĂ© sa haine de la dĂ©mocratie. C’est que le dĂ©guisement dĂ©mocrate lui convient lorsqu’il peut servir Ă  faire admettre ses diktats comme Ă©tant voulus par les populations auxquelles il les impose, mais qu’il peut ĂŽter cette dĂ©froque sans risque lorsqu’elle le gĂȘne aux entournures. Et, de fait, qui actuellement a les moyens de l’en empĂȘcher ? Personne. Il peut donc, sans s’angoisser, doubler les institutions dĂ©mocratiques » qui lui ont si longtemps servi de paravent par des organismes non Ă©lus directement Ă  son service OMC, FMI etc. Certes, en faisant cela, il tombe le masque il devient visiblement ce qu’il est rĂ©ellement depuis longtemps un despotisme. Mais s’il le fait c’est qu’il croit pouvoir se le permettre et, pour l’instant, il le jour, peut-ĂȘtre, les hommes aussi Ă©loignĂ©s de nos prĂ©jugĂ©s que nous le sommes de ceux des Vandales, s’étonneront de la barbarie d’un siĂšcle oĂč ce fut quelque chose de religieux que de juger un tyran. Saint-Just, Discours sur le jugement de Louis XVI, 13 novembre pourquoi les pouvoirs en place criminalisent » la rĂ©volte contre l’organisation sociale qu’ils dĂ©fendent, un commentateur diplomatique note que c’est parce qu’elle est perçue » par les dirigeants comme une opposition au systĂšme capitaliste mondial. Il n’y a guĂšre Ă  s’étonner qu’elle soit ainsi perçue », car, si seule une minoritĂ© de ceux qui s’y adonnent aujourd’hui la dĂ©finissent comme telle, c’est effectivement ce qu’elle doit devenir pour avoir une chance de fabriquer cet autre monde » dont elle affirme qu’il est l’ordre » des huit gangsters et de leurs seconds couteaux n’est pas un ordre fondamentalement humain qui commet quelques excĂšs, c’est une organisation sociale fondĂ©e sur l’asservissement et l’aliĂ©nation de l’humanitĂ©, de la mĂȘme nature que celle combattue par nombre de nos ancĂȘtres une sociĂ©tĂ© oĂč une minoritĂ© possĂšde les moyens de faire agir l’immense majoritĂ© Ă  son service et Ă  la perpĂ©tuation de la machinerie Ă©conomique garantissant son pouvoir et ses avantages. Et ceux qui en sont les maĂźtres ne sont pas un groupe de braves gens soucieux du bien-ĂȘtre de chacun qui se tromperaient sur la maniĂšre de le fabriquer, ou dont les efforts seraient gĂąchĂ©s par quelques corrompus infiltrĂ©s, ce sont de trĂšs Ă©hontĂ©s salopards. Pour avoir une chance de faire un monde Ă©chappant Ă  leurs mĂ©faits, il faut d’abord comprendre cela, au lieu de se leurrer sur leur ceux qui s’illusionnent sur la possibilitĂ© de faire entendre raison Ă  ces satrapes, c’est-Ă -dire seuls ceux qui s’imaginent pouvoir humaniser ce despotisme, en faire un despotisme Ă©clairĂ©, peuvent rĂȘver d’un dialogue avec lui qui pourrait ĂȘtre positif ». ÉcƓurĂ©s par les multiples crimes et dĂ©prĂ©dations du capitalisme, mais n’osant imaginer de pouvoir construire une sociĂ©tĂ© qui en serait entiĂšrement libĂ©rĂ©e, ces citoyens » lĂ  espĂšrent les tempĂ©rer par un contrĂŽle » dont ils obtiendraient la possibilitĂ© grĂące aux actions de lobbies de leurs ONG soutenues par leurs manifestations dĂ©bonnaires. RĂȘvant d’un capitalisme Ă©thique », d’un marchĂ© qui ne transformerait pas tout en marchandises, d’une dictature allĂ©gĂ©e qui garantirait Ă  ses serfs un service public » suffisant , c’est-Ă -dire de requins sans dents et de chacals sans perfidie, ils s’efforcent de faire entendre aux potentats qu’il