Vousavez l’impression que tout va mal autour de vous ? C’est normal, votre cerveau est programmé depuis nos plus lointaines origines pour

Télécharger l'article Télécharger l'article Il peut se produire de nombreuses situations dans la vie qui vous amènent à penser que votre vie est nulle. Cela pourrait inclure la perte d'un être cher, la perte d'un emploi, une maladie chronique, une rupture, etc. Dans toutes ces situations, il est normal d'avoir le cafard. Cependant, il est important de réaliser qu'il est possible de rebondir en utilisant des pensées positives, c'est-à-dire en voyant vos problèmes d'une façon plus optimiste et plus productive [1] . En plus, il existe un certain nombre de stratégies que vous pouvez envisager pour retrouver le bonheur et avoir un point de vue plus positif sur la vie. 1 Réfléchissez aux raisons qui vous amènent à penser que votre vie est nulle. Il existe plusieurs raisons qui pourraient vous amener à penser que votre vie est nulle. Si vous souffrez de beaucoup de stress au quotidien, vous pourriez vous sentir anxieux ou déprimé. Vous pourriez même souffrir de symptômes physiques comme des maux de tête ou des insomnies [2] . Voici quelques sources de stress communes [3] . Des changements de vie majeurs. Si vous traversez une période de bouleversement, par exemple après une rupture ou le début d'une nouvelle relation, un changement d'emploi, un déménagement, etc., vous ressentez probablement beaucoup de stress. La famille. Si vous avez des problèmes d'ordre familial, vous pourriez vous sentir vexé, triste ou anxieux. Le travail ou les études. Les obligations liées au travail ou aux études sont une source importante de stress pour tout le monde. Si vous ne vous sentez pas apprécié au travail ou si vous êtes coincé à un poste sans avenir, vous pourriez penser que votre vie est nulle. La vie sociale. Si vous vous sentez isolé ou déconnecté, vous pourriez avoir l'impression que votre vie est nulle. Si vous ressentez de l'anxiété à l'idée de rencontrer de nouvelles personnes ou de vous retrouver dans des situations de groupe, ces choses-là pourraient vous provoquer du stress. 2 Tenez un journal. Une des façons de comprendre ce que vous ressentez est d'identifier la raison qui vous fait le ressentir. En tenant un journal, vous pourrez identifier les éléments de votre situation que vous pouvez contrôler pour vous aider à rester positif [4] . En général, vous devez vous souvenir que vous ne pouvez pas contrôler autre chose que vos propres actions et vos réponses. Par exemple, vous pourriez avoir remarqué que vous vous sentez plus vexé et triste lorsque vous êtes au travail. Vous pourriez avoir l'impression que votre travail n'est pas reconnu et apprécié. Vous pourriez trouver que vous travaillez trop. Cette situation est nulle. Essayez de trouver les éléments sur lesquels vous avez un contrôle. Vous ne pouvez pas contrôler les autres pour qu'ils apprécient ou reconnaissent votre travail. Cependant, vous pourriez arriver à affirmer vos succès. Vous avez le choix de dire oui aux projets qui se retrouvent sur votre bureau. Vous pouvez aussi contrôler votre recherche d'un nouvel emploi dans un lieu qui serait mieux adapté à votre personnalité. Trouvez des façons de vous rendre plus fort et vous pourriez vous rendre compte que votre vie n'est pas aussi nulle que cela. Essayez de dresser une liste de toutes les choses que vous pouvez faire pour aider votre situation. Par exemple, si vous avez l'impression de trop travailler, vous pourriez envisager d'en discuter avec votre patron ou de négocier une augmentation. Si vous ne vous sentez pas apprécié, vous pourriez envisager de trouver un emploi dans un lieu qui propose un meilleur environnement de travail. Faites une liste d'actions spécifiques et concrètes que vous pouvez mettre en place. 3 Posez-vous les questions suivantes pour vous aider à vous analyser. Souffrez-vous d'une maladie grave ? Abusez-vous de drogues ou d'alcool ? S'est-il passé un évènement majeur dans votre vie ces derniers temps ? Un de vos proches est-il décédé ? Faites-vous face à des conflits personnels ? Avez-vous subi des abus ou des traumatismes ? Prenez-vous des médicaments prescrits par votre médecin [5] ? Si vous avez répondu oui à l'une de ces questions, cela pourrait vous donner une idée de la raison qui vous fait penser que votre vie est nulle. 4 Envisagez des problèmes physiques. De nombreuses personnes n'arrivent pas à comprendre pourquoi elles pensent que leur vie est nulle [6] . Des recherches ont montré que la génétique joue un rôle dans la dépression. Si une personne de votre famille souffre de dépression, il est possible que vous en souffriez aussi. Certains problèmes médicaux, par exemple un problème de thyroïde ou des douleurs chroniques, peuvent aussi provoquer la dépression [7] . Les femmes ont un risque de dépression deux fois plus élevé que les hommes. Un changement dans les taux hormonaux peut provoquer une dépression [8] . Des changements au niveau du cerveau peuvent aussi entrainer une dépression. Des études sur les personnes souffrant de dépression ont indiqué que le cerveau subit des changements pendant cette période [9] . Publicité 1Sachez reconnaitre les moments où vous pensez négativement. Il est important de se rendre compte de ses pensées négatives pour pouvoir les transformer en pensées positives. Les personnes qui pensent négativement ont tendance à toujours se préparer au pire. En plus, elles s'accusent facilement du mal qui peut se produire. Elles ont aussi tendance à amplifier un aspect négatif de n'importe quelle situation. Elles vont alors polariser cette situation pour n'y voir que du bien ou du mal [10] . 2 Changez vos pensées négatives en pensées positives. Essayez de vérifier régulièrement vos pensées pendant la journée. Identifiez les choses que vous voyez généralement comme négatives et essayez d'y trouver un côté positif. Il pourrait aussi être utile de vous entourer de personnes positives, car les personnes négatives ont tendance à faire augmenter votre stress et votre propre négativité. Voici quelques exemples pour vous aider à changer vos idées négatives en idées positives [11] . C'est effrayant, je ne l'ai jamais fait auparavant c'est une excellente opportunité de faire quelque chose de différent. Je ne vais jamais m'améliorer je vais essayer une nouvelle fois. C'est un changement trop important je vais essayer quelque chose de nouveau et de passionnant. 