Description du projet Le crayon et le carnet dans le sac à dos ou la sacoche vélo pour porter un regard sur le monde qui nous entoure. Dessiner et collecter pour plus tard s’en inspirer. Lieu En France et à l’étranger
Quandun dessin vaut mieux qu'un long discours : les illustrations de "LaTchi". Spécialiste de la communication éditoriale et de la création de contenus, Mon cher Watson s'intéresse particulièrement au travail des artistes illustrateurs. Quelle est la plus-value du dessin pour la médiation culturelle et la communication des organisations
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Poursouhaiter la bonne année, un petit dessin vaut mieux qu’un long discours. Mis en ligne le 1/01/2021 à 13:54 . Un dessin signé Kévin
Communiquer, échanger à distance peut parfois être compliqué malgré la ribambelle d’outils de toute sorte qui tentent de faire tomber les barrières de l’éloignement ou encore de la langue. Limnu est un outil collaboratif qui va baser les échanges sur un langage universel le dessin. La plateforme, utilisée par de très grandes entreprises comme par des freelance, vous offre un tableau blanc en ligne, une sorte de paperboard virtuel, sur lequel vous allez pouvoir dessiner, communiquer, gamberger en groupe avec une grande souplesse. Cet outil va vous surprendre par son expérience utilisateur remarquable. Simple à utiliser, ergonomie impeccable, la fluidité même de l’outil est étonnante. On n’est vraiment plus très loin de la sensation de la page blanche ou du paperboard. Que ce soit pour un brainstorming collaboratif, pour expliquer un concept ou donner vie à une idée, les usages de Limnu sont presque illimités. Une interface limpide pour une prise en main immédiate. Vous ne serez jamais à court de feuilles blanches sur Limnu. Pas besoin de recharges pour ce paperboard virtuel. Une fois inscrit l’espace est illimité et vous pouvez créer autant de dessins et de schémas que vous voulez. Un back office central vous permettra d’accéder à tous vos tableaux blancs. Quand vous en ouvrez un ou que vous en créez un nouveau, vous voilà face à une feuille blanche. Les outils de dessin se trouvent en bas de la page. Un marqueur avec une pointe de différentes tailles, un nuancier pour jouer avec les couleurs, une gomme pour effacer, tous les outils de base pour commencer à dessiner. Des menus complémentaires vous permettront si vous le souhaitez d’insérer de texte, des images ou encore des notes. Un paperboard virtuel pensé pour le travail en équipe. Limnu a été conçu pour le travail collaboratif. Il suffit d’inviter votre équipe, vos coéquipiers ou vos clients pour partager vos concepts ou vos idées. Vous pouvez diffuser un tableau en indiquant les mails des personnes que vous souhaitez inviter. Vous pouvez également obtenir une URL unique pour un partage encore plus simple avec un grand nombre de personnes. Sur le côté gauche de l’écran, vous avez accès à un système de tchat qui permet de dialoguer en direct avec tous les participants. L’ensemble des contributeurs suit en temps réel tous les ajouts et modifications faits par les uns et les autres. Le tchat peut être complété par un système de visioconférence grâce à une intégration avec le service L’outil devrait proposer également très prochainement une intégration à Slack. Si vous souhaitez sauvegarder votre tableau, vous pourrez l’importer sur votre ordinateur au format image. Pas besoin de prendre une photo de votre paperboard à la fin d’un brainstorming, Limnu garde en mémoire l’ensemble de vos tableaux. Limnu fonctionne sur tous les supports, sur un simple navigateur de votre ordinateur, sur vos smartphones, tablettes ou à partir d’une tablette graphique. Vous pouvez tester et utiliser gratuitement et sans aucune contrainte Limnu pendant 15 jours. Si vous décidez de l’adopter par la suite, il vous en coûtera un peu moins de cinq euros pour un plan pro. Idéal pour un freelance qui travaille avec beaucoup de clients et avec des collaborateurs occasionnels. Lien Limnu
