Enville, cela est possible dans les pharmacies qui vaccinent avec les deux vaccins, dans les cabinets médicaux et infirmiers. Il est également possible, pour les patients concernés, d’acheter leur vaccin anti-grippe en pharmacie et de venir avec en centre de vaccination le jour de leur rendez-vous de rappel vaccinal contre la Covid-19.

Campagne de vaccination contre la grippe saisonnière 2021-2022 Le point sur la campagne nationale de vaccination contre la grippe saisonnière 2021-2022 la stratégie vaccinale 2021, l’articulation avec la vaccination contre le Covid-19, les vaccins disponibles. La vaccination contre la grippe saisonnière a commencé le 22 octobre 2021 et a été prolongée jusqu’au 28 février 2022 dans un contexte encore marqué par la crise sanitaire du Covid-19. Toutes les opportunités de vaccination doivent être saisies pour optimiser les deux campagnes de vaccination, grippe et rappel Covid-19, dans l’objectif d’un haut niveau de protection des plus fragiles. Quelle stratégie vaccinale en 2021 ? La vaccination contre la grippe revêt une importance particulière pour la protection des personnes à risque de développer des formes graves de la grippe et celles des professionnels de santé. Après un hiver 2020-2021 sans épidémie de grippe, il n’est pas exclu qu’il puisse y avoir cette saison une cocirculation des virus grippaux et du SARS-CoV-2. La Haute Autorité de santé HAS insiste sur la nécessité de vacciner en priorité les personnes éligibles à la vaccination, telles que ciblées dans le calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales et qui sont également celles à risque d’infection grave à la Covid-19. La vaccination permet de limiter les risques d’infection concomitante ou successive par les 2 virus, en particulier chez les personnes présentant des comorbidités. Les personnes éligibles à la vaccination sont les personnes âgées de 65 ans et plus ; les personnes de moins de 65 ans souffrant de certaines maladies chroniques ; les femmes enceintes ; les personnes souffrant d’obésité indice de masse corporel IMC supérieur ou égal à 40. La stratégie vaccinale vise aussi à assurer une protection indirecte en vaccinant les professionnels de santé et les professionnels des établissements médico-sociaux au contact des patients à risque car ils peuvent contribuer à propager l’infection ; l’entourage des nourrissons de moins de 6 mois à risque de complication grave de la grippe et des personnes immunodéprimées ; les aides à domicile des particuliers employeurs vulnérables. La stratégie de prévention de la grippe repose sur 2 piliers pour tous la prévention de la grippe passe par l’adoption des gestes barrières qui permettent de limiter la contamination et la dissémination des virus ; pour les personnes à risque, la vaccination est essentielle. Covid-19 et grippe quid de la vaccination ? Pour éviter tout retard à la vaccination antigrippale et simplifier le parcours vaccinal, la HAS recommande de proposer l’administration concomitante des vaccins contre la Covid-19 et contre la grippe saisonnière dès lors qu’une personne est éligible aux deux vaccinations La HAS recommande de ne pas prendre de retard dans la vaccination contre la grippe saisonnière et la vaccination Covid -19. Aucun délai n’est nécessaire entre ces 2 vaccinations. Vaccination contre la grippe des personnes non ciblées par les recommandations La vaccination a été réservée prioritairement jusqu’au 22 novembre aux personnes à risque de grippe grave elle est désormais ouverte à toutes les personnes qui le souhaitent. Elles peuvent retirer leur vaccin en officine sans prescription médicale et se faire vacciner par le professionnel de santé de leur choix médecin, sage-femme, infirmier, pharmacien. Les pharmaciens et les infirmiers peuvent vacciner toutes les personnes majeures sans prescription médicale préalable, y compris celles non ciblées par les recommandations, à l'exception des personnes présentant des antécédents de réaction allergique sévère à l'ovalbumine ou à une vaccination antérieure. Toutefois, en l’absence de recommandations par la HAS, le vaccin et l’injection ne sont pas pris en charge par l’Assurance Maladie. À noter le bon de prise en charge disponible sur amelipro ne peut pas être délivré à des personnes non éligibles à la vaccination. Pourquoi protéger les patients de la grippe ? Vaccins contre la grippe disponibles pour cette campagne Les vaccins utilisés en France cette année sont des vaccins inactivés composés de 4 souches vaccins tétravalents. Pour la saison 2021-2022, 3 vaccins antigrippaux sont disponibles Vaxigrip Tetra et Efluelda, 2 vaccins du laboratoire Sanofi Pasteur, Influvac Tetra, un vaccin du laboratoire Mylan. Chaque année, l’Organisation mondiale de la santé OMS publie la composition recommandée des vaccins contre la grippe en regard des données de surveillance des virus grippaux en circulation dans le monde. Le vaccin à administrer dépend de l’âge du patient. Avant l’âge de 3 ans, seul le vaccin Vaxigrip Tetra peut être utilisé. À partir de 3 ans, les vaccins Vaxigrip Tetra et Influvac Tetra peuvent être utilisés indifféremment selon les recommandations de la HAS. Pour les 65 ans et plus, les vaccins Vaxigrip Tetra, Efluelda et Influvac Tetra peuvent être utilisés indifféremment selon les recommandations de la HAS. Personnes pouvant bénéficier de la gratuité du vaccin La stratégie vaccinale vise à protéger les populations les plus exposées aux risques de complications graves en cas de grippe. L'Assurance Maladie prend en charge leur vaccin à 100 %. Il s’agit essentiellement des personnes âgées de 65 ans et plus ; des personnes de moins de 65 ans souffrant de certaines maladies chroniques ; des femmes enceintes ; des personnes souffrant d’obésité indice de masse corporel IMC supérieur ou égal à 40 ; de l’entourage des nourrissons à risque de grippe grave et des personnes immunodéprimées, dans l’objectif de protéger les personnes fragiles de leur entourage ; des aides à domicile des particuliers employeurs vulnérables bénéficiaires d’exonération. L'injection du vaccin est prise en charge dans les conditions habituelles. Elle est prise en charge à 100 % pour les patients bénéficiant d’une affection de longue durée ALD pour lesquelles le vaccin est recommandé ou au titre de l'assurance maternité. Qu’entend-on par entourage du nourrisson à risque de grippe grave ? Selon le calendrier des vaccinations 2021-2022 publié sur le site il s’agit de l’entourage des nourrissons de moins de 6 mois présentant des facteurs de risque de grippe grave ainsi définis prématurés, notamment ceux porteurs de séquelles à type de broncho-dysplasie et enfants atteints de cardiopathie congénitale, de déficit immunitaire congénital, de pathologie pulmonaire, neurologique ou neuromusculaire ou d’une affection de longue durée liste des affections ciblées pour la vaccination. La notion d’entourage comprend le milieu familial personnes résidant sous le même toit, l’assistant maternel et tous les contacts réguliers du nourrisson. Prise en charge de l’injection du vaccin L'injection du vaccin est prise en charge dans les conditions habituelles. Elle est prise en charge à 100 % pour les patients bénéficiant d’une affection de longue durée ALD pour lesquelles le vaccin est recommandé ou au titre de l'assurance maternité. La vaccination antigrippale au cabinet infirmier Le vaccin peut être administré par les infirmiers aux personnes majeures éligibles à la vaccination, sans prescription médicale préalable, à l’exception des personnes présentant des antécédents de réaction allergique sévère à l'ovalbumine ou à une vaccination antérieure, qui doivent être orientées vers leur médecin. La facturation diffère selon que la personne est mineure ou majeure. Depuis le 1er mail 2020, la cotation de l’acte de vaccination réalisé pour les personnes mineures et majeures dépendantes éligibles à la vaccination évolue. Retrouvez les modalités de cotation dans le mémo Grippe - infirmiers 2021 PDF. Modalités pratiques de vaccination des personnes éligibles le bon de prise en charge Les patients éligibles à l’exception des femmes enceintes, de l’entourage des nourrissons à risque de grippe grave ou des personnes immunodéprimées et des personnes obèses reçoivent un bon de prise en charge du vaccin de l’Assurance Maladie. Les modalités de vaccination varient selon l’âge. Toutes les personnes majeures éligibles à la vaccination bénéficient d’une procédure simplifiée. Elles peuvent retirer directement leur vaccin chez le pharmacien, sur présentation de leur bon de prise en charge, et se faire vacciner par le professionnel de leur choix médecin, sage-femme pour les femmes enceintes et l’entourage du nourrisson, infirmier ou pharmacien sans prescription médicale préalable. Les personnes présentant des antécédents de réaction allergique sévère à l’ovalbumine ou à une vaccination antérieure ne peuvent pas être vaccinées directement sans prescription médicale par un infirmier ou un pharmacien. Les personnes mineures doivent bénéficier d’une prescription médicale préalable pour retirer leur vaccin à la pharmacie et pour être vaccinées par un infirmier. Cette prescription est rédigée directement par le médecin ou la sage-femme sur le bon de prise en charge. La vaccination des personnes mineures peut être réalisée par un médecin, une sage-femme et un infirmier sur prescription médicale. Elle ne peut pas être réalisée par un pharmacien. Un bon de prise en charge sur amelipro à remettre aux personnes éligibles ne l’ayant pas reçu Certaines personnes éligibles n’ont peut-être pas reçu leur bon car elles n’ont pas pu être identifiées ou invitées par l’Assurance Maladie. Il peut s’agir des femmes enceintes, des personnes obèses dont l’IMC est supérieur ou égal à 40, de l’entourage familial des nourrissons à risque de grippe grave ou des personnes immunodéprimées notamment. Pour ces personnes, les médecins, sages-femmes, infirmiers et pharmaciens disposent sur amelipro d’un bon de prise en charge vierge permettant de leur prescrire le vaccin. Les pharmaciens et les infirmiers peuvent éditer ce bon uniquement pour les personnes majeures éligibles à la vaccination. Covid-19 et vaccination contre la grippe Pour éviter tout retard à la vaccination antigrippale et simplifier le parcours vaccinal, la Haute autorité de santé recommande, de proposer l’administration simultanée des vaccins contre le Covid-19 et contre la grippe saisonnière dès lors qu’une personne est éligible aux 2 vaccinations. Dans ce cas, les vaccins sont administrés sur 2 sites d’injections différents. Il n’y a pas de délai minimal à respecter entre une vaccination contre la grippe et une vaccination contre le Covid-19. Lorsqu'un professionnel de santé administre les 2 vaccins le même jour, il doit sélectionner le motif