3 Essayez de ne pas vous définir en fonction de votre environnement. Vous pourriez avoir l'impression que l'endroit où vous vous trouvez définit la personne que vous êtes. Si vous êtes dans un environnement nul, il pourrait être difficile de rester positif. Concentrez-vous sur vos qualités personnelles plutôt que sur la situation dans laquelle vous vous trouvez. Souvenez-vous que toute situation n'est jamais que temporaire. Par exemple, si vous vous inquiétez de perdre votre emploi, souvenez-vous que celui-ci ne vous définit pas en tant que personne. Envisagez-le comme une opportunité de poursuivre une nouvelle direction ou trouvez-vous un emploi dans un domaine qui vous intéresse, faites par exemple du bénévolat ou concentrez-vous sur votre famille. Si vous avez l'impression que votre vie est nulle parce que vous souffrez de harcèlement, souvenez-vous que les personnes qui harcèlent les autres ne font que projeter leurs propres insécurités sur les autres. Leurs actions ne les définissent qu'elles-mêmes, pas vous. Informez-en les autorités compétentes, par exemple vos parents, un conseiller ou le directeur et restez fort. 4 Sortez et socialisez. Souvent, les personnes qui pensent que leur vie est nulle vont se retirer de tout contact social. Cela peut cependant entrainer une dépression. Faites des efforts pour sortir et rencontrer vos amis [12] . Essayez d'aller prendre rapidement un café avec un ami ou un membre de votre famille. Appelez plus souvent au téléphone vos amis et les membres de votre famille. Ne vous attendez pas à apprécier ces moments au début ou à être le centre d'intérêt. Le plus important est d'avancer petit à petit. Soyez amical avec les inconnus que vous rencontrez pendant la journée. N'ayez pas peur de parler de banalités. Une discussion avec un inconnu peut stimuler votre gaieté. Rejoignez un club ou un cours pour rencontrer de nouvelles personnes. 5 Essayez d'avoir des pensées claires. Si vous pensez que votre vie est nulle, il est probable que vous n'ayez pas un point de vue juste et que vous ne répondiez pas de façon raisonnable à la situation. Au lieu de laisser vos pensées hors de contrôle, reprenez-en les rênes en vous posant les questions suivantes [13] . Comment puis-je savoir si cette idée est valide ou non ? Cela a-t-il toujours été vrai ? Y a-t-il des exceptions ? Quelle est la partie de la situation que je rate ? 6 Faites de l'exercice régulièrement et mangez sainement. Il a été démontré que faire de l'exercice trois fois par semaine permet de soulager la dépression légère ou moyenne. Vous arriverez à vous sentir mieux dans votre peau et vous serez de meilleure humeur. Vous pouvez aussi améliorer votre dépression en suivant un régime alimentaire équilibré. Limitez votre consommation d'alcool à un verre par jour et consommez une variété d'aliments sains. Vous devez aussi éviter les drogues, le tabagisme et d'autres mauvaises habitudes néfastes pour votre santé. Les exercices d'aérobic sont particulièrement efficaces. Essayez de faire de l'exercice pendant 30 minutes sur un tapis roulant ou allez vous promener pendant 30 minutes [14] . Le yoga pourrait aussi vous aider à vous détendre. Essayez de manger du poisson, des céréales complètes et des fruits et de boire beaucoup. 7 Essayez la méditation et répétez-vous un mantra qui a du sens pour vous. Les messages répétitifs, qu'ils soient positifs ou négatifs, peuvent avoir un effet important sur votre mental. Remplacez tout le bruit par de la positivité en remplissant votre esprit de pensées positives. Choisissez un mantra qui vous aide à traverser la journée. Répétez-le lorsque vous vous sentez accablé et chaque fois que vous le faites, pensez à sa vraie signification [15] . Voici quelques exemples. Soyez le changement que vous voulez voir » Mahatma Gandhi. L'action est l'antidote au désespoir » Joan Baez. Personne d'autre que vous-même ne peut libérer votre esprit » Bob Marley. Il vaut mieux allumer une bougie qu'insulter l'obscurité » Eleanor Roosevelt. 8 Pensez à la signification que vous donnez à la vie. Les gens qui pensent que la vie a un but ont tendance à être plus heureux que ceux qui pensent qu'elle n'a pas de sens. Avez-vous déjà pris du temps pour penser au sens de la vie ? Personne ne peut vraiment connaitre la réponse à cette question universelle. Cependant, vous pouvez décider du sens que vous voulez lui donner. En trouvant le sens de votre vie, vous arriverez à vous lever tous les jours, même lorsque tout va mal. Certaines personnes trouvent le sens de leur vie en rejoignant une religion ou en développant leur côté spirituel. La philosophie peut vous aider à mieux comprendre votre vision du monde. À une échelle plus intime, les choses les plus importantes de votre vie peuvent être vos relations avec les autres, votre travail, vos activités artistiques ou quelque chose d'entièrement différent. 9Ralentissez le rythme pour profiter des parties positives de votre vie. Il y a forcément plusieurs choses dans votre vie qui vous apportent du confort et de la paix intérieure. Que ce soit votre première tasse de café le matin, une promenade au soleil ou une pause cigarette de 10 minutes, savourez cet instant. Donnez-vous le temps de ralentir et de profiter des bons moments de votre vie. Vous allez engranger des pensées positives saines que vous pouvez ressortir lorsque tout va mal [16] . 10 Sachez aider les autres [17] . Vous allez stimuler votre positivité en faisant même des choses qui paraissent insignifiantes, par exemple en aidant quelqu'un à porter ses courses. Vous obtiendrez même de meilleurs résultats en faisant du bénévolat. Réfléchissez à ce que vous voulez donner et partagez-le avec générosité le plus souvent possible. Vous pensez n'avoir rien à partager ? Trouvez un refuge pour sans-abris près de chez vous et faites-y du bénévolat plusieurs heures par semaine. Vous allez vous rendre compte que le temps que vous arrivez à gagner est nécessaire. Publicité 1 Faites des recherches sur les techniques employées en thérapie cognitive pour savoir si cela peut marcher pour vous. La plupart du temps que vous allez passer en thérapie cognitive vous aidera à gérer les problèmes de la vie réelle [18] . Un thérapeute vous aidera à examiner et à ajuster vos pensées et votre comportement négatifs non productifs et il essaiera de réduire les effets de ces pensées et de ces comportements sur vous. Vous travaillerez en équipe avec le thérapeute en prenant des décisions ensemble à propos de vos sujets de discussion et des devoirs » que vous devrez faire à la maison. Il a été démontré que la thérapie cognitive est aussi efficace que les antidépresseurs pour améliorer la dépression légère ou moyenne. La thérapie cognitive est aussi efficace que les antidépresseurs pour éviter les rechutes. Les bénéfices de la thérapie cognitive apparaissent après plusieurs semaines. Choisissez un thérapeute spécialisé en thérapie cognitivo comportementale et prenez rendez-vous avec lui si cette option vous semble intéressante. Commencez par faire des recherches sur les thérapeutes qui se trouvent près de chez vous [19] . 