Unbon dessin vaut mieux qu’un long discours. Signaler ce post Jurimanagement Jurimanagement Publié le 7 juin 2022 + Suivre Depuis toujours les acteurs et professionnels du monde du droit ont eu beaucoup de mal à communiquer et se faire comprendre de leurs clients et des non juristes. Cette complexité doublée d’une terminologie savante (et souvent latine) a été
A l’occasion de la 42e édition du festival d’Angoulême, festival de la bande dessinée, qui s’ouvre aujourd’hui, Libération nous propose un numéro entièrement illustré par des dessins et des caricatures… L’occasion, donc, pour le journal, de faire le point sur le dessin de presse, un art bien éprouvé par l’attentat meurtrier contre Charlie Hebdo, un art qui s’est aussi raréfié au fil du temps, constate Libération. Si un bon dessin vaut mieux qu’un long discours, malgré tout, ils sont moins nombreux dans les journaux. Un chiffre est parlant ils sont seulement 77 dessinateurs en France à avoir une carte de presse, nous apprend le journal, sur un total de 36 900 journalistes. Ils étaient plus de 100 il y a encore cinq ans. Pourquoi ? Aujourd’hui, explique Libération, l’ironie, qui demande complicité et interprétation, semble de plus en plus difficile. A la fois par un déni culturel grandissant et parce que dans le monde globalisé, chaque culture évalue celle du voisin à l’aune de la sienne au lieu de les faire dialoguer et de relativiser l’une et l’autre. »Qui plus est, poursuit Libération, dès lors que les minorités dans les démocraties voient leurs droits mieux reconnus, leur dignité mieux respectée, progrès incontestables, elles exigent, directement ou indirectement, une plus grande prudence chez ceux qui les caricaturent. De la même manière que certains sketchs de Desproges ou Coluche passeraient difficilement aujourd’hui, sauf à s’attirer les foudres des associations ou des élus, certaines caricatures sortent plus difficilement du crayon des dessinateurs. … Résultat, constate Libération un travail souvent léché, maîtrisé techniquement, mais manquant parfois un peu d’âme. L’avantage aucun risque de devoir censurer un dessin pour une bite tordue ou une barbe de prophète cachée. »Un prix CharlieEn effet, déplore La Charente Libre, un certain esprit frondeur et libertaire s’évapore L’instant est à l’autorité et à la gravité, soupire La Charente Libre. Les humoristes fleurissent à tous les étages mais on a plus sous la main l’irrésistible fiche bricolage du professeur Choron capable de faire sauter le couvercle. Le rêve de liberté qui flirte avec ces cinquante années de déconnade s’est abîmé dans l’implacable business des temps présents. Mai 1968 à la poubelle, Hara Kiri et Charlie au musée, c’est comme si le festival d’Angoulême nous suggérait qu’il était urgent de trouver l’antidote au sombre spectacle qui tient l’affiche aujourd’hui. »En tout cas, cette année, relèvent Les Dernières Nouvelles d’Alsace, quatre jours durant, le mauvais esprit de Charlie Hebdo va souffler comme jamais sur le festival. … Trois semaines après les attentats, Charlie Hebdo n’est définitivement pas mort. »Reste qu’une drôle d’atmosphère risque de flotter sur cette 42e édition du festival d’Angoulême, note Le Parisien. La grande fête annuelle de la BD 200 000 visiteurs l’an passé aura forcément un autre goût. Ici plus qu’ailleurs, on sera bien entendu " Charlie ", avec la volonté de rendre hommage aux copains. Wolinski ne ratait aucune édition. Cabu, Tignous, Charb et Honoré y sont passés quelque fois. »Cette 42e édition, relève encore Le Parisien, se veut un temps de mémoire, avec l’attribution de deux récompenses un grand prix spécial à l’hebdomadaire pour " l’ensemble de son œuvre " et