Rappel concomitant à la vaccination grippe » dans le téléservice Vaccin Covid. Ce nouveau motif de rappel est proposé lorsque le professionnel clique sur Ajouter une vaccination » après un schéma vaccinal complet. Avoir eu le Covid-19 y compris la forme grave n’est pas une contre-indication à la vaccination antigrippale si au moment de la vaccination la personne ne présente pas de symptômes ni de fièvre. Pour les personnes ayant eu une forme sévère avec des séquelles graves insuffisance respiratoire sévère, la vaccination contre la grippe est recommandée. La HAS recommande que les personnes identifiées comme contact possible d’un cas de Covid-19 et éligibles à la vaccination contre la grippe reportent leur vaccination à l’issue de la période d’isolement recommandée, en l’absence d’apparition de symptômes. Un bouclier sanitaire pour se protéger de la grippe Les gestes barrières permettent de limiter la propagation des virus, notamment respiratoires. Ils permettent donc de se protéger aussi contre la grippe saisonnière et sont complémentaires de la vaccination. L’efficacité de chacune de ces mesures vaccination pour les plus fragiles et gestes barrières est optimisée en les combinant. Ces mesures constituent un bouclier sanitaire contre les virus. Votre rôle est essentiel Vous jouez un rôle essentiel pour informer vos patients et les accompagner pour traverser les périodes de circulation de virus. Pour les personnes les plus fragiles, pour lesquelles la vaccination contre la grippe est recommandée et qui sont également celles à risque d’infection grave à la Covid-19, il est nécessaire qu’elles soient vaccinées à la fois contre le Covid-19 et la grippe. À tous vos patients, il est indispensable de leur rappeler les gestes barrières qui permettent de limiter la propagation des virus, notamment respiratoires ils permettent ainsi de se protéger de la grippe saisonnière. Un bon de prise en charge vierge sur le site amelipro Sur amelipro, l'espace des professionnels de santé de l'Assurance Maladie, vous disposez d’un bon de prise en charge vierge. Il vous permet de prescrire la vaccination des patients éligibles qui n’ont pu être identifiés et invités par l’Assurance Maladie femmes enceintes, entourage familial du nourrisson à risque de grippe grave ou des personnes immuno-déprimées et patients obèses ayant un IMC supérieur ou égal à 40, notamment. Un élargissement des compétences des infirmiers, des pharmaciens et des préparateurs en pharmacie Les infirmiers, les pharmaciens d’officine peuvent vacciner l’ensemble des personnes majeures, y compris celles non ciblées par les recommandations vaccinales conformément aux textes réglementaires du 6 novembre 1. De façon dérogatoire et exceptionnelle, pour accompagner cette année la montée en charge de la coadministration des vaccins contre le Covid-19 et la grippe saisonnière en ville et ne manquer aucune opportunité de vaccination, les préparateurs en pharmacie peuvent vacciner contre la grippe. Ils doivent avoir suivi une formation à la vaccination contre le Covid-19 et être sous la supervision d’un pharmacien d’officine formé à la vaccination. La vaccination des professionnels de santé La vaccination est recommandée pour les professionnels de santé en contact régulier avec des sujets à risque de grippe grave. Elle permet de les protéger mais également de limiter les risques de transmission de la grippe à leurs patients. Se vacciner en tant que professionnel de santé, c'est d'abord protéger les sujets les plus vulnérables. Les professionnels de santé libéraux invités par l’Assurance Maladie sont les médecins généralistes, gynécologues, pédiatres, cardiologues, endocrinologues, gériatres, néphrologues, pneumologues, rhumatologues, infirmiers, sages-femmes, masseurs-kinésithérapeutes, pharmaciens titulaires d’officine et chirurgiens dentistes, pédicures-podologues et orthophonistes libéraux . Leur vaccin est pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie. La vaccination des professionnels de santé salariés est organisée par leur employeur. 1 Décret n° 2021-1454 du 6 novembre 2021 relatif aux conditions de réalisation de la vaccination antigrippale par les infirmiers ou infirmières, arrêté du 6 novembre 2021 modifiant l'arrêté du 14 novembre 2017 fixant la liste des personnes pouvant bénéficier de l'injection du vaccin antigrippal saisonnier pratiquée par un infirmier ou une infirmière, et arrêté du 6 novembre 2021 modifiant l'arrêté du 23 avril 2019 fixant la liste des vaccinations que les pharmaciens d'officine peuvent effectuer en application du 9° de l'article L. 5125-1-1 A du code de la santé publique. Grippe saisonnière - Mémo infirmier 2021 - Assurance MaladieMémo - PDF, KoDécret n° 2018-805 du 25 septembre 2018 relatif aux conditions de réalisation de la vaccination antigrippale par un infirmier ou une infirmièreTexte officiel - PDF, KoArrêté du 25 septembre 2018 modifiant l'arrêté du 14 novembre 2017 fixant la liste des personnes pouvant bénéficier de l'injection du vaccin antigrippal saisonnier pratiqué par un infirmierTexte officiel - PDF, KoArrêté du 31 juillet 2013 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurésTexte officiel - PDF, Ko Santé publique FranceVaccination info service - Espace professionnelsHaute Autorité de santé HASMinistère de la Santé - Dossier Grippe saisonnière

Uneofficine ne peut fonctionner correctement sans les préparateurs en pharmacie. Ces professionnels ont pris une place de plus en plus importante, puisqu’ils secondent désormais les pharmaciens au comptoir. Leur contribution est de mieux en mieux reconnue. Dans le cadre de la crise sanitaire, ils ont été habilités à réaliser des tests Depuis vendredi 15 octobre, les tests Covid ne sont plus pris en charge par l'Assurance maladie. Pour se faire dépister, il faut payer de sa poche. Dans les pharmacies de Carcassonne, les professionnels constatent déjà une nette diminution des rendez-vous. Mais où sont-ils passés ? Avec la fin du remboursement systématique des tests de dépistage du Covid 19, les pharmacies de Carcassonne enregistrent "une baisse d'activité considérable". Ce recul très net se fait ressentir depuis vendredi, jour depuis lequel il faut débourser 25 € pour un test antigénique et entre 22 et 44 € pour un test PCR. De quoi décourager les personnes non-vaccinées à se faire tester... Nous avons divisé par deux le nombre de tests que nous faisons en un jour À la pharmacie de la Poste, en bas de la rue de Verdun, le préparateur Serge Itoua parle d'une baisse "indéniable mais pas d'écroulement". L'officine qui réalisait jusqu'alors une quinzaine de tests antigéniques par jour n'en effectue désormais "qu'entre 5 et 10". "Comparés aux autres officines de la ville, nous n'en faisions pas énormément. Mais la baisse de la demande est bien visible. Certains viennent à contrecœur. C'est le cas d'un monsieur qui est déjà venu trois fois depuis que c'est payant. Il a déjà déboursé 75 € de sa poche... ça pique un peu, reconnaît le pharmacien. La mesure se veut incitative mais à mon avis, ça ne va pas tellement pousser les gens vers la vaccination. Pour l'instant, personne n'est venu me dire c'est payant alors je veux me faire vacciner" Serge Itoua, prépareur à la pharmacie de la Poste. Indépendant - Driss Chaït Le discours est sensiblement le même du côté de la pharmacie Sarcos sur la place Carnot. Depuis vendredi, elle tourne à dix tests par jour contre une trentaine auparavant. "C'est flagrant. Les sollicitations ont nettement chuté, constate une préparatrice. Nous avons divisé par deux le nombre de tests que nous faisons à la journée. Jeudi dernier, il y a eu un petit coup de rush. Les personnes non-vaccinées ont profité du dernier jour de gratuité" Léger regain d'intérêt pour la vaccination Chez leurs confrères de la pharmacie des Études, en haut de la rue de Verdun, on pense même à arrêter de proposer le service. Pour la simple et bonne raison que "les demandes sont quasi inexistantes", remarque la gérante Laurence Grimaldi. Ce mardi, son établissement n'a réalisé que... 2 petits tests. Contre "presque une trentaine" avant vendredi dernier. Une chute mirobolante qui conforte la pharmacienne dans son idée de stopper les dépistages "Ce n'est pas une obligation alors nous n'allons plus en faire. En plus, la campagne de vaccination contre la grippe ne va pas tarder à démarrer. Ça risque de faire beaucoup." Car, depuis la fin de leur remboursement, Laurence Grimaldi note un regain d'intérêt pour la vaccination avec "quelques nouvelles inscriptions pour une première dose".
largent rentre peut être un peu en ligne de compte, vérifiez sur ameli, vous y trouverez le tarif pour vacciner, le tarif d’une consultation covid à 55€, le tarif pour les pests PCR et

Élargissement des effecteurs pouvant participer à la campagne de vaccination en pharmacie Afin de permettre à un plus grand nombre de professionnels de santé de vacciner en pharmacie, les étudiants en 1er et 2d cycle des études de santé, les professionnels retraités et les professionnels de santé sans activités sont autorisés à vacciner en pharmacie en soirée à partir de 20 h et le dimanche à compter du 26 décembre 2021. Rémunération sur ces plages horaires soirée et dimanche Pour la rémunération des vaccinations réalisées sur ces horaires d’ouverture, les pharmaciens ont le choix entre une rémunération à l’acte ou au forfait. Rémunération à l’acte Dans ce cas le pharmacien facture via le code INJ » l’intégralité des vaccinations réalisés et il assure lui-même la rémunération des autres effecteurs auxquels il fait appelle. L’acte d’injection est facturée selon le tarif en vigueur pour les pharmaciens quel que soit l’effecteur. Le pharmacien contractualise avec les effecteurs et les rémunère directement aucune prise en charge de la rémunération des effecteurs ne pourra être réalisée par les caisses d’assurance maladie donc aucun bordereau de rémunération ne devra leur être adressé. Rémunération au forfait Une rémunération au forfait est possible pour l’ensemble des effecteurs y compris le pharmacien avec les modalités actuellement en vigueur dans les centres de vaccination. Aucune facturation à l’acte ne devra être effectuée et l’ensemble des effecteurs devra adresser un bordereau de rémunération de ses vacations à l’Assurance Maladie pour paiement direct par celle-ci bordereau pour le pharmacien titulaire ; bordereau pour le pharmacien adjoint ; bordereau pour le préparateur. En savoir plus sur les informations nécessaires pour cette facturation. Quel que soit le mode de rémunération choisi pour la vaccination, l’enregistrement dans SI-VAC de l’ensemble des vaccinations réalisées, quel que soit l’effecteur, peut être réalisé avec la carte CPS ou e-CPS du pharmacien titulaire de l’officine afin qu’il puisse être rémunéré à ce titre.