2 Renseignez-vous à propos de la thérapie interpersonnelle pour savoir si cela vous plait. La thérapie est spécifiquement conçue pour les personnes souffrant de problèmes interpersonnels. C'est un traitement sur le court terme qui dure généralement une heure par semaine pendant 12 à 16 semaines. Les séances de la thérapie sont spécifiquement conçues pour vous aider à régler des conflits interpersonnels, des changements au niveau de votre rôle social et des problèmes de développement social de vos relations [20] . Le thérapeute va faire appel à un certain nombre de techniques, y compris l'écoute empathique, le jeu de rôle et l'analyse de communication. Trouvez un thérapeute interpersonnel si vous pensez que cela pourrait vous aider. Vous pouvez en trouver un près de chez vous en faisant des recherches sur Internet [21] . 3 Renseignez-vous à propos de la thérapie familiale pour savoir si cela pourrait vous aider. Un thérapeute familial va se concentrer sur la résolution des problèmes entre des membres d'une même famille. Le thérapeute va personnaliser ses séances en fonction de vos problèmes et tous les membres de la famille qui souhaitent y participer sont les bienvenus. Votre thérapeute va examiner la capacité des membres de la famille à résoudre leurs problèmes, il va explorer les rôles de chacun et il va identifier les forces et les faiblesses de la famille en tant qu'unité [22] . La thérapie familiale est particulièrement efficace pour les individus qui ont des problèmes avec leur époux/épouse ou avec d'autres membres de leur famille. Trouvez un thérapeute familial et prenez rendez-vous si cette option vous semble intéressante. Une fois de plus, vous pouvez faire des recherches sur Internet [23] . 4 Faites des recherches à propos de la thérapie d'acceptation et d'engagement. Ce genre de thérapie se base sur l'idée que vous pouvez arriver à vous sentir plus heureux en surmontant vos pensées, vos émotions et vos associations négatives. Le thérapeute va travailler avec vous pour changer votre perception de la négativité pour vous aider à voir la vie de façon plus positive [24] . Trouvez un thérapeute spécialisé en thérapie de l'acceptation et de l'engagement et prenez rendez-vous avec lui si cette option vous semble intéressante. Une fois de plus, vous pouvez commencer vos recherches sur Internet [25] . 5 Faites très attention en choisissant un thérapeute. Vous devez examiner sa formation et ses qualifications. Vous devez aussi examiner les frais encourus et demander à votre mutuelle si elle va les couvrir. Vous devez aussi lui demander comment se déroulent généralement les rendez-vous avec ses patients [26] . Trouvez un thérapeute certifié dans la spécialité que vous recherchez. Demandez au thérapeute le tarif par séance, si le tarif varie selon votre revenu et s'il facture ou non la première séance certains pourraient ne pas la facturer. Demandez-lui combien de fois par semaine ou par mois vous allez devoir le voir, combien de temps durent les séances et comment fonctionne son système de confidentialité. 6Demandez de l'aide à votre médecin si aucune de ces méthodes ne vous aide à vous sentir plus positif. La dépression peut être un état très difficile à surmonter et de nombreuses personnes demandent conseil à leur médecin pour trouver une solution. Si vous avez un médecin de famille, vous devriez le contacter en premier. Si vous n'en avez pas, vous pouvez en trouver un sur Internet et prendre rendez-vous pour une consultation. 7 Sachez à quoi vous attendre au moment de la consultation. Les gens associent le plus souvent le cabinet du médecin avec des analyses sanguines et des échantillons à envoyer à un laboratoire, mais ce n'est pas le cas pour le diagnostic de la dépression qu'aucune analyse physique ne peut détecter. Le médecin va plutôt vous examiner et parler avec vous pour déterminer si vous souffrez de dépression [27] . Le médecin va examiner les points suivants votre sentiment de tristesse ou votre humeur déprimée un changement de poids un sentiment de fatigue des insomnies des pensées de morts ou de suicide des analyses en laboratoire pourraient être effectuées pour écarter une cause physique à la dépression 8 Attendez-vous à ce que le médecin vous prescrive des médicaments pour soigner votre dépression. Le médecin va probablement vous recommander une thérapie pour vous aider à sortir de votre dépression. Cependant, il existe aussi de nombreux médicaments qui peuvent aider votre dépression de manière significative. Si votre médecin vous prescrit ce genre de médicaments, suivez ses indications à la lettre. Vous devez prendre les antidépresseurs de la façon exacte que le médecin vous les a prescrits. Parmi les médicaments généralement prescrits pour la dépression, on inclut le Paxil, le Lexapro, le Zoloft et le Prozac. Ces médicaments fonctionnent de manière différente chez les patients et la plupart d'entre eux ne montreront des effets qu'après environ un mois [28] . Publicité Conseils Résistez à l'envie urgente de passer vos nerfs sur les personnes autour de vous. À la place, essayez d'écrire, de vous confier à un ami, de dessiner, de vous promener, etc. Ne vous apitoyez pas sur vous-même. Si vous ne pouvez pas changer la situation, vous pouvez toujours y réfléchir et vous demander comment y répondre. Ne faites pas l'erreur d'attendre au lieu de trouver une solution. Publicité Avertissements Lorsque vous vous sentez déprimé, évitez d'utiliser des drogues ou de l'alcool. L'abus de ce genre de substances peut devenir une dépendance et vous allez avoir des problèmes pour le reste de votre vie. Si vous avez besoin d'aide et si vous avez des pensées suicidaires, appelez le 112 [29] . Publicité Références À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 73 377 fois. Cet article vous a-t-il été utile ? Abonnez-vous pour recevoir la newsletter de wikiHow! S'abonner Seforcer à tisser le lien social, en se trouvant des activités, en discutant avec des amis. Voilà le meilleur remède. Ce n'est pas le plus facile à faire quand ça ne va pas, mais il faut se forcer. Quand la machine sera repartie, ça deviendra un plaisir. Si tu n'y arrives vraiment pas, n'hésite pas à te pencher du côté du corps