serait de leur intĂ©rĂȘt d’accorder audience Ă  leurs dolĂ©ances et de faire quelques rĂ©formes afin de rendre leur domination moins pĂ©nible ; plus supportable. Ils aimeraient attĂ©nuer la misĂšre et l’aliĂ©nation sans supprimer ce qui les cause. Ils s’abusent complĂštement, aussi gĂ©nĂ©reux et sincĂšres soient-ils. Le mĂ©pris musclĂ© qui rĂ©pond Ă  leurs suppliques ne fait que commencer Ă  leur ceux qui, Ă  leur tĂȘte, cultivent sciemment ces illusions sont moins naĂŻfs et plus roublards. Ils sont cette feinte dissidence fort justement dĂ©noncĂ©e par Louis Janover Voyage en feinte-dissidence, suivi de Thermidor, mon amour, Editions Paris-MĂ©diterranĂ©e qui, voyant croĂźtre l’insatisfaction et la rĂ©volte en mĂȘme temps que le dĂ©sabusement pour le bluff politicard, s’est greffĂ©e Ă  toute vitesse sur ce dĂ©but de rĂ©bellion pour avoir l’air de l’initier, en prendre la tĂȘte et la contrĂŽler en l’embrouillant par des analyses trompeuses de la nature de l’ordre » rĂ©gnant habillĂ©es du sĂ©rieux scientifique » d’économistes et sociologues pĂ©remptoires, en flattant les illusions de pouvoir le rĂ©former, et en dĂ©guisant des dolĂ©ances aussi humbles que ridicules en grandes exigences et de la mendicitĂ© respectueuse en lutte radicale. C’est une mystification dĂ©fensive de la sociĂ©tĂ© capitaliste que cette feinte dissidence, prenant le relais du baratin de gĂŽche Ă©puisĂ© et dans laquelle de nombreux experts de ce baratin s’empressent de se recycler, qui a pour but de capter et captiver la rĂ©volte naissante pour la dĂ©voyer au service du maintien de ce quelle espĂšre changer. Et les manipulateurs qui la mĂšnent, si prompts Ă  calomnier comme agents objectifs » de la rĂ©pression tous ceux qui ne reculent pas devant le conflit avec le despotisme, sont encore plus prompts Ă  devenir mouchards et mobiliser leurs sĂ©vices d’ordre pour isoler les violents et les extrĂ©mistes, comme leur demandent ceux auxquels prĂ©tendument ils s’opposent, afin de sauvegarder leurs chances d’ĂȘtre invitĂ©s par ces despotes dans leur Think-tanks bidons ! et de pouvoir devenir autoritĂ©s » Ă  leur tour dans un ordre du monde inchangĂ© mais repeint de neuf Ă  la barbouille d’ATTAC. Qui se croit sage en Ă©coutant leurs propos, se flattant de " rĂ©alisme ", peut prĂ©parer son autre monde est possible, mais il ne s’obtiendra pas comme la rĂ©bellion naissante veut aboutir Ă  autre chose qu’à faire le lit d’un nouveau gang d’arnaqueurs politicards, elle doit comprendre la nature de l’ordre » contre lequel elle se dresse. Ce n’est qu’en prĂ©cisant ses griefs et identifiant clairement ses ennemis qu’elle pourra trouver les moyens de qui recommence entre les maĂźtres de ce monde et ceux qui contestent leur rĂšgne marque un retour de cette tenace guerre sociale que les gauchistes recyclĂ©s au Rotary croyaient avoir fossoyĂ© sous le PanthĂ©on Mitterrandien. Les seigneurs de la planĂšte, eux, ont toujours su qu’il s’agit d’une guerre et n’ont jamais rechignĂ© Ă  la mener. Il serait temps que leurs opposants le comprennent aussi, qu’ils retrouvent sur ce point la luciditĂ© de certains de leurs s’insoumettre, ne serait-ce qu’un peu, est, aux yeux des despotes, le crime qui contient tous les crimes. Qui a eu cette audace ne doit pas craindre d’ĂȘtre devenu, ainsi, leur ennemi. Il doit au contraire poursuivre sur ce chemin et renforcer son crime », car la meilleure mĂ©thode pour ne pas avoir Ă  subir leur punition c’est de leur ĂŽter les moyens de lui n’est pas ĂȘtre un adorateur de la violence que de savoir qu’il faut une certaine force pour dĂ©truire les Bastilles et plus encore pour changer radicalement le monde qu’elles protĂšgent. Ce que l’on exige d’un tyran qui ne veut pas le donner, il faut savoir lui prendre. Et ce qu’on a su lui prendre, il faut savoir le dĂ©fendre. Cette force ne doit pas, au risque de se perdre dans une impasse identique Ă  celle des annĂ©es de plomb », se laisser prendre dans des collisions de type militaire, mais elle ne peut non plus se constituer en fuyant toujours l’affrontement. Il appartient au mouvement qui la mettra en jeu d’essayer d’ĂȘtre assez stratĂšge et sensible pour ne pas l’engager inconsidĂ©rĂ©ment vers des issues tragiques. Pour l’heure, cette force est Ă  construire. Cela ne pourra se faire que si ceux auxquels elle est nĂ©cessaire se libĂšrent des nombreuses illusions qui les menottent encore presque les violents et les extrĂ©mistes c’est bien, en effet, ce que la rĂ©volte doit faire Isoler les violents mercenaires qui gardent les Versailles de l’OMC, du G8 et de ses vassaux. Isoler les extrĂ©mistes sectateurs du marchĂ© » qui ont engagĂ© le djihad de dĂ©fense de leur religion et de leurs privilĂšges contre les peuples de la terre. Pour qui veut ne pas subir la marchandisation du monde, il ne s’agit pas de chercher comment s’y prendre pour attĂ©nuer un peu les dĂ©gĂąts qu’elle cause, mais de trouver comment s’en cela, les bastonneurs » doivent se demander comment construire et les pacifistes » doivent se demander comment se battre. Plus ils en dĂ©battront ensemble, plus ce soulĂšvement progressera. Plus ils s’excluront rĂ©ciproquement, plus il stagnera et reculera. Cependant, pour avancer, ce mouvement doit tout de mĂȘme exclure une chose de son sein la soumission Ă  l’ordure rĂ©gnante, et ceux qui la encore un effort pour sortir de la Berneri AoĂ»t 2001 LeRotary compte plus de 1,2 million de membres dans plus de 35 000 clubs. Aux quatre coins du monde, vous retrouvez des Rotariens qui mettent en pratique notre devise Servir d’abord. Aux quatre coins du monde, vous retrouvez des Rotariens qui QU' EST- CE QUE LE ROTARY ? LE ROTARY EST UN CLUB SERVICE qui regroupe des hommes et des femmes d'entreprises chefs d'entreprise, professions libĂ©rales, fonctionnaires divers dont enseignants et chefs d'Ă©tablissement, artisans...rĂ©unis autour du mĂȘme idĂ©al de "SERVIR". La devise du Rotary international est du reste "SERVIR D'ABORD". LE ROTARY EST INTERNATIONAL - Il siĂšge Ă  l'ONU dans le cadre du CES Conseil Economique et Social, au titre des ONG Organisation Non Gouvernementale - Il a une voix consultative Ă  l'UNESCO - Il est partenaire de l'OMS Organisation Mondiale de la SantĂ©. en 1993, Le Rotary International s'est vu dĂ©cerner la prestigieuse "MĂ©daille d'Or de la SantĂ© pour tous". en 1996, le Rotary International, fut la premiĂšre organisation Ă  recevoir le Prix Jenner de l'initiative pour les vaccins Ă  l'enfance IVE. Le Rotary est aujourd'hui PrĂ©sent dans 160 pays dans le monde, et compte environ 1201000 membres dans 29 300 clubs regroupĂ©s en 521 Districts chiffres 1999 . Pour en savoir plus cliquez sur qui a créé le Rotary . 751 219 142 358 714 568 30 589

qu est ce que le rotary club