MISEEN PLACE DU PASS SANITAIRE AU SEIN DES HÔPITAUX DE LA DIRECTION DE LA SANTÉ. Aucun patient ne se verra refuser une prise en charge adaptée à son état de santé. Avec le pass sanitaire, les modalités d’accueil des hôpitaux de la Direction de la santé évoluent. LIRE LA SUITE. Coronavirus COVID-19 extension de la liste des personnes éligibles à la 2e dose de rappel Pour rappel, depuis le 14 mars 2022, les personnes âgées de 80 ans et plus, les résidents des EHPAD et les personnes immunodéprimées peuvent recevoir une 2e dose de rappel contre la covid-19. Depuis le 7 avril 2022, les personnes âgées de 60 ans à 79 ans sont également éligibles à cette 2e dose de rappel. Notez que dans le cas spécifique des personnes ayant été infectées par la covid-19 après leur premier rappel si l’infection est survenue plus de 3 mois après le premier rappel, un 2e rappel n’est pas nécessaire ; si l’infection est survenue moins de 3 mois après le premier rappel, un 2e rappel est nécessaire ; il faut attendre alors au moins 6 mois après l’infection avant de recevoir son 2e rappel. Coronavirus COVID-19 les nouveautés du 4 février 2022 Pour faciliter le déploiement de la campagne de vaccination pédiatrique contre la covid-19, les présidents de conseils départementaux sont autorisés à organiser la vaccination des enfants âgés de 6 à 11 ans via le service départemental de protection maternelle et infantile. Dans la liste des vaccins autorisés dans le cadre de la campagne de vaccination contre la covid-19, il y a désormais le Nuvaxovid. Coronavirus COVID-19 et 5e vague les mesures du 27 janvier 2022 Depuis le 27 janvier 2022, les sages-femmes, les pharmaciens d’officine, des pharmacies mutualistes et de secours minières, les infirmiers, chirurgiens-dentistes et les étudiants de troisième cycle en médecine et en pharmacie peuvent vacciner les enfants âgés de 5 à 11 ans. Dans les centres et équipes mobiles, les professionnels de santé et les étudiants suivants peuvent vacciner les enfants âgés de 5 à 11 ans les sapeurs-pompiers professionnels et volontaires titulaires de la formation d’équipier dans le domaine d’activité du secours d’urgence aux personnes ; les sapeurs-pompiers de Paris titulaires de leur formation élémentaire en filière sapeur-pompier de Paris SPP ou filière secours à victimes SAV ou titulaires de leur formation élémentaire en filière spécialiste SPE ; les marins-pompiers de Marseille détenant le brevet élémentaire de matelot pompier BE MOPOMPI ou le brevet élémentaire de pompier volontaire BE MAPOV ou le brevet élémentaire de sécurité et logistique BE SELOG ; les étudiants en santé suivants ayant suivi les enseignements théoriques et pratiques relatifs à la vaccination dans le cadre de leur cursus, en présence d’un médecin d’un infirmier ou d’un pharmacien formé à l’administration des vaccins ou ayant suivi une formation spécifique à la vaccination contre la covid-19 ; les étudiants de deuxième cycle des formations en médecine, en pharmacie et en maïeutique ; les étudiants en soins infirmiers ayant validé leur première année de formation ; les étudiants de deuxième et troisième cycles en odontologie, en présence d’un médecin ou d’un infirmier ou d’un pharmacien formé à l’administration des vaccins ou ayant suivi une formation spécifique à la vaccination contre la covid-19 et à condition qu’ils aient suivi une formation spécifique à la réalisation de cet acte, dispensée et attestée par un professionnel de santé formé à l’administration des vaccins. Tous les professionnels et étudiants précités ne peuvent toutefois pas vacciner ceux présentant un trouble de l’hémostase ou ayant des antécédents de syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique suite à une infection à la covid-19 ou ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection. Lors de l’injection de la spécialité pharmaceutique EVUSHELD les infirmiers libéraux peuvent facturer la cotation AMI 3 assortie de la majoration MCI. Cette cotation est cumulable à taux plein dans la limite de deux actes ou plus. De nouveaux traitements présentent un bénéfice important pour les patients atteints de la covid-19. Leur dispensation se fait de manière dérogatoire en officine de pharmacie. Pour faciliter leur délivrance, le régime d’indemnisation est aligné sur celui applicable aux vaccins contre la covid-19. Des conditions de rémunération des personnels concernés par la prescription, la dispensation et le suivi en ville des traitements antiviraux par voie orale faisant l’objet d’une autorisation d’accès précoce sont également mises en place. Coronavirus COVID-19 et 5e vague les mesures du 23 décembre 2021 En raison de la circulation active de la covid-19 et de l’émergence du variant Omicron, le gouvernement a décidé d’accélérer les mesures de vaccination de la manière suivante la vaccination contre la covid-19 est proposée à tous les enfants âgés de 5 à 11 ans à cette fin, outre les médecins, les infirmiers sont désormais autorisés à vacciner sans prescription préalable d’un médecin ; désormais, les médecins, les infirmiers, l’ensemble des étudiants de santé pouvant déjà injecter les vaccins contre la covid-19 et ayant suivi la formation requise et sous la supervision d’un pharmacien, à l’exception des étudiants en 3e cycle d’études de médecine, ainsi que les professionnels de santé retraités, peuvent vacciner dans les officines à partir de 20 h les jours ouvrés, les dimanches et jours fériés ; les étudiants de pharmacie peuvent désormais être mis à disposition des officines par leur établissement de formation et les étudiants de 3e cycle de pharmacie peuvent opter soit pour une rémunération à l’acte d’injection comme c’est le cas actuellement, soit pour une rémunération forfaitaire ; les rémunérations des personnes opérant en centre de vaccinations du 24 décembre au 31 décembre est revalorisé afin de de maintenir un haut niveau d’activité ; les pharmaciens, qui vaccinent en officine après 20 h ou les dimanches et jours fériés, peuvent opter soit pour une rémunération à l’acte d’injection comme c’est le cas actuellement, soit pour une rémunération forfaitaire. Il est également prévu d’autoriser les pharmaciens d’officine à pratiquer des tests antigéniques sur les mineurs âgés de 3 à 11 ans ; une nouvelle distribution de masques à titre gratuit aux bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire, de l’aide au paiement d’une complémentaire santé et aux bénéficiaires de l’aide médicale de l’état au 30 décembre 2021. Coronavirus COVID-19 et 5e vague renforcer la vaccination en entreprise Vu la situation épidémique, le gouvernement a annoncé un plan de mobilisation pour accélérer la vaccination des salariés qu’il s’agisse des salariés n’ayant pas encore reçu leur rappel vaccinal ou des salariés non vaccinés. Le plan comprend les mesures suivantes proposer de façon systématique la vaccination lors des visites de santé au travail ; planifier des séances de vaccination chaque semaine au sein du service ; organiser des campagnes de communication au sein des entreprises pour toucher les salariés réticents à la vaccination ; pour les services interentreprises, organiser des séances de vaccination dans les locaux des entreprises. En outre, il est demandé à chaque service de prévention et de santé au travail SPST de définir son plan d’action et de s’engager sur des objectifs de déploiement pour les semaines à venir. Ce plan doit être transmis aux services déconcentrés de l’État DREETS d’ici la fin de la 1ère semaine de janvier 2022. Coronavirus COVID-19 et dose de rappel de nouvelles mesures pour favoriser l’ouverture des lieux de vaccination ! Le contexte. L’exigence d’une dose de rappel pour prolonger la durée de validité du pass sanitaire pour l’ensemble de la population nécessite une plus large ouverture des lieux de vaccination y compris les dimanches et jours fériés ; et en favorisant notamment la vaccination à domicile des personnes qui en ont besoin. En conséquence, la rémunération des professionnels de santé qui s’y attache est majorée, notamment pour les pharmaciens libéraux de 5 €, lorsque l’injection est réalisée un dimanche ou un jour férié ; de 30 centimes d’€ pour les régions de Guadeloupe, Saint-Barthélemy, Saint Martin, la Martinique, la Guyane, La Réunion et Mayotte. Bon à savoir. Ces 2 majorations sont cumulables. Il en est de même pour les infirmiers diplômés d’Etat libéraux, dans le cadre d’une injection à domicile, pour lesquels la cotation est portée à 14,15 €, lorsqu’il s’agit du seul acte réalisé pour une personne ne nécessitant pas de soins infirmiers par ailleurs ; ou 16,65 €, si un dépistage par test rapide d’orientation diagnostique sérologique est réalisé lors de l’administration de la première dose de vaccin. Concernant la prise en charge des tests. Notez enfin qu’en Guadeloupe, territoire dans lequel la couverture vaccinale demeure insuffisante, la prise en charge des tests de dépistage Covid par l’assurance maladie est prolongée jusqu’au 31 décembre 2021 contre le 6 décembre 2021 précédemment. Coronavirus COVID-19 de nouvelles autorisations de vaccination Dose de rappel. Parce que l’administration d’une dose de rappel de vaccin contre la covid-19 est désormais recommandée pour l’ensemble des personnes majeures, il est nécessaire de renforcer le nombre de personnes pouvant vacciner. Sont ainsi autorisés à vacciner contre la covid-19, en officine, les étudiants de deuxième cycle des études de pharmacie ; contre la grippe saisonnière, en officine, les étudiants de deuxième cycle et de troisième cycle court de pharmacie. Coronavirus COVID-19 et obligation vaccinale une date fixée au 31 décembre 2021 dans les Antilles Le gouvernement a décidé d’accorder un délai supplémentaire en Guadeloupe et en Martinique pour y finaliser la mise en œuvre effective de l’obligation vaccinale des soignants. Désormais, les personnes devant se faire obligatoirement vacciner contre la covid-19 ont jusqu’au 31 décembre 2021 pour le faire. Coronavirus COVID-19 et 5e vague le point sur la vaccination Pour limiter la 5ème vague de coronavirus covid-19, le gouvernement a décidé d’ouvrir le rappel vaccinal relatif à la 3e dose à tous les adultes. Concrètement, les personnes de plus de 18 ans peuvent recevoir leur 3e dose, au moins 5 mois après la précédente injection, et ce dès le samedi 27 novembre 2021. A compter du 15 janvier 2022, toutes les personnes de plus de 18 ans doivent avoir reçu une 3e dose au maximum 7 mois après leur précédente injection pour bénéficier d’un pass sanitaire valide. Par