Je suis Nathy LaBell, une femme pleine de vie et d’envie, et suis à la fois auteure de plusieurs livres de croissance personnelle. J’ai à cœur de vous BONHEURISER », à savoir, vous livrer des tips pour positiver au max », pour insuffler de l’espoir, de la joie, de la bonne humeur. Mon concept Je Positive Au MaX » n’est pas une invitation à positiver à outrance, ni être dans le monde des bisounours, non… Le Je Positive Au MaX » est une philosophie de vie qui demande de faire son max », en soi, donner son meilleur, faire le détail de plus qui marquera une grande différence. Nous émettons en moyenne 60 000 pensées par jour et la plupart d’entre elles sont négatives. Il nous faut absolument agir pour ne pas subir nos pensées… et reprendre le contrôle de nos pensées, car ce à quoi on pense, on en fait l’expérience. C’est là que positiver est intéressant. Et qu’est-ce que positiver ? Selon moi, positiver c’est inviter le soleil dans sa vie et laisser aller les tempêtes, les nuages. Positiver, c’est adopter une attitude positive, et choisir de prendre les choses du bon côté, en vue de vivre un certain bonheur. Et, le bonheur, c’est quoi ? Selon moi, le bonheur est un état d’esprit, où on éprouve un certain contentement durable. Bien entendu, il existe autant de définitions sur ce qu’est le bonheur, qu’il existe d’individus. C’est une notion propre à tout un chacun. Tout part de la pensée. Et, c’est en pensée que l’homme est soit heureux ou malheureux, puis si on regarde bien, l’homme souffre souvent plus de ce à quoi il pense que de ce qu’il vit vraiment. On peut aisément dire que notre niveau de bonheur dépend donc de la façon dont nous gérons nos pensées. Comment pouvons-nous gérer au mieux nos pensées et rester une personne positive malgré un contexte compliqué ? Je vous propose donc 20 clés pour réussir à positiver Choisir d’être optimiste. En choisissant d’être optimiste, on s’engage à voir le bon, le beau, et le bénéfique en toute situation. Reconnaître ce qui est. Ne nions pas ce qui se vit en nous et autour de nous. Voyons les choses comme elles sont, affrontons ce qui arrive. Accepter ce qui est. Acceptons autant que possible ce qui est… car résister à ce qui est occasionne de la souffrance. Les épreuves offrent pourtant une occasion de croissance. Choisir son camp. Cette clé consiste à se dire que les choses sont temporaires. Rien ne dure éternellement. Choisir son camp, c’est choisir de ce que l’on veut vraiment vivre. Relativiser. C’est prendre le temps de choisir sa réaction, car c’est le seul pouvoir que nous avons face à ce que nous rencontrons et vivons. Bouger. Bougeons, restons dans l’action… Vidons-nous l’esprit… Faisons du sport, de la danse, ou autre. Faire preuve de gratitude. Faisons autant que possible un état des lieux de ce qui va déjà malgré tout… Et quand on fait preuve de gratitude, on se remplit de l’intérieur, et cela nous rend heureux et plus positif. Rester focus sur ce qui compte pour nous. L’énergie circule là où va notre attention, de ce fait, il nous faut absolument nous concentrer sur ce qui compte, ou ce qui a du sens pour nous. Occuper son esprit positivement. Saturons notre esprit de pensées positives car, tel un homme pense en son cœur, il en fait l’expérience. Sourire. Sourions autant que possible, faisons preuve d’humour, cela chasse la morosité et invite la félicité dans notre vie. Quand on sourit, on ne peut pas être triste en même temps. Les deux humeurs ne cohabitent pas simultanément. Utiliser un vocabulaire positif. Veillons sur la teneur de nos propos et employons autant que possible des mots constructifs et un vocabulaire valorisant, positif. Booster sa positivité. Boostons notre positivité grâce à la lecture, ou l’écoute de podcast inspirants, ou de vidéos motivantes, etc. Mettre plus de conscience dans notre vie et observer ses pensées. Stoppons les pensées négatives et remplaçons-les par des pensées positives, constructives. Tenir un journal. Tenons un journal chaque jour, et concentrons-nous sur ce qui fonctionne et va déjà bien dans notre quotidien. Restons axés sur ce qui nous apporte du bonheur. Changer son angle de vue. Regardons autant que possible le bon côté des choses. Persévérer et choisir d’avancer. Persévérons autant que possible, et nous nous porterons au mieux. La persévérance, paie. L’abandon, ruine. Choisissons alors d’avancer car sa vie, on la gère, on n’a pas à la subir. Cesser de se plaindre. L’énergie que l’on prend pour se plaindre est la même que celle qui nous permet de bâtir quelque chose de bien. Employons alors au mieux notre énergie, ne la gaspillons plus à ruminer ce qui ne nous fait pas de bien. Pratiquer l’autosuggestion, les affirmations positives. Répétons-nous des phrases positives, nous parviendrons ainsi à en convaincre notre subconscient. Ce que nous répétons, au quotidien, avec conviction, deviendra notre réalité. Penser à faire du bien aux autres. Ceci peut être une clé surprenante… Mais elle est essentielle. Faire du bien à autrui nous nourrit et nous rend heureux. Faire du bien aux autres, c’est se faire du bien ! Couper court à ce qui est toxique. Pensons à nous créer un espace sain et plus serein et coupons court à toutes ressources toxiques ex. TV, ou lectures qui ne délivrent que des faits négatifs, etc. Bien entendu, je ne parle pas d’ignorer ce qui se passe mais ne pas les cultiver au point de les inviter dans notre vie. Je viens de vous offrir 20 clés pour nous aider à réussir à positiver. Renforcez ainsi votre positivé et choisissez quelques-unes de ces clés, et faites-en une habitude. Vous verrez, vous vous porterez bien mieux. Et autant que possible, intéressez-vous plus à ce qui vous met en joie et davantage à ce qui vous rend heureux, et non l’inverse. 📌 Pour aller plus loin Je vous invite à découvrir mon livre Pense Et Positive » qui vous entraînera au quotidien à adopter une attitude plus positive, constructive et épanouissante. Rencontrez-moi aussi en me rejoignant sur les réseaux sociaux, pour recevoir d’autres tips positives FB ou Instagram Merci, et à bientôt. Nathy LaBell, par Nathy LaBell Nathy LaBell, de son vrai nom Nathalie SOHOU, est une auteure de plusieurs livres de croissance personnelle. Chaque jour, elle a à coeur de BONHEURISER... Visiter le site web Écrire à Nathy LaBell Suivez Nathalie SOHOU sur les médias sociaux Cet article vous a-t-il été utile ? Partagez-le avec vos amis! Annonces de Nathalie SOHOU Dernières publications de Nathalie SOHOU Toutes les publications de Nathalie SOHOU Top articles du mois Vous aimerez aussi À propos de l'article " 20 astuces pour réussir à positiver chaque jour " Publié par Nathalie SOHOU dans Développement personnel le 24 novembre 2020Vous étes invités à reproduire cet article en incluant le nom de l'auteur, un lien vers la source original et la mention " Article trouvé sur Les Mots SuiteAvis de non-responsabilité Les propos et les conseils de cette publication, incluant les produits et services offerts, sont le point de vue de son auteure, de ses croyances, de son expérience de vie et/ou professionnel. Les Mots est un magazine collaboratif d'inspirations ouvert à tous, donc, nous nous dégageons totalement de toutes responsabilités du résultat de son application. Pour toutes problématiques de santé physique et/ou psychologique, il est conseillé de choisir avec discernement et de consulter un spécialiste médecin, psychologue, services sociaux, etc. afin d’arriver à mettre l’information dans le contexte de votre réalité.