le prix Charlie pour la liberté d’expression, consacré cette année " aux dessinateurs disparus ". Une récompense qui perdurera lors des prochaines éditions et récompensera un auteur qui se bat pour la défense de cette liberté fondamentale. »Une pomme bien juteuse…A la Une, également, une célèbre marque au logo en forme de pomme. Apple, pour ne pas la nommer, croque dans le profit à pleines dents et s’offre un beau coup de pub avec la Une du Figaro et des Echos. Le succès de l’iPhone tire Apple vers les sommets », s’exclame le quotidien économique. Apple, l’entreprise la plus profitable de tous les temps », s’esbaudit Le Figaro. En seulement trois mois, pointe le journal, la marque a vendu 74,5 millions d’iPhone et réalisé 18 milliards de dollars de bénéfices. Apple est désormais le groupe qui a dégagé le plus gros profit trimestriel de l’histoire, tous secteurs confondus. »Le Figaro qui profite de l’occasion pour exalter le libéralisme américain et fustiger le mauvais esprit français Aux États-Unis, il ne viendrait à l’idée de personne de dénoncer les " superprofits " d’Apple, un procès qu’endure chaque année Total, six fois moins rentable. Ni de clouer au pilori un ministre - cruelle expérience vécue par Emmanuel Macron - souhaitant à voix haute que les jeunes de son pays aspirent à devenir milliardaires. Et encore moins, poursuit Le Figaro, de dépouiller ceux qui font fortune. Les Américains, eux, ne plument pas les pigeons, s’exclame encore le quotidien d’opposition comme tous les autres, ils ont compris depuis bien longtemps que l’émergence de pépites comme Apple était incompatible avec une fiscalité confiscatoire et des impôts aussi absurdes que l’ISF et la taxe à 75%. »Cela durera-t-il ?La Croix nous propose ce jeudi son baromètre annuel sur les médias. Un baromètre, publié juste après les attentats, qui montre un intérêt accru pour l’actualité. Commentaire du quotidien catholique L’appétit d’information comme la confiance dans les médias ont progressé nettement. Certes, les doutes sur l’indépendance des journalistes, sur l’objectivité de leurs articles ne sont pas d’un coup levés. Mais quand de très graves événements se déroulent, les Français lisent les journaux, regardent la télévision, écoutent les radios, consultent des sites internet, notamment ceux des titres de presse écrite. En outre, constate encore La Croix, l’attaque menée contre un magazine, aussi loin soit-on de son contenu, a remis en valeur les piliers d’une vie démocratique que sont la liberté d’expression et le pluralisme des médias. Réactions réconfortantes pour un univers médiatique inquiet de son avenir. »Et La Croix de s’interroger Cet appétit d’informations durera-t-il ? De multiples réflexions doivent naître de ces douloureuses journées. Sur la manière d’exercer notre métier sous la pression de l’urgence et du direct ; sur les informations que l’on peut ou non donner, au cours d’une opération policière. Il nous faut aussi nous interroger cela ne concerne pas seulement les journaux satiriques sur les conséquences de ce qui est écrit ou diffusé et les limites à nous fixer à nous-mêmes. »Cinquième étoile ?Enfin, La force bleue » c’est le grand titre de L’Equipe, qui salue ainsi la performance de l’équipe de France de handball qui a surclassé la Slovénie hier soir en quarts de finale des championnats du monde, sur le score de 32 à 23… En demie, ce sera l’Espagne et, pour le quotidien sportif, tous les espoirs sont permis C’est reparti comme en 14. Comme l’an dernier à l’Euro, l’Espagne sera l’avant-dernier virage sur la Voie lactée qui conduit à la cinquième étoile le 5e titre de champion du monde, la plus brillante de toutes puisqu’elle constituerait le record absolu de couronnes depuis la création du Mondial. »
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un dessin vaut mieux qu un long discours