exemple, une personne qui a reçu sa 2e dose le 12 juillet 2021 peut recevoir sa 3e dose à compter du 12 décembre 2021. Et si elle ne l’a pas fait avant le 12 février 2022, son pass sanitaire ne sera plus valide. Des règles spécifiques sont prévues pour les personnes vaccinées avec le vaccin Janssen puisque ce dernier ne nécessite qu’une seule dose. Pour conserver leur pass sanitaire, les personnes qui ont reçu ce vaccin doivent recevoir une 2e dose au plus tard 2 mois après l’injection de la dose initiale. Concrètement à compter du 15 décembre 2021, les personnes qui auront reçu la dose complémentaire du vaccin Janssen avant le 9 décembre 2021 conserveront leur pass sanitaire ; celles qui recevront leur 2e dose à compter du 10 décembre 2021 bénéficieront d’un pass sanitaire 7 jours plus tard. Lors de son allocution du 9 novembre 2021, pour lutter contre la 5ème vague de la covid-19 le président Emmanuel Macron a annoncé que les personnes de 65 ans et plus concernées par la dose de rappel devront justifier d’un rappel vaccinal à partir du 15 décembre 2021 pour prolonger la validité de leur pass sanitaire ; une campagne de rappel sera lancée début décembre pour les Français de 50 à 64 ans. Simulateur. Pour connaître la date à laquelle il faut effectuer sa dose de rappel, l’Assurance maladie a mis en place un simulateur, accessible ici. Annonces du 6 décembre 2021. La vaccination est ouverte aux 5-11 ans en situation de surpoids ou atteints de pathologie à risque dès le 15 décembre 2021. Par ailleurs, notez que les personnes âgées de 65 ans et plus vont pouvoir se faire vacciner sans prendre de rendez-vous. Coronavirus COVID-19 évolution de la valorisation forfaitaire des actes de participation à la campagne vaccinale au 9 novembre 2021 Le contexte. Pour rappel, la participation à la campagne vaccinale contre le SARS-CoV-2 effectuée dans un cadre collectif et en dehors des conditions habituelles d’exercice ou en dehors de leur obligation de service peut faire l’objet d’une valorisation forfaitaire pour les professionnels de santé concernés. Au 9 novembre 2021, cette valorisation évolue pour les infirmiers diplômés d’Etat libéraux ou exerçant en centre de santé ; les médecins libéraux ou exerçant dans un centre de santé ; les sages-femmes diplômées d’Etat libérales ou exerçant en centre de santé ; les pharmaciens libéraux ; les chirurgiens-dentistes libéraux ou exerçant dans un centre de santé ; les vétérinaires ; les masseurs-kinésithérapeutes libéraux ou exerçant en centre de santé ; les pédicures-podologues, orthophonistes et orthoptistes libéraux ou exerçant en centre de santé. A la même date, la valorisation d’un acte d’injection du vaccin contre la covid-19 évolue également pour les médecins libéraux ; les chirurgiens-dentistes libéraux. Il en est de même en ce qui concerne la rémunération des établissements de santé qui sont rémunérés pour les consultations et injections effectuées au titre de la vaccination contre le SARS-CoV-2, plus précisément en ce qui concerne le détail des lignes vaccinales qu’ils mettent en place pour assurer la vaccination au sein des centres de vaccination dont ils assurent le fonctionnement. Notez par ailleurs que le montant des forfaits applicables selon les jours de semaine concernés et les professionnels de santé mobilisés change également. Besoin de détails ? Cliquez ici. Enfin, il est désormais prévu que peuvent bénéficier d’un examen de dépistage ou d’un test de détection du SARS-CoV-2 pris en charge par l’assurance maladie obligatoire les personnes qui présentent la convocation nominative émise par l’établissement ou le service de santé concerné, pour un examen ou un test à réaliser dans les 72 heures précédant la date de soins programmés mentionnée sur la convocation. Coronavirus COVID-19 et grippe saisonnière faciliter la double vaccination Pour faciliter la double vaccination contre la covid-19 et la grippe saisonnière, il est désormais prévu que les préparateurs en pharmacie peuvent aussi administrer le vaccin contre la grippe saisonnière ils le peuvent déjà pour celui contre la covid-19 ; dans les centres de vaccination, les professionnels de santé peuvent vacciner contre la grippe saisonnière les personnes apportant leur vaccin antigrippal ; les techniciens de laboratoire peuvent vacciner contre la grippe saisonnière au sein du laboratoire de biologie médicale dans lequel ils exercent. Coronavirus COVID-19 aménagements des cas de contre-indication médicale à la vaccination Depuis le 31 octobre 2021, les cas de contre-indication médicale faisant obstacle à la vaccination contre la covid-19 sont aménagés, et comprennent désormais une recommandation médicale de ne pas initier une vaccination première dose ○ en raison d’un syndrome inflammatoire multi systémique pédiatrique PIMS post-infection par SARS-CoV-2 ; ○ en raison de myocardites ou myo-péricardites associées à une infection par SARS-CoV2 ; une recommandation établie par un Centre de Référence Maladies Rares CRMR ou un Centre de Compétence Maladies Rares CCMR après concertation médicale pluridisciplinaire avis collégial de ne pas initier la vaccination contre la covid-19. A noter. Les cas de contre-indication médicale temporaire faisant obstacle à la vaccination sont par ailleurs légèrement modifiés, et comprennent désormais les cas de myocardites ou péricardites d’étiologie non liées à une infection par SARS-CoV-2 survenues antérieurement à la vaccination et toujours évolutives. Coronavirus COVID-19 des fraudes au dépistage et à la vaccination Reconnaître la fraude. Les éléments suivants peuvent vous permettre de reconnaître les offres de dépistage et de test frauduleuses jusqu’au 15 octobre 2021, aucun paiement ne peut être exigé lors du dépistage ou de la vaccination ; concernant le dépistage, les tests pour les non-résidents sont remboursés uniquement sur prescription médicale ou s’ils sont identifiés comme contact à risque. Retenez qu’un test ou un dépistage frauduleux n’est pas sans conséquences le test peut être mal réalisé et blesser et/ou conduire à un résultat faussement négatif ; les tests utilisés peuvent ne pas être reconnus par les instances de santé ; lorsqu’une fraude est détectée, les preuves de tests sont annulées et donc les pass sanitaires » délivrés invalidés. La vaccination obligatoire et les obligations de l’employeur Désormais, doivent être vaccinés contre la covid-19, les professionnels exerçant dans les secteurs sanitaire et médico-social et notamment les établissements de santé, ainsi que les hôpitaux des armées ; les centres de santé ; les maisons de santé ; les centres et équipes mobiles de soins ; les centres médicaux et équipes de soins mobiles du service de santé des armées ; les dispositifs d’appui à la coordination des parcours de santé complexes ; les centres de lutte contre la tuberculose ; les centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic ; les services de médecine préventive et de promotion de la santé ; les services de santé au travail et les services de santé au travail interentreprises ; les établissements et services médico-sociaux ; les logements-foyers dédiés à l’accueil des personnes âgées ou handicapées ; les résidences-services dédiées à l’accueil des personnes âgées ou handicapées ; les habitats inclusifs. Les personnes suivantes sont également concernées par l’obligation de vaccination les psychologues ; les ostéopathes et les chiropracteurs ; les psychothérapeutes ; les étudiants dans les professions médicales et médico-sociales ; les professionnels employés par un particulier employeur effectuant des interventions au domicile des personnes attributaires de l’allocation personnalisée d’autonomie APA ou de la prestation de compensation du handicap PCH ; les sapeurs-pompiers et les marins-pompiers des services d’incendie et de secours, les pilotes et personnels navigants de la sécurité civile assurant la prise en charge de victimes, les militaires des unités investies à titre permanent de missions de sécurité ; les personnes exerçant l’activité de transport sanitaire ; les prestataires de services et distributeurs de matériels médicaux. L’obligation de vaccination dans les structures de l’ obligation ne concerne que les professionnels et personnels qui pratiquent des actes de prévention, de diagnostic ou de soins dans les établissements d’accueil de jeunes enfants ; les établissements et services de soutien à la parentalité ; les établissements et services de protection de l’enfance. L’obligation de vaccination ne s’applique pas aux personnes chargées de l’exécution d’une tâche ponctuelle au sein des locaux dans lesquels les personnes tenues de se vacciner exercent. L’obligation de vaccination n’est pas applicable en cas de contre-indication médicale. A défaut de pouvoir présenter un document justifiant de sa vaccination, une personne tenue de se vacciner ne peut plus exercer son activité depuis le 7 août 2021. Toutefois, elle aura la possibilité, à titre temporaire, de présenter le résultat d’un test négatif, jusqu’au 14 septembre 2021. A compter du 15 septembre et jusqu’au 15 octobre 2021 inclus, la présentation du résultat d’un test négatif ne sera possible que s’il est accompagné d’un justificatif de l’administration d’au moins 1 dose de vaccin. A partir du 16 octobre 2021, cette même personne ne pourra plus exercer son activité, si elle ne justifie pas d’un schéma vaccinal complet. Lorsqu’une personne ne justifie pas de sa vaccination ou d’un test négatif jusqu’au 14 septembre 2021 à son employeur, ce dernier lui notifie le jour même, par tout moyen, la suspension de ses fonctions ou de son contrat de travail. Le salarié qui fait l’objet d’une interdiction d’exercer peut utiliser, avec l’accord de son employeur, des jours de repos conventionnels ou des jours de congés payés. À défaut, son contrat de travail est suspendu. Cette suspension, qui s’accompagne de l’interruption du versement de la rémunération, prend fin dès que l’intéressé produit les justificatifs requis. Elle ne peut être assimilée à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par le salarié au titre de son ancienneté. Pendant cette suspension, le salarié conserve le bénéfice des garanties de protection sociale complémentaire auxquelles il a souscrit. Lorsque le contrat à durée déterminée CDD d’un salarié est suspendu, il prend fin au terme prévu si ce dernier intervient au cours de la période de suspension. La méconnaissance, par l’employeur, de l’obligation de contrôler le respect de l’obligation vaccinale est punie