Astucespour toujours rester positif même quand tout va mal. Rester toujours positif, quelles que soient les situations, demande le respect d'un certain nombre de critères. Il s'agit de : Rester positif. La première chose à ne pas perdre de Votre zone de confort est un ensemble d’habitudes, souvent des automatismes et de comportements que nous effectuons qui nous rassurent. Vous vous demandez sûrement ce qu’est la zone de confort, pourquoi cherche-t-on à tout prix à s’en évader et surtout comment s’y prendre ? Vous êtes au bon endroit pour trouver les réponses à vos questions. C’est parti ! Qu’est-ce que la zone de confort ?Pourquoi est-ce important de sortir de sa zone de confort ?Être en sécurité n’est qu’illusion qui se transforme en véritable piègeDécouvrir pour s’épanouir, apprendre et obtenir des opportunitésSe rendre dans la zone de performance optimaleReprendre le contrôle de sa vie10 conseils et astuces pour sortir de sa zone de confort1. Définir les frontières de sa zone de confort2. Se fixer des objectifs3. Oser sortir de sa zone de confort et affronter ses peurs4. Ne craignez pas l’échec5. Prenez des risques6. Positivez7. Triez8. Lâchez votre portable9. Dormez seul à l’hôtel10. Voyagez !Liste d’actions et de défis personnels pour sortir de sa zone de confort Qu’est-ce que la zone de confort ? La zone de confort, votre zone de confort est par définition, un ensemble d’habitudes, souvent des automatismes et de comportements que nous effectuons qui nous rassurent. C’est en quelque sorte, un état psychologique dans lequel on se sent en sécurité et à l’aise. Brené Brown, professeure et chercheuse à l’Université de Houston, définit la zone de confort comme l’espace où l’incertitude, le manque et la vulnérabilité sont réduis au minimum et où nous croyons que nous aurons accès à suffisamment de nourriture, d’amour, d’estime, de talent et de temps. Où nous avons le sentiment d’avoir un certain contrôle. » L’être humain va donc rester naturellement dans cette zone connue, pour ne pas risquer de perdre ce confort. L’espace où l’incertitude, le manque et la vulnérabilité sont réduis au Brown La zone de confort Il ne faut pas oublier que cette zone est très différente d’une personne à l’autre. Vous pourrez vous sentir très à l’aise au foot, alors qu’un proche sera plus en sécurité en art-plastique. Nous pouvons croire que cette zone nous rassure, nous fait du bien et que c’est dans celle-ci que nous serons le ou la plus Mais la réalité est bien différente que ce que l’on pense. Le problème de cette super zone » est que si l’on y reste, il sera plus compliqué de découvrir, d’apprendre, d’expérimenter de nouvelles choses, de rencontrer de nouvelles personnes et donc de s’épanouir et vivre pleinement. De plus, si nous ne changeons rien à notre vie, aucun changement ne se fera tout seul. Nous aurons donc du mal à avancer et à entreprendre. Enfin, le signal d’alerte pour se bouger à sortir de sa zone de confort est une surdose de monotonie et de routine. Pourquoi est-ce important de sortir de sa zone de confort ? Sortir de sa zone de confort… mais pourquoi faire après tout, si on s’y sent bien ? Tout simplement pour être plus épanoui et heureux ! C’est pourquoi, nous allons vous expliquer quelles sont les raisons qui vous pousserons à sortir de votre comfort zone ». Eh oui, on parle anglais ici. Pourquoi aller à l’extérieur de sa zone de confort ? Être en sécurité n’est qu’illusion qui se transforme en véritable piège Nous nous pensons en sécurité, bien au chaud dans notre zone de confort, tranquillement installés, pendant que d’autres vivent une vie de rêve, faite de voyage, de luxe et d’opportunités. Mais, ces personnes n’ont pas eu de la chance, elles l’ont provoquée, elles l’ont créée. Elles sont sorties de leur zone de confort pour vivre la vie qu’elles avaient envie de mener. Alors, si vous souhaitez rester en sécurité, vous savez dès à présent qu’elle n’est qu’une illusion et va vous enfermer dans une vie bien tranquille et monotone. La zone de confort va devenir votre propre piège. Découvrir pour s’épanouir, apprendre et obtenir des opportunités Quand nous sortons de cette zone rassurante et sécurisée, nous apprenons de nouvelles choses sur le monde qui nous entoure et sur nous-même. Ce n’est pas en restant tranquillement dans une bulle de sécurité que nous pourrons nous épanouir et avoir des opportunités. La découverte est ici la clé de l’épanouissement, des opportunités et de l’apprentissage. En effet, quand nous sommes enfant, tout est nouveau et nous apprenons en découvrant de nouvelles choses. Il est aussi vrai que sortir de sa zone de confort va nous procurer une sensation de liberté qui est plus attractif que notre petite routine. En accomplissant de nouveaux objectifs, nous allons dépasser nos limites. Cela va créer un choc au corps et à l’esprit, ce qui va augmenter la confiance en soi. Enfin, si nous sommes entreprenants, de nouvelles opportunités toujours plus grandes, s’offriront à nous. Se rendre dans la zone de performance optimale Au-delà de la zone de confort, se trouve la zone de performance optimale, appelée aussi la zone de développement. C’est celle du défi atteignable nous avons les capacités d’atteindre cet objectif même s’il nous faudra fournir des efforts et améliorer nos compétences. Savoir faire preuve d’audace face à un problème ou une situation du quotidien inhabituelle est essentiel pour avancer dans la vie ! Les conséquences de cette sortie sont de l’anxiété ou du stress positif. De plus, cette mise en difficulté va énormément nous apporter sur le plan personnel une ouverture d’esprit, du plaisir, de l’accomplissement, du développement, de la satisfaction. Reprendre le contrôle de sa vie Sortir de sa zone de confort, va nous faire évoluer, grandir, ça vous l’aurez compris. Mais, cela va aussi nous permettre de reprendre réellement le contrôle. Nous avons tout à gagner, à sortir de votre zone de confort Des expériences plus riches, plus palpitantes, plus follesUn boost de motivation et un regain d’énergie pour le travail afin d’éviter la routine et l’ennuie qui amène au désengagementFaire le plein de confiance en soi avec des petites réussites comme preuves à soi-même que nous sommes capables de réussir, pour ensuite aller plus loinUne capacité d’adaptation et savoir affronter l’imprévuSe redécouvrir sous un nouveau jour, découvrir en nous des ressources insoupçonnéesS’ouvrir aux nouvelles opportunités et se placer aux commandes du bateau du nouveau soi-même Alors, prêt à devenir la meilleure version de soi-même en sortant de cette maudite zone de confort ? Si vous êtes prêts à changer vos habitudes, alors c’est parti ! Mais avant, voici quelques conseils pour vous en sortir c’est le cas de le dire. Sortir de sa zone de confort 1. Définir les frontières de sa zone de confort Premièrement, il est important de connaître sa zone de confort pour en sortir. Demandez-vous quelles sont les choses que vous faites par habitude et non par envie ou plaisir. Est-ce que faire le même trajet tous les matins vous rassurent car vous le connaissez par cœur ? Est-ce que vous êtes informaticien seulement parce que vous êtes fort en informatique ? Tout d’abord vous pouvez vous poser ces questions, cela vous permettra de savoir quels automatismes vous pourrez changer pour sortir de votre zone de confort. Aussi, vous pouvez dresser une petite liste de ces habitudes qui vous empêchent d’avancer, d’évoluer. Ecrire noir sur blanc ce qui peut être changé peut vous aider à aller encore plus de l’avant et à agir réellement. 