d’une amende de 1 500 €. Cette contravention peut faire l’objet de la procédure d’amende forfaitaire. Si un tel manquement est constaté à plus de 3 reprises dans un délai de 30 jours, les faits sont punis d’1 an d’emprisonnement et de 9 000 € d’amende. Cette sanction ne vaut pas pour le particulier employeur. En outre, lorsque l’employeur ou l’agence régionale de santé ARS constate qu’un professionnel de santé ne peut plus exercer son activité depuis plus de 30 jours, il en informe le conseil national de l’ordre dont il relève. Par ailleurs, les professionnels de santé libéraux vont devoir justifier de leur vaccination auprès de l’ARS. Pour cela, l’ARS est autorisée à procéder à des vérifications en accédant au système d’information Vaccin Covid ». Enfin, lorsqu’une procédure est engagée à l’encontre d’un professionnel de santé concernant l’établissement d’un faux certificat médical de contre-indication à la vaccination contre la covid-19, le procureur de la République en informe, le cas échéant, le conseil national de l’ordre auquel le professionnel appartient. En cas de contre-indication à la vaccination Certaines personnes devant obligatoirement être vaccinées en raison de leur profession peuvent avoir une contre-indication médicale à le faire. Les cas de contre-indication médicale faisant obstacle à la vaccination contre la covid-19 sont les contre-indications inscrites dans le résumé des caractéristiques du produit RCP ○ antécédent d’allergie documentée avis allergologue à un des composants du vaccin en particulier polyéthylène-glycols et risque d’allergie croisée aux polysorbates ; ○ réaction anaphylaxique au moins de grade 2 atteinte au moins de 2 organes à une première injection d’un vaccin contre le COVID posée après expertise allergologique ; ○ personnes ayant déjà présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire contre-indication commune au vaccin Vaxzevria et au vaccin Janssen ; ○ une recommandation médicale de ne pas initier une vaccination première dose syndrome inflammatoire multi systémique pédiatrique PIMS post-covid-19 ; une recommandation établie après concertation médicale pluridisciplinaire de ne pas effectuer la seconde dose de vaccin suite à la survenue d’un effet indésirable d’intensité sévère ou grave attribué à la première dose de vaccin signalé au système de pharmacovigilance par exemple la survenue de myocardite, de syndrome de Guillain-Barré, etc.. Les cas de contre-indication médicale temporaire faisant obstacle à la vaccination contre la covid-19 sont un traitement par anticorps monoclonaux anti-SARS-CoV-2 ; des myocardites ou péricardites survenues antérieurement à la vaccination et toujours évolutives. A noter. A compter du 30 septembre 2021, il est prévu que le certificat médical de contre-indication soit établi par un médecin, le cas échéant pour la durée qu’il mentionne, sur un formulaire homologué. Ce certificat doit être adressé par la personne soumise à l’obligation vaccinale au service médical de l’organisme d’assurance maladie auquel elle est rattachée, en vue du contrôle de sa situation et de la délivrance du justificatif attestant d’une contre-indication médicale à la vaccination. Une autorisation d’absence pour se faire vacciner Les salariés et les agents publics bénéficient d’une autorisation d’absence pour se rendre aux rendez-vous médicaux liés aux vaccinations contre la covid-19. Ces absences n’entraînent aucune diminution de la rémunération et sont assimilées à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par les intéressés au titre de leur ancienneté. La sanction des attaques contre les lieux de vaccination Les personnes ayant détruit, dégradé ou détérioré un lieu destiné à la vaccination encourent une condamnation à 5 ans de prison et à 75 000 € d’amende. En cas de préjudice lié à la vaccination obligatoire Il est prévu que la réparation des préjudices directement imputables à une vaccination obligatoire contre la covid-19 est assurée par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales ONIAM. La vaccination des mineurs Il est désormais possible de tester ou de vacciner un mineur de 12 ans et plus sans le recueil préalable du consentement des 2 titulaires de l’autorité parentale. Par ailleurs, un mineur de plus de 16 ans peut demander à être vacciné sans l’autorisation des titulaires de l’autorité parentale. Lorsqu’un mineur âgé d’au moins 12 ans est confié au service de l’aide sociale à l’enfance, le président de la collectivité chargée de ce service peut autoriser sa vaccination si les titulaires de l’exercice de l’autorité parentale, invités à donner cette autorisation, n’ont pas répondu pendant un délai de 14 jours à compter de cette invitation. S’agissant des mineurs d’au moins 12 ans faisant l’objet d’une mesure de lutte contre l’enfance délinquante, ils peuvent être vaccinés sur autorisation du directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse lorsque le mineur fait l’objet d’une mesure de placement ; du directeur interrégional des services pénitentiaires lorsque le mineur est incarcéré. Pour les mineurs non accompagnés, cette autorisation peut être délivrée par le juge qui statue en urgence. Coronavirus COVID-19 les nouveautés pour la vaccination au 28 juillet 2021 Les professionnels suivants sont ajoutés à la liste des personnes pouvant injecter les vaccins à toute personne, sauf celles ayant des antécédents de réaction allergique à l’un des composants ou ayant présenté ce type de réaction lors de la première injection les aides-soignants diplômés d’Etat ; les auxiliaires de puériculture ; les préparateurs en pharmacie sous la supervision d’un pharmacien formé à l’administration des vaccins. Pour mémoire, les pharmacies d’officine et les pharmacies à usage intérieur peuvent approvisionner en vaccins tous les établissements de santé, les groupements, établissements sociaux et médico-sociaux, les services départementaux d’incendie et de secours, le bataillon de marins-pompiers de Marseille et la brigade de sapeurs-pompiers de Paris, les laboratoires de biologie médicale, ainsi que les centres et équipes mobiles de vaccination. Ces livraisons donnent désormais lieu au versement d’une indemnité de 7 € HT versée par la Caisse nationale d’assurance maladie à la personne dont relève l’établissement pharmaceutique de distribution en gros. Coronavirus COVID-19 les mesures annoncées concernant la vaccination au 12 juillet 2021 Pour accélérer la campagne de vaccination, le Gouvernement vient d’annoncer différentes mesures parmi lesquelles figure l’obligation, pour les personnels soignants et non-soignants professionnels et bénévoles, au contact des personnes fragiles, de se faire vacciner. Notez que pour s’assurer de son respect, des contrôles seront mis en place à partir du 15 septembre 2021. D’autres actions vont également être menées, dont notamment l’organisation, à la rentrée scolaire, de campagnes de vaccination pour les collégiens, lycéens et étudiants ; l’organisation, début septembre 2021, d’une campagne de rappel à destination des premiers Français vaccinés. Les tests PCR vont, en outre, devenir payants à l’automne 2021, sauf lorsqu’ils seront réalisés sur prescription médicale. Coronavirus COVID-19 ouverture de la vaccination aux mineurs d’au moins 12 ans ! Depuis le 15 juin 2021, les mineurs d’au moins 12 peuvent se faire vacciner. Ils peuvent seulement recevoir le vaccin Pfizer-BioNTech. L’autorisation des 2 parents matérialisée par une attestation téléchargeable ici, l’accord oral de l’adolescent et la présence d’un des 2 parents lors de l’injection avec l’attestation remplie sont nécessaires. S’il est seul, le parent accompagnant son enfant s’engage sur l’honneur à ce que l’autre parent cotitulaire de l’autorité parentale ait donné son autorisation. Les professionnels de santé doivent conserver cette attestation après l’injection. Après avoir reçu une information claire et adaptée à son âge sur l’état actuel des connaissances au sujet de la covid-19 et de l’efficacité du vaccin, le mineur doit également donner son consentement oral lors de l’entretien préalable réalisé par le médecin. Pour rappel, la vaccination est déconseillée aux adolescents de 12 à 17 ans qui ont développé un syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique PIMS » à la suite d’une infection par la covid-19 en raison d’un éventuel risque de réponse inflammatoire sévère. Coronavirus COVID-19 le point sur les réquisitions au 2 juin 2021 Le contexte. La gestion de la crise sanitaire nécessite la mobilisation de moyens exceptionnels parmi ceux-ci figure la possibilité, pour l’Etat, de réquisitionner certains établissements et personnels. Le principe. Lorsque les laboratoires de biologie médicale ne sont pas en mesure d’effectuer l’examen de détection du génome du SARS-CoV-2 par RT PCR ou d’en réaliser en nombre suffisant pour faire face à la crise sanitaire, le préfet de département peut ordonner soit la réquisition des autres laboratoires autorisés à réaliser cet examen ainsi que les équipements et personnels nécessaires à leur fonctionnement ; soit la réquisition des équipements et des personnels de ces mêmes laboratoires nécessaires au fonctionnement des laboratoires de biologie médicale qui réalisent cet examen. Coronavirus COVID-19 comment se déroule la campagne de vaccination à compter du 2 juin 2021 ? Quels sont les vaccins autorisés ? Les vaccins susceptibles d’être utilisés sont au nombre de 4, à savoir les vaccins à acide ribonucléique ARN messager ○ le vaccin à ARNm COMIRNATY BNT162b2 des laboratoires Pfizer/ BioNTech ; ○ le vaccin Moderna Covid-19 mRNA ; les vaccins à vecteur viral ○ le vaccin Covid vaccine AstraZeneca ; ○ le vaccin COVID-19 Vaccine Janssen. Des centres mobiles de vaccination ? La vaccination peut être assurée dans des centres et par des équipes mobiles désignés à cet effet par le préfet, après avis du directeur général de l’ARS. Elle peut également être assurée, avec la participation de moyens militaires, dans les centres de vaccination. Des vaccinations en laboratoire ? La vaccination peut aussi être assurée dans les laboratoires de biologie médicale par les professionnels de santé habilités à administrer le vaccin. Le rôle des dépositaires. Les vaccins sont achetés par l’Agence nationale de santé publique et sont gratuitement mis à disposition du public via des dépositaires qui les réceptionnent et les livrent aux grossistes répartiteurs, aux pharmacies d’officine ; aux pharmacies à usage intérieur PUI des établissements de santé ; aux hôpitaux