2. Se fixer des objectifs Une fois que vous êtes au point sur quels sont vos automatismes, vous pouvez vous fixer quelques petits objectifs atteignables. C’est le commencement. Une fois que vous franchissez les barrières de votre zone de confort, vous pouvez rajouter des objectifs qui vous permettront d’aller encore plus loin. Pour cela, prenez un stylo, un carnet et vous dressez une belle liste avec des petits défis quotidiens. Vous verrez, plus on avance, plus la motivation devient grande et plus vos limites seront repoussées. C’est ludique et pratique, alors pourquoi pas se lancer ? 3. Oser sortir de sa zone de confort et affronter ses peurs La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. Albert Einstein Avant de sortir de sa zone de confort, il est possible que vous ayez des craintes, des doutes, des appréhensions car ces situations vous mettent en danger » d’une certaine manière. Rassurez-vous, c’est normal tout le monde a peur quand il ne se sent pas en sécurité. Sachez aussi que les craintes sont dans votre esprit ou votre imaginaire. La première fois vous aurez sûrement peur, la deuxième et la troisième aussi. Peut-être encore un peu la quatrième. Mais plus vous allez surmonter votre peur, plus elle sera faible. Susan Jeffers, docteure en psychologie, explique que pour vaincre ses peurs, il faut se lancer, il faut agir. Et une fois domptées, les peurs peuvent devenir de réelles forces. Préparez-vous bien pour être en confiance. Forcez-vous à sortir de votre zone de confiance. Et demandez de l’aide à un ou une proche qui peut vous soutenir et sautez le pas avec vous. Alors, luttez contre cet instinct naturel qui vous pousse à résister au changement et à préférer le connu. Agissez pleinement pour en sortir gagnant. Eh oui, petits pas par petits pas, vous créez votre propre chemin vers la sortie et passerez haut la main les obstacles pour être pleinement épanoui. 4. Ne craignez pas l’échec Nous avons tendance à voir l’échec comme un véritable drame. Mais pourquoi avons-nous peur de l’échec ? Car comme disait ma grand-mère, c’est en tombant qu’on apprend. Comme au ski ou comme en amour. Il est vrai que ceux ou celles qui n’essayent jamais n’échouent jamais. Mais ils ou elles n’avancent jamais non plus. Alors, essayez, vous tomberez peut-être mais vous aurez appris de vos erreurs et vous pourrez recommencez jusqu’à ce que vous réussissiez. C’est en tombant qu’on grand-mère Alors, voyez l’échec comme un apprentissage et non comme la fin du monde. En adoptant un tout autre regard sur ces loupés, vous changerez d’état d’esprit et vous serez enfin prêts à sortir de votre zone de confort. 5. Prenez des risques Qu’est-ce que vous risquez à prendre des risques ? Bon, blague mise à part, essayez de nouvelles choses et même si vous n’aimez pas, tant pis, vous le saurez et vous n’aurez pas de regrets. Soyez honnête avec vous-même. Eloignez-vous de vos proches, changez de carrière, si rester vous empêche d’avancer. Dans sa vie professionnelle, prendre des risques peut paraître insurmontable mais cela est vraiment libérateur. Alors, prenez des risques, bousculez vos habitudes routinières, envoyez tout balader pour enfin vivre votre vie à 3000 %. Ok je m’emballe, mais il faut bien se motiver. 6. Positivez Pensez positif vous aidera à avancer et à voir du bon dans des situations qui vous faisaient peur. Alors, voyez le verre à moitié plein et pas celui à moitié vide. Pensez au gain et non à la perte On peut même citer la youtubeuse Léna Situations et son +=+ le positif attire le positif. Attention, ne tombez pas dans le piège du positif même quand ça ne va pas laissez aller vos émotions négatives, acceptez-les, cela vous fera le plus grand bien. Alors, voyez les changements comme des opportunités et non comme des pertes. Et même si cela ne fonctionne pas, vous aurez essayé ! 7. Triez Difficile d’y voir clair dans votre vie ? Faites le tri ! Il n’est pas toujours simple de se débarrasser d’objets dont on ne se sert pas car nous y tenons ou cela nous rappelle des souvenirs. Sachez que tout ce confort matériel est inutile et vous en débarrasser vous fera vous sentir libre et tellement plus léger. En plus, vous pourrez le donner à des personnes qui en ont vraiment besoin. 8. Lâchez votre portable Ah ! ce bon vieux portable, agrippé à notre main en permanence… Nous nous cachons derrière des écrans, en sécurité, dans notre zone de confort. Mais, rencontrer des personnes dans la vraie vie va booster votre confiance en vous et va vous alléger d’un stress que vous aviez quand vous deviez parler aux inconnus. 9. Dormez seul à l’hôtel Et pourquoi pas, après tout ? Se retrouver seul va vous permettre de gagner en autonomie et de vous sentir capable de surmonter vos peurs. De plus, passez du temps avec vous-même vous apportera de nombreux bienfaits psychologiques et vous permettra de prendre soin de vous. Dormir seul dans un hôtel est une petite aventure, mais une aventure quand même, alors tentez-la ! 10. Voyagez ! Partir à l’aventure est une expérience des plus enrichissantes et vous fera quitter votre zone de confort. Si vous partez c’est encore mieux, vous pourrez faire de nouvelles rencontres, découvrir de nouvelles cultures, saveurs, langues et vous évader réellement. Un voyage va faire exploser votre zone de confort, de nombreuses opportunités pourront s’offrir à vous et vous en sortirez grandi. Liste d’actions et de défis personnels pour sortir de sa zone de confort Pour finir, voici des exemples d’actions concrètes et de défis personnels que vous pouvez vous lancer. Notez bien que chaque personne à sa propre zone de confort donc ces défis n’en sont pas forcément un pour tout le monde. Ce sont simplement des idées d’objectifs concrets pour vous inspirer mais vous devrez adapter en fonction de votre personnalité ! Parler à un inconnu dans la rueSe lancer un défi sportif courir un semi marathon, sauter en parachute, faire de l’escalade…Prendre la parole en publicÊtre force de proposition face à son supérieur hiérarchique au travailSurprendre son partenaire au moins une fois par semaineS’inscrire à des cours de théâtreOrganiser un week-end avec un groupe d’amisPrendre un serpent autour de cou ou toucher une araignéeNager avec des requinsFaire une action caritativeVoyager dans un pays du tiers monde sans confortSe lever tôt tous les matins pendant une moisNe plus se coucher après minuitNe plus boire d’alcool ou arrêter de fumerArrêter d’acheter des choses inutilesNe plus aller au fast food, manger sainementArrêter de se maquiller ou commencer à le fairePerdre du poidsFaire au moins une fois du sport par semaineParticiper à speed datingSe lancer un nouveau défi chaque jour, semaine ou moisAller au travail à pieds ou en véloArrêter de râleretc. Vous aurez compris qu’il est important de sortir de sa zone de confort, mais sachez qu’il est tout aussi crucial de retourner dans celle-ci dès qu’on en ressent le besoin, pour recharger ses batteries. Il ne faut pas se forcer à tout, le plus important c’est d’essayer.