des armées et de l’Institution nationale des invalides ; aux groupements de coopération sanitaire ; aux groupements de coopération sociale et médico-sociale ; aux établissements sociaux et médico-sociaux ; aux services départementaux d’incendie et de secours, du bataillon de marins-pompiers de Marseille et de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris ; aux laboratoires de biologie médicale ; aux centres de vaccination mobiles. Sachez que les grossistes répartiteurs peuvent prélever dans le conditionnement secondaire reçu le nombre de flacons de vaccins nécessaires et les placer dans un emballage étiqueté et adapté permettant d’en assurer le transport et la conservation, en garantissant le suivi des lots. Le rôle des pharmaciens dans la campagne de vaccination. Les pharmacies d’officine et les pharmacies à usage intérieur PUI peuvent également approvisionner en vaccins les établissements de santé, les groupements, les établissements sociaux et médico-sociaux, les services départementaux d’incendie et de secours, le bataillon de marins-pompiers de Marseille et la brigade de sapeurs-pompiers de Paris, ainsi que les centres de vaccination mobiles. Exceptionnellement, une PUI peut exercer une nouvelle activité de vaccination ou modifier ses locaux pour les besoins de la campagne de vaccination sur une simple déclaration préalable faite auprès de l’agence régionale de santé ARS en lieu et place de l’habituelle procédure d’autorisation. Par dérogation, le pharmacien d’officine peut délivrer des flacons de vaccins et des solutés destinés à plusieurs patients aux grossistes répartiteurs, aux pharmacies d’officine ; aux PUI des établissements de santé ; aux hôpitaux des armées et de l’Institution nationale des invalides ; aux groupements de coopération sanitaire ; aux groupements de coopération sociale et médico-sociale ; aux établissements sociaux et médico-sociaux ; aux services départementaux d’incendie et de secours, du bataillon de marins-pompiers de Marseille et de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris ; aux laboratoires de biologie médicale ; aux centres de vaccination mobiles. A cette fin, il peut prélever le nombre de flacons de vaccins et de solutés nécessaires dans le conditionnement secondaire reçu et, le cas échéant, les reconditionner dans un autre conditionnement secondaire. Il fournit en quantité adaptée aux nombres de flacons à délivrer, la notice en français, le soluté de dissolution, les seringues et aiguilles et un conditionnement secondaire adapté permettant d’en assurer le transport et la conservation. A compter du 6 octobre 2021, il est prévu que le pharmacien exerçant dans une pharmacie d’officine ou dans un centre de vaccination peut également reconstituer les vaccins autorisés et les délivrer sous forme de seringues individuelles pré-remplies aux professionnels et étudiants autorisés à les prescrire et à les administrer. A cette fin, il appose sur chaque seringue une étiquette indiquant le nom du vaccin ; son numéro de lot ; la date et l’heure de reconstitution ; la date et l’heure limite d’utilisation. Notez que le pharmacien doit veiller à ce que les seringues soient transportées dans un conditionnement étiqueté et adapté permettant d’en assurer le transport, la conservation et la traçabilité. A compter du 11 octobre 2021, il est prévu que chaque seringue individuelle préremplie délivrée à un professionnel ou à un étudiant autorisé est facturée par le pharmacien à l’assurance maladie au prix de 2 € hors taxes. A noter, dans ce cas, la rémunération habituellement versée aux pharmacies d’officine qui assurent la délivrance de vaccins contre la covid-19 n’est pas applicable. Par ailleurs, à l’exception des pharmaciens titulaires d’officine, les personnes exerçant la profession de pharmacien, quel que soit le tableau auquel ils sont inscrits, y compris les retraités, peuvent exercer au sein d’une PUI d’un établissement de santé pour les besoins de la campagne de vaccination. Enfin, les pharmaciens d’officine des pharmacies mutualistes et de secours minières peuvent prescrire les vaccins à toute personne, à l’exception des femmes enceintes, des personnes présentant un trouble de l’hémostase et des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection ; administrer les vaccins à toute personne, à l’exception des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection. Cette mesure est également applicable aux pharmaciens exerçant dans des PUI, dans un laboratoire de biologie médicale, dans un service d’incendie et de secours, dans le bataillon de marins-pompiers de Marseille, dans la brigade de sapeurs-pompiers de Paris, aux laboratoires de biologie médicale et dans les pharmacies relevant du service de santé des armées. Toutefois, ces derniers doivent avoir suivi une formation spécifique à la vaccination contre la covid-19, dispensée et attestée par un professionnel de santé formé à l’administration des vaccins. Pour les établissements qui n’ont pas de PUI. Par dérogation, les établissements et les services qui accueillent des personnes âgées ou qui leur apportent à domicile une assistance dans les actes quotidiens de la vie, des prestations de soins ou une aide à l’insertion sociale qui ne disposent pas de PUI ou qui ne sont pas membres d’un groupement de coopération sanitaire ou d’un groupement de coopération sociale et médico-sociale gérant une PUI peuvent conclure, avec le pharmacien gérant d’une PUI et le représentant légal de l’établissement de santé dont relève la pharmacie, une convention relative à la fourniture de vaccins. Pour les collectivités publiques. Par dérogation, les vaccins peuvent être utilisés par les collectivités publiques. Pour les professionnels de santé. Tout professionnel de santé, exerçant ses fonctions à titre libéral ou non, y compris s’il exerce des missions de prévention, de contrôle ou d’expertise, tout professionnel de santé retraité ou tout étudiant en santé, peut participer à la campagne vaccinale sans limite d’âge et dans la limite de ses compétences en matière de vaccination. Pour les EHPAD. Le médecin coordonnateur de l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes EHPAD peut prescrire et administrer les vaccins aux résidents et aux personnels de l’établissement dans lequel il exerce. Les médecins traitants des résidents concernés sont informés des prescriptions réalisées. Pour les sages-femmes. Par dérogation, les sages-femmes peuvent prescrire et administrer les vaccins, à l’exception des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la 1ère injection. Pour les infirmiers. Par dérogation, les infirmiers peuvent prescrire les vaccins à toute personne, à l’exception des femmes enceintes, des personnes présentant un trouble de l’hémostase et des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection ; administrer les vaccins à toute personne, à l’exception des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection. Pour les chirurgiens-dentistes. Par dérogation, les chirurgiens-dentistes, à condition qu’ils aient suivi une formation spécifique à la vaccination contre la covid-19, dispensée et attestée par un professionnel de santé formé à l’administration des vaccins, peuvent prescrire les vaccins à toute personne, à l’exception des femmes enceintes, des personnes présentant un trouble de l’hémostase et des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection ; administrer les vaccins à toute personne, à l’exception des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection. Pour les étudiants en médecine. Les étudiants de troisième cycle en médecine et en pharmacie, sous réserve, pour ces derniers, d’avoir suivi soit les enseignements théoriques et pratiques relatifs à la vaccination dans le cadre de leur cursus, soit une formation spécifique à la vaccination contre la covid-19, dispensée et attestée par un professionnel de santé formé à l’administration des vaccins, peuvent administrer le vaccin à toute personne, à l’exception des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection. Ils ne peuvent le faire que dans les centres de vaccination mobiles ou non ainsi que dans les lieux agréés et auprès des praticiens agréés-maîtres de stage des universités dans lesquels ou auprès desquels ils réalisent leurs stages de troisième cycle. Pour les centres de vaccination. Dans les centres de vaccination, les vaccins peuvent être inoculés par les professionnels de santé suivants ○ les physiciens médicaux ; ○ les techniciens de laboratoire médical ; ○ les aides-soignants diplômés d’Etat ; ○ les auxiliaires de puériculture diplômés d’Etat ; ○ les ambulanciers diplômés d’Etat ; ○ les masseurs kinésithérapeutes diplômés d’Etat ; ○ les pédicures podologues diplômés d’Etat ; ○ les ergothérapeutes diplômés d’Etat ; ○ les psychomotriciens diplômés d’Etat ; ○ les orthophonistes ; ○ les orthoptistes ; ○ les audioprothésistes diplômés d’Etat ; ○ les diététiciens ; ○ les opticiens-lunetiers ; ○ les orthoprothésistes, podo-orthésistes, ocularistes, épithésistes et orthopédistes-orthésistes ; ○ les assistants dentaires ; par les professionnels et détenteurs de formation suivants ○ les sapeurs-pompiers professionnels et volontaires titulaires de la formation d’équipier dans le domaine d’activité du secours d’urgence aux personnes ; ○ les sapeurs-pompiers de Paris titulaires de leur formation élémentaire en filière sapeur-pompier de Paris » SPP ou filière secours à victimes » SAV ou titulaires de leur formation élémentaire en filière spécialiste » SPE ; ○ les marins-pompiers de Marseille détenant le brevet élémentaire de matelot pompier BE MOPOMPI ou le brevet élémentaire de pompier volontaire BE MAPOV ou le brevet élémentaire de sécurité et logistique BE SELOG ; ○ les sapeurs-sauveteurs des formations militaires de la sécurité civile de la Direction générale de la Sécurité civile et de la gestion des crises. DGSCGC titulaire de la formation élémentaire de la filière force protection secours » ; ○ les auxiliaires sanitaires relevant de l’autorité technique du service de santé des armées ; ○ les pompiers de l’air titulaires de la qualification de premier secours en équipe de niveau 2 PSE 2 et à jour de formation continue ; ○ les matelots pompiers détenant le brevet élémentaire de matelot pompier BE MOPOMPI ou les marins pompiers détenant le brevet d’aptitude technique de marins pompier BAT MARPO ou le brevet supérieur de marin pompier BS MARPO ; ○ les détenteurs de la formation premiers secours en équipe de niveau 2 » PSE2. ○ les détenteurs d’au