26oct. 2021 - Notre société confond souvent optimisme et utopisme, associant l’approche positive à une forme de douce bêtise ou de déconnexion avec la réalité. La réalité est bien plus complexe, notamment sur la question du dosage : un pessimiste invétéré ne sera pas plus lucide qu’un utopiste acharné. Alors,
On vous répète souvent qu’il faut chasser les pensées négatives, et qu’à l’inverse, le positif attire le positif ». Avoir des pensées positives est un objectif nécessaire, mais souvent difficile à atteindre. Des moyens simples et néanmoins efficaces existent, et les mots que l’on prononce au quotidien sont autant d’outils faciles à utiliser. Pourquoi les paroles positives ont-elles un impact fort sur notre bien-être ? Comment les utiliser ? Quest-ce qu’une parole positive ? Je vais vous raconter une petite anecdote. Quand ma fille avait 5 ans, elle était très anxieuse. Par exemple, quand nous devions aller faire une course, elle s’inquiétait en se demandant si nous allions trouver une place sur le parking. Je trouvais à l’époque que ce n’était pas du tout le genre d’inquiétude que devait ressentir une petite fille. Comme tous les parents, je lui disais ne t’inquiète pas ! » ou ne stresse pas comme ça ! ». Son anxiété était compliquée à gérer au quotidien, et je me suis tournée vers une psychologue pour comprendre et savoir mieux réagir. Elle ne m’a donné qu’un seul et unique conseil lui parler sans négation. J’ai dû remplacer Ne t’inquiète pas » par Rassure-toi ! ». Aujourd’hui, elle a 16 ans, et c’est elle qui me dit eh, maman, cool… t’inquiète, je rangerai ma chambre plus tard ! ». Comment se fait-il qu’une parole n’a pas le même effet selon qu’elle est dite avec une forme grammaticale négative ou affirmative, alors que le sens est le même ? Pourquoi une parole, ayant un sens positif, n’atteint-elle pas son objectif si elle est dite avec une négation ? Vous me suivez ? Pour résumer, ce qui nous préoccupe dans cet article, c’est l’impact des tournures de phrases affirmatives ce qu’on appelle ici les paroles positives ». Comment agissent-elles sur nous ? À l’inverse, quel est l’effet de paroles négatives, c’est-à-dire utilisant la négation ? Comment de simples tournures de phrases » peuvent-elles influer profondément sur notre bien-être ? Le cerveau ne comprend pas les négations Nous savons aujourd’hui que le cerveau ne fait aucune différence entre une phrase utilisant la négation et une phrase affirmative. Le cerveau ne reconnaît tout simplement pas la négation. C’est troublant, n’est-ce pas ? Et pourtant, c’est très simple à comprendre. Si je vous dis ne pensez pas à des chaussures rouges ». Que faites-vous ? Vous pensez à des chaussures rouges. Et vous vous dites ensuite qu’il ne faut pas y penser. C’est exactement le cheminement suivi par le cerveau il ne comprend pas d’emblée le fait de ne pas faire quelque chose. Il imagine le faire, puis se dit qu’il ne faut pas le faire. Si on lui demande de ne pas penser à un objet, il imagine d’abord l’objet puis s’ordonne le fait de ne pas y penser. Le cerveau ne comprend tout simplement pas la négation et les conséquences de cette évidence pratique sont hallucinantes. Imaginez un instant ce que fait votre cerveau si je vous dis de ne pas vous inquiéter. Il va tout simplement recevoir d’abord l’information qu’il faut s’inquiéter. Et il devra ensuite faire l’effort de ne pas envoyer à votre corps les informations liées à l’inquiétude. Entre temps, vous ferez inconsciemment les frais d’une inquiétude injustifiée et incompréhensible, mais pourtant bien réelle, et qui fera les mêmes ravages que si je vous avais conseillé de vous inquiéter. Je comprends mieux à présent à quel point j’alimentais l’anxiété de ma fille quand je tentais de la rassurer en lui disant de ne pas s’inquiéter, de ne pas stresser et de ne surtout pas paniquer. Je lui disais tout simplement qu’il était normal de s’inquiéter, et qu’elle pouvait stresser et paniquer ! Posez-vous deux minutes et réfléchissez aux paroles de réconfort que vous dites à vos amis ou à votre conjoint ne prends pas les choses trop à cœur », ne sois pas si dur avec toi »… Pensez aux conseils que vous assénez à vos enfants ne cours pas trop vite », ne mets pas le doigt dans ton nez », arrête de manger la bouche ouverte » , ne saute pas dans la flaque d’eau », ne saute pas sur le canapé » , etc. Sans le vouloir, vous leur dites tout simplement l’inverse du message que vous voulez leur faire passer. Vous y penserez la prochaine fois que vous demanderez à votre enfant de ne pas courir, et que vous constaterez qu’il se met justement à courir encore plus vite ! En appliquant tout simplement des tournures négatives à nos phrases, nous incitons en réalité nos interlocuteurs à faire ce que nous ne voulons pas qu’ils fassent. Ce phénomène est valable pour les petits actes du quotidien, mais le vertige nous prend quand nous prenons conscience de la façon dont nous parlons d’avenir avec nos ados par exemple. Que se passe-t-il en réalité quand on pense prodiguer nos plus précieux conseils du genre ne laisse pas tes rêves s’envoler », ne laisse pas les autres te marcher dessus », ne laisse pas le monde changer la personne que tu es », voire même n’oublie pas d’être heureux »… Je vous laisse traduire ce qu’en réalité leur cerveau comprend. Nous sommes d’accord, nous ne voulions pas leur transmettre ces messages négatifs. Voyons maintenant ensemble comment rétablir une communication efficace car tout simplement positive. 6 clés pour utiliser les paroles positives au quotidien Pour mieux vivre le quotidien, et insuffler une vision de positivité dans votre vie, il vous faudra traquer les paroles de négation et les remplacer par des paroles affirmatives. 1. Mettez-vous en alerte Soyez attentif à vos paroles, aux mots que vous prononcez au quotidien, dans les discussions avec vos amis, avec votre conjoint, ou dans les réprimandes destinées à vos enfants. Exercez-vous à prendre conscience des paroles que vous dites. 2. Identifiez des tournures négatives dans vos écrits Il est plus facile de commencer par les écrits ils permettent de prendre du recul, de se relire, de réfléchir à l’utilisation de nos mots. Soyez attentifs, par exemple, aux mails professionnels que vous écrivez. Il est fort probable que vous finissiez certains écrits par n’hésitez pas à me contacter ». 3. Repérez les tournures négatives de vos paroles En étant plus attentif à ce que vous dites, vous pourrez identifier les formulations récurrentes. Lorsque l’on vous demande comment vous allez, il se peut que vous répondiez souvent pas trop mal ». Les discussions avec vos proches sont également un réservoir de formulations négatives sous couvert de volonté de bienveillance. Repérez-les. C’est déjà un bon début. Notez-les par écrit de façon à pouvoir y réfléchir par la suite et trouver des formules positives de substitution. 4. Respirez et prenez le temps de répondre Quand vous arriverez à identifier, lors d’une discussion, des formulations négatives qui viennent à votre esprit, mais que vous n’avez pas encore dites, laissez-vous le temps nécessaire pour respirer profondément et visualisez la situation de façon positive. Il est nécessaire d’avoir une analyse large de la situation. Ainsi, si vous voyez votre enfant courir trop vite dans la rue, il faut analyser le fait qu’il coure trop vite et qu’il devrait marcher lentement, et que pour marcher lentement, il faudrait qu’il soit calme. Lui dire reste calme » nécessite plus de temps d’analyse que de crier une interdiction. Il s’agit en fait d’identifier le fond du message à communiquer. 5. Remplacez les formules négatives par des affirmations positives Forcez-vous à tourner vos phrases de façon affirmative. À force de pratiquer cet exercice, vous verrez que vous mettrez de moins en moins de temps à réfléchir, et que les formules positives vous viendront de plus en plus naturellement. Par exemple, vous pouvez remplacer ne t’inquiète pas » par tout va bien » ; arrête de stresser » par rassure toi » ; n’oublie pas d’où tu viens » par rappelle-toi d’où tu viens » ; ne cours pas » par reste calme » ; ce n’est pas grave » par c’est bien » ; n’hésitez pas à me contacter » par contactez-moi » ; n’oublie pas » par souviens-toi » ; tu ne viens pas ? » par tu viens ? ». 6. Élargissez vos paroles positives À force d’utiliser des tournures positives dans les mots du quotidien, vous serez plus à même de penser positivement dans tous les domaines. Par exemple, dans le domaine spirituel, vous ne vous direz plus je ne veux plus souffrir » mais je veux me sentir heureux ». Le cerveau s’habitue, à force de répétitions affirmatives, à penser positif. Vous constaterez rapidement les nombreux bienfaits sur votre façon de communiquer et d’envisager la vie. Cet article “Parler positivement pourquoi et surtout comment ?” est un article invité de Magaly Moisan-Gobin, du site Maialaplume. Vous avez apprécié l'article ? Notez-le ! Noté pour 54 votes Nous sommes désolé que cet article ne vous ait pas plu ! Comment pouvons-nous l'améliorer ? Merci pour votre retour ! The following two tabs change content articles Rédactrice web freelance, je rédige pour vous des textes sur des sujets variés. Je mets à votre disposition ma passion pour l’écriture et ma curiosité inépuisable pour le monde qui nous entoure. Votre commentaire peut ne pas être affiché immédiatement, il pourra alors être publié après validation par l'administrateur.