moins une formation prévention et secours civiques de niveau 1 PSC1 les étudiants en santé suivants ○ les étudiants en santé ayant suivi les enseignements théoriques et pratiques relatifs à la vaccination dans le cadre de leur cursus, en présence d’un médecin ou d’un infirmier, à savoir les étudiants de deuxième cycle des formations en médecine, en pharmacie et en maïeutique et les étudiants en soins infirmiers ayant validé leur première année de formation ; ○ les étudiants de deuxième et troisième cycle en odontologie, en présence d’un médecin ou d’un infirmier et à condition qu’ils aient suivi une formation spécifique à la réalisation de cet acte, dispensée et attestée par un professionnel de santé formé à l’administration des vaccins ; ○ les étudiants de premier cycle de la formation en médecine et en maïeutique à partir de la deuxième année ayant effectué leur stage infirmier, en présence d’un médecin, d’une sage-femme ou d’un infirmier et à condition qu’ils aient suivi une formation spécifique à la réalisation de cet acte, dispensée et attestée par un professionnel de santé formé à l’administration des vaccins ; ○ les étudiants en masso-kinésithérapie ayant validé leur deuxième année de formation, en présence d’un médecin ou d’un infirmier, et à condition qu’ils aient suivi une formation spécifique à la réalisation de cet acte, dispensée et attestée par un professionnel de santé formé à l’administration des vaccins. Depuis le 8 juillet 2021. Les techniciens de laboratoire médical, manipulateurs en électro-radiologie médicale, préparateurs en pharmacie et vétérinaires peuvent administrer les vaccins. Toutes ces inoculations se font sous la responsabilité d’un médecin pouvant intervenir à tout moment et à condition que les professionnels et étudiants en santé aient suivi une formation spécifique à la réalisation de cet acte, dispensée et attestée par un professionnel de santé formé à l’administration des vaccins. Pour le service de santé des armées. Le service de santé des armées peut conduire des opérations spécifiques de vaccination à destination des militaires, des personnels civils du ministère de la défense, ainsi que des autres personnes ayant droit aux soins du service de santé des armées. A cette fin, il est approvisionné par les dépositaires, grossistes répartiteurs, pharmacies d’officine et PUI. Les professionnels et les étudiants en santé précités peuvent, dans le cadre de ces opérations, injecter les vaccins aux militaires et personnels civils du ministère de la défense et aux autres ayants-droit aux soins du service de santé des armées, à l’exception des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection. Notez également que les pharmaciens relevant du service de santé des armées participant à ces opérations peuvent prescrire les vaccins à toute personne, à l’exception des femmes enceintes, des personnes présentant un trouble de l’hémostase et des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection ; administrer les vaccins à toute personne, à l’exception des personnes ayant des antécédents de réaction anaphylactique à un des composants de ces vaccins ou ayant présenté une réaction anaphylactique lors de la première injection. Toutefois, ils ne peuvent le faire qu’à condition qu’ils aient suivi une formation spécifique à la vaccination contre la covid-19, dispensée et attestée par un professionnel de santé formé à l’administration des vaccins. Une mise à disposition des employeurs. Pour les besoins de leur participation à la campagne de vaccination contre la covid-19, peuvent être mis à la disposition d’un centre de vaccination par leur établissement employeur des praticiens en situation de cumul de pension avec des rémunérations d’activité et des médecins remplaçants ; des infirmiers diplômés d’Etat, des sages-femmes, des techniciens de laboratoire, des manipulateurs en électroradiologie médicale et des vétérinaires, y compris lorsqu’ils sont en situation de cumul de pension avec des rémunérations d’activité ; des étudiants de troisième cycle des études de médecine, d’odontologie et de pharmacie, des étudiants de deuxième cycle des études de médecine, de maïeutique, d’odontologie et de pharmacie, des étudiants de deuxième et troisième année du premier cycle des études de médecine, des étudiants en soins infirmiers ayant validé leur première année de formation et des étudiants en masso-kinésithérapie ayant validé leur deuxième année de formation. Les modalités de cette mise à disposition sont prévues par un contrat de travail signé entre le directeur de l’établissement employeur et les professionnels de santé. Une copie du contrat est adressée au directeur général de l’ARS territorialement compétente. La mise à la disposition d’un centre de vaccination contre la covid-19 ne donne lieu à aucun remboursement par ce centre à l’établissement employeur. La rémunération des professionnels et étudiants en santé. Les professionnels et les étudiants affectés dans un centre de vaccination contre la covid-19 ou mis à la disposition d’un tel centre sont rémunérés selon les modalités suivantes Les professionnels et les étudiants affectés dans un centre de vaccination contre la covid-19 ou mis à la disposition d’un tel centre sont rémunérés selon les modalités suivantes pour les médecins en situation de cumul de pension avec des rémunérations d’activité par heure 50 € entre 8 heures et 20 heures, 75 € entre 20 heures et 23 heures et entre 6 heures et 8 heures, et 100 € entre 23 heures et 6 heures ainsi que le dimanche et les jours fériés ; pour les chirurgiens-dentistes et les pharmaciens en situation de cumul de pension avec des rémunérations d’activité par heure 32 € entre 8 heures et 20 heures, 48 € entre 20 heures et 23 heures et entre 6 heures et 8 heures, et 64 € entre 23 heures et 6 heures ainsi que le dimanche et les jours fériés ; pour les médecins remplaçants 420 € par demi-journée d’activité d’une durée minimale de quatre heures et 460 € par demi-journée d’activité effectuée le samedi après-midi, le dimanche et les jours fériés ; en cas d’intervention inférieure à 4 heures, le forfait est égal à 105 € par heure ou 115 € le samedi après-midi, le dimanche et les jours fériés ; pour les sages-femmes d’activité par heure 32 € entre 8 heures et 20 heures, 48 € entre 20 heures et 23 heures et entre 6 heures et 8 heures, et 64 € entre 23 heures et 6 heures ainsi que le dimanche et les jours fériés ; pour les infirmiers diplômés d’Etat d’activité par heure 24 € entre 8 heures et 20 heures, 36 € entre 20 heures et 23 heures et entre 6 heures et 8 heures, et 48 € entre 23 heures et 6 heures ainsi que le dimanche et les jours fériés ; pour les étudiants de troisième cycle des études de médecine, d’odontologie et de pharmacie d’activité par heure 50 € entre 8 heures et 20 heures, 75 € entre 20 heures et 23 heures et entre 6 heures et 8 heures, et 100 € entre 23 heures et 6 heures ainsi que le dimanche et les jours fériés ; pour les étudiants de deuxième cycle des études de médecine, de maïeutique, d’odontologie et de pharmacie d’activité par heure 24 € entre 8 heures et 20 heures, 36 € entre 20 heures et 23 heures et entre 6 heures et 8 heures, et 48 € entre 23 heures et 6 heures ainsi que le dimanche et les jours fériés ; pour les étudiants de deuxième et troisième année du premier cycle des études de médecine et les étudiants en soins infirmiers ayant validé leur première année de formation d’activité par heure 12 € entre 8 heures et 20 heures, 18 € entre 20 heures et 23 heures et entre 6 heures et 8 heures, et 24 € entre 23 heures et 6 heures, ainsi que le dimanche et les jours fériés ; pour les techniciens de laboratoire et les manipulateurs en électroradiologie médicale d’activité par heure 20 € entre 8 heures et 20 heures, 32 € entre 20 heures et 23 heures et entre 6 heures et 8 heures, et 40 € entre 23 heures et 6 heures ainsi que le dimanche et les jours fériés ; pour les vétérinaires d’activité par heure 60 € par demi-journée d’activité d’une durée minimale de 4 heures et 180 € par demi-journée d’activité effectuée le samedi après-midi, le dimanche et les jours fériés. En cas d’intervention inférieure à 4 heures, le forfait est égal à 40 € par heure ou 45 € le samedi après-midi, le dimanche et les jours fériés. A l’occasion de l’administration de la première dose de vaccin, un dépistage par test rapide d’orientation diagnostique peut être réalisé pour les personnes n’ayant pas été dépistées comme positives dans l’année précédant l’injection. Si ces tests sont positifs, cela signifie que les personnes testées n’auront pas à recevoir une seconde injection de vaccin. Ces tests sont délivrés gratuitement par les pharmacies d’officine aux professionnels de santé sur présentation d’un justificatif de la qualité du professionnel. Ces tests sont facturés par le pharmacien à l’assurance maladie au prix maximum de 6,02 € TTC ou 5,52 € TTC lorsque le pharmacien réalise lui-même le test. Coronavirus COVID-19 vaccination et prise en charge par la Sécurité sociale Suppression du reste à charge pour les consultations de vaccination ? Jusqu’au 31 décembre 2021 au lieu du 30 septembre 2021, le ticket modérateur, la participation forfaitaire et la franchise sont supprimés pour la consultation pré-vaccinale et les consultations de vaccination contre le SARS-CoV-2 pour les frais liés à l’injection du vaccin contre le SARS-CoV-2 ; pour les frais liés au renseignement des données dans le traitement automatisé de données à caractère personnel dans le cadre de la campagne de vaccination contre la covid-19, dénommé Vaccin Covid ». Précisions. Pour les personnes qui ne bénéficient pas de la prise en charge de leurs frais de santé parce qu’elles ne remplissent pas les conditions nécessaires, et qui ne bénéficient pas non plus de l’aide médicale de l’Etat, la prise en charge intégrale des frais liés à ces consultations pré-vaccinales et vaccinales, à ces injections et au renseignement des données dans le traitement automatisé dénommé Vaccin Covid » est assurée dans les mêmes conditions. Une dispense… Pour ces prestations, qui ne peuvent donner lieu à aucun dépassement d’honoraire, les personnes bénéficient d’une dispense d’avance de frais. Prise en charge du transport vers un lieu de vaccination ? Jusqu’au 31 décembre 2021, à titre dérogatoire, les personnes se trouvant dans l’incapacité de se déplacer seules peuvent bénéficier de la prise en charge intégrale, par la Sécurité sociale, de leur transport par ambulance ou de leur transport assis professionnalisé, réalisé pour recevoir une injection d’un vaccin contre le SARS-CoV-2, entre leur domicile et le centre de vaccination le plus proche ou le lieu d’exercice d’un professionnel de santé autorisé à vacciner contre le SARS-CoV-2 dès lors que ce transport fait l’objet d’une prescription médicale préalable ; dans les conditions et limites tenant compte de l’état du malade et du coût du transport fixées par décret. Précision. Les personnes concernées sont dispensées d’’avancer les frais. Coronavirus COVID-19 tout savoir sur la campagne de vaccination avant le 2 juin 2021 => Retrouvez ici toutes les informations concernant la campagne de vaccination avant le 2 juin 2021 A retenir De nombreux dispositifs sont mis en place pour venir en aide aux entreprises confrontées à la crise du coronavirus. N’hésitez pas à solliciter l’aide de vos conseils et de vos interlocuteurs bancaires et administratifs habituels. Sources Arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Décret n° 2021-699 du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire articles 48 et 49 Décret n° 2021-770 du 16 juin 2021 modifiant le décret n° 2021-13 du 8 janvier 2021 prévoyant l’application de dérogations relatives au bénéfice des indemnités journalières et de l’indemnité complémentaire prévue à l’article L. 1226-1 du code du travail ainsi qu’aux conditions de prise en charge par l’assurance maladie de certains frais de santé afin de lutter contre l’épidémie de Covid-19 Actualité de service-public du 15 juin 2021 vaccination ouverte aux adolescents Arrêté du 7 juillet 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Communiqué de presse du Gouvernement du 12 juillet 2021 Allocution du Président du 12 juillet 2021 Arrêté du 27 juillet 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire Décret n° 2021-1059 du 7 août 2021 modifiant le décret n° 2021-699 du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Décret n° 2021-1268 du 29 septembre 2021 modifiant le décret n° 2021-699 du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Actualité du ministère de la Santé du 1er octobre 2021 dépistage et vaccination-fraude Arrêté du 4 octobre 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Arrêté du 9 octobre 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Décision du Tribunal Administratif de Cergy-Pontoise du 4 octobre 2021, n°2111794 Décision du Tribunal Administratif de Besançon du 11 octobre 2021, n°2101694 Décret n° 2021-1413 du 29 octobre 2021 modifiant le décret n° 2021-699 du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Décret n° 2021-1412 du 29 octobre 2021 modifiant le décret n° 2021-13 du 8 janvier 2021 prévoyant l’application de dérogations relatives au bénéfice des indemnités journalières et de l’indemnité complémentaire prévue à l’article L. 1226-1 du code du travail ainsi qu’aux conditions de prise en charge par l’assurance maladie de certains frais de santé afin de lutter contre l’épidémie de Covid-19 Arrêté du 3 novembre 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Arrêté du 8 novembre 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Décret n° 2021-1460 du 8 novembre 2021 relatif à l’entrée en vigueur immédiate d’un arrêté Loi n° 2021-1465 du 10 novembre 2021 portant diverses dispositions de vigilance sanitaire Décret n° 2021-1521 du 25 novembre 2021 modifiant le décret n° 2021-699 du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Actualité de du 25 novembre 2021 Actualité de du 25 novembre 2021 Communiqué de presse du ministère de l’Outre-mer du 26 novembre 2021 Arrêté du 29 novembre 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Actualité de du 6 décembre 2021 simulateur dose de rappel Arrêté du 6 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Décret n° 2021-1578 du 6 décembre 2021 relatif à l’entrée en vigueur immédiate d’un arrêté Communiqué de presse du ministère du Travail du 22 décembre 2021 renforcer la vaccination en entreprise Arrêté du 22 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Arrêté du 31 décembre 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Arrêté du 26 janvier 2022 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Arrêté du 3 février 2022 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Décret n° 2022-176 du 14 février 2022 modifiant le décret n° 2021-699 du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire Arrêt du Conseil d’Etat, du 2 mars 2022, n°458353 suspension non retenue du traitement des soignants non vaccinés déjà en arrêt de travail Communiqué de presse du ministère de la Santé du 7 avril 2022 élargissement de l’éligibilité à la 2e dose de rappel Lespersonnes asymptomatiques, à l’exception des personnes cas contacts ou détectées au sein d’un cluster, peuvent également se faire tester en pharmacie, mais ne sont pas prioritaires. Publié le 24 sept. 2021 à 1949L'embellie se confirme en France, sur le front de la lutte contre le Covid-19. Mais alors que débute tout juste l'automne, le gouvernement chercher à éviter une seconde épidémie celle de la grippe ministère de la Santé a présenté, mercredi 23 septembre, sa stratégie vaccinale antigrippale. Celle-ci débutera le 26 octobre prochain. Objectif affiché augmenter la couverture vaccinale en 2021. Pour y parvenir, les pharmaciens seront autorisés à vacciner l'ensemble de la semaines de délaiLes pharmaciens sont, depuis 2019, déjà autorisés à vacciner contre la grippe saisonnière les personnes majeures et ciblées par les recommandations vaccinales en vigueur. Etaient concernées notamment, les personnes de plus de 65 ans, les femmes enceintes, les patients souffrant de certaines pathologies chroniques, les personnes obèses, ou encore l'entourage des personnes personnes restent la priorité. Une stratégie de priorisation sera mise en place pour la population cible pendant les quatre premières semaines de la campagne », indique, dans un communiqué, l'Union des Syndicats de Pharmaciens d'Officine USPO. La vaccination en officine de tous les adultes ne pourra débuter qu'après ce délai, soit le 23 ministère a indiqué en outre, que 10 millions de doses de vaccins contre la grippe seraient livrées avant le début de la campagne. Au global, l'approvisionnement en vaccin sera supérieur de 17 % à l'année précédente. Contrairement à l'année dernière, les autorités de santé ne craignent pas de rupture de stocks de vaccins contre la regard de ces chiffres, le syndicat formule une demande être autorisés à vacciner dès réception de ces doses. L'USPO souhaite également que les préparateurs soient autorisés à vacciner contre la vaccination couplée au rappel contre le Covid-19Sur le plan de la lutte contre le Covid, la vaccination concomitante grippe/covid-19 est autorisée », souligne le syndicat dans un communiqué. L'USPO salue cette avancée qui reconnaît le rôle des pharmaciens dans la stratégie de vaccination contre la Covid-19 ».En août, la Haute Autorité de Santé HAS recommandait le recours à une vaccination couplée. Elle proposait alors pour éviter tout retard à la vaccination antigrippale et simplifier le parcours vaccinal, de procéder à l'administration concomitante du rappel des vaccins contre le Covid-19 et du vaccin contre la grippe saisonnière dès lors qu'une personne sera éligible aux deux vaccinations ». Mercredi, le ministère de la Santé a précisé qu'aucun délai n'était prévu entre les deux injections lorsque les deux vaccins ne sont pas injectés en même temps ». Comment affronter la montée des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures découvre les offres Pourrelancer la machine du traitement anti-Covid de Pfizer, l’Etat a simplifié son circuit de distribution. Reportage sur le site du grossiste-répartiteur pharmaceutique OCP à Saint-Ouen.
Les pharmacies ont la possibilité d'ouvrir le dimanche à partir du 12 décembre. Olivier Véran avait annoncé cette possibilité jeudi dernier. Pour autant tous les professionnels ne sont pas d'accord avec cette ouverture. Les pharmacies pourront ouvrir leurs officines le dimanche sans limitation en décembre et en janvier pour vacciner les Français contre le Covid. Le but, annoncé jeudi dernier par le ministre de la Santé Olivier Véran, est de "simplifier et amplifier la campagne de rappel". "La France est un des pays au monde qui vaccine le plus en vaccination de rappel au quotidien, hier plus de 650 000 Français ont reçu une injection de rappel", a-t-il rappelé sur France 2. "Il faut aller plus vite, plus fort". Une mesure qui ne fait pas l'unanimité Cette mesure ne fait pas l'unanimité auprès des pharmaciens. Tous ne sont pas prêts à sacrifier leur seul jour de repos pour vacciner les Français. La gronde monte notamment dans les Pyrénées-Orientales. A lire aussi Covid les pharmaciens des Pyrénées-Orientales refusent d'ouvrir le dimanche pour vacciner "Nos équipes sont éreintées par deux ans de crise sanitaire. Entre-temps, on a enregistré des démissions de préparateurs y compris de docteurs en pharmacie, il manque actuellement 6 000 postes d'officines à pourvoir en France, je ne vois pas comment on peut réussir à rester sur ce rythme hebdomadaire effréné sans prendre le dimanche comme seul jour de repos", rejette Françoise Rouve. Implantée à Estagel, la présidente départementale du Syndicat des pharmaciens se félicite d'ailleurs que la prescription d'Olivier Véran soit "une possibilité, pas une obligation". Bruno Galan, président de l'Ordre des pharmaciens d'Occitanie, établi à Palau-del-Vidre, met le holà "Ce n'est pas de la mauvaise volonté mais on est dans l'incapacité d'aller au-delà". Notamment par manque de personnel. Roselyne Bachelot "aurait ouvert" Ce qui a également indigné les pharmaciens ce sont les propos de la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, également pharmacienne. "Je suis persuadée qu’ils prendront leurs responsabilités et qu’ils ouvriront le dimanche pour permettre de vacciner et tester, lance-t-elle en parlant des gérants d’officines. Si j’étais dans ma pharmacie, j’ouvrirai le dimanche." Autrement dit, elle ne comprend pas la protestation des pharmaciens. "Je l’invite à venir vacciner dans mon officine tous les dimanches de décembre et janvier", rétorque Frédéric Abecassis, président du syndicat des pharmaciens de l'Hérault, avant de poursuivre, "c’est avec plaisir, qu’elle vienne, elle est pharmacienne donc elle peut être réquisitionnée et ça fera un peu de personnel en plus pour pouvoir ouvrir le dimanche. Pour le moment, ce n’est pas possible."
. 630 121 673 254 170 84 276 553

les preparateurs en pharmacie peuvent ils vacciner