Checkout this great listen on Audible.com. Comment rester zen, détendu et positif quand tout va mal ou que l'on traverse une période difficile ? Dans ce podcast, je pense vous surprendre avec ma réponse et vous parle de la notion de positivité toxique ! Le but de la vi Savoir apprécier sa propre compagnie et s'autoriser le plaisir en solitaire... getty "La solitude". Un état présenté la plupart du temps comme une punition, une situation subie, une épreuve, voire une honte. Dans un monde où la popularité et le nombre de followers qui vous suivent sont des critères de réussite, un solitaire est forcément suspect ou malheureux. Pourtant, alors que nous n'avons jamais été aussi connectés, qu'il est pour ainsi dire devenu quasiment impossible d'être injoignable, le sentiment de solitude n'a jamais été aussi prégnant. Selon une enquête Ifop réalisée pour la Fondation de France en juillet 2015, 80% des Français avouent ainsi que la solitude est devenue une préoccupation majeure. Une crainte justifiée puisque selon la même étude, un Français sur huit souffre de solitude. S'il faut distinguer l'isolement de longue durée des instants de solitude choisis ou sereinement gérés, savoir se contenter de sa propre compagnie est pourtant bénéfique. Loin de n'être qu'une source de souffrance ou de déprime, la solitude peut même être nécessaire à la connaissance de soi et des autres. Elle contribue par ailleurs au développement de la créativité, assure le psychothérapeute Hervé Magnin, auteur de La Positive Solitude éd. Jouvences. Témoignages et éclairages. Pour positiver sa solitude, il faut s'entendre avec soi mêmeQuatre jours et quatre nuits dans une maison de campagne sans téléphone portable, sans télévision, ni radio, ni même animal de compagnie, ni personne. C'est le régime auquel s'est astreint Hervé Magnin pour pouvoir réfléchir de manière réaliste à la condition solitaire et livrer ses impressions dans La Positive Solitude. "Je comptais m'extraire du monde plus longtemps afin d'écrire ce livre qui était à l'origine une commande de mon éditeur. Finalement, quatre jours ont suffi. Preuve s'il en était que la solitude est propice à la créativité et à une certaine efficacité", raconte le psychothérapeute. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Pointant la différence entre l'isolement, qui serait pour lui la version subie de la solitude et la faculté d'être seul sans ressentir instantanément de la tristesse ou de l'angoisse, Hervé Magnin souligne que pour parvenir à positiver cet état, "il faut avoir une certaine estime de soi" "Il faut s'entendre avec soi-même, se satisfaire de sa propre compagnie, ce n'est pas toujours facile, cela peut nécessiter un travail sur soi." "Il faut avoir un regard indulgent et bienveillant sur sa solitude. Travailler à accepter car on ne sait pas combien de temps cela durera ce temps de vie sans conjoint, sans amoureux. Travailler à ne pas se sentir paria, pathétique, hors norme", témoigne Cécile, jeune mère séparée. S'autoriser le plaisir en solitaireIl faut aussi, poursuit Hervé Magnin, s'affranchir de la culpabilité souvent infligée par une société ayant tendance à trouver suspecte la capacité à prendre du plaisir seul. Il n'y a qu'à voir la perception que l'on a de "l'expression 'plaisir solitaire', qui renvoie directement à la masturbation. Une pratique taboue dans notre société, même aujourd'hui". S'adonner trop souvent à des activités seul est encore parfois jugé comme une forme d'égocentrisme. "Pourtant, insiste Hervé Magnin, s'il n'y a pas de 'recettes toutes faites' pour positiver la solitude, le maître mot est bien celui-ci le plaisir. Cela peut passer par l'écriture, la marche en forêt, le voyage, un film, le dessin ou la masturbation. Peu importe tant qu'il y a de l'agrément." LIRE AUSSI >>> Voyager seule pour mieux se redécouvrir? Un conseil appliqué à la lettre par Juliette, qui dit aimer ses amis, son mari et passer du temps avec eux. Mais, confie-t-elle, "être constamment en société demande une certaine dose d'énergie, être seule me ressource. J'adore être seule pour me lever tôt, quand tout le monde dort encore et profiter du silence, du chant des oiseaux... Pour lire, méditer, faire du sport. Aller au cinéma seule est un plaisir pour une certaine catégorie de films. Je trouve formidable d'être seule et de mieux se connaître. C'est un besoin pour moi, que mon mari -qui lui déteste être seul- ne comprend pas." Marie quant à elle confie savourer sa nouvelle 'vie en solo' "Elle me permet de vivre à mon propre rythme, de méditer et d'écrire tout à loisir, de ne plus m'épuiser en courses et en ménage, je ré-investis mon chez moi, le décore et l'organise différemment, me régale de rencontrer des amis à l'extérieur et de retrouver ensuite le cocon du silence." "Dans ce cheminement que je fais pour accepter ma nouvelle situation, je me suis efforcée de définir les activités que j'aime et de les mettre en oeuvre, ajoute Cécile. Ne pas se réfugier derrière la fatigue, la peur de sortir seule, de faire des activités seule. Je fais pas mal de sport. Et surtout, je vais au théâtre, au ciné, au concert seule. Ça n'est pas un cap facile à passer, mais ça évite de me priver de ce que j'aime, à cause de la solitude." "A vivre seul on apprend à choisir ses relations"L'autre bénéfice à retirer d'une solitude bien vécue selon Hervé Magnin, réside dans le fait qu'elle permet de "choisir" les moments où l'on va vers l'autre et de choisir également cet autre. "Par peur d'être seul, on accepte souvent de s'entourer de personnes avec lesquelles finalement on se sent malgré tout seul. Ne plus redouter de ne pas être constamment entouré offre cela, la liberté d'aller vers ceux qui nous apportent quelque chose." "A vivre seul, on apprend à choisir ses relations au lieu de les supporter, de s'en accommoder. Sauvage et sociable tout à la fois, l'individu solitaire ne se croit pas obligé d'aller à des repas de famille, de participer à des fêtes dont les convives l'ennuient. Et de cela il ne se sent nullement culpabilisé parce qu'il est en accord avec ce qu'il fait", écrit quant à elle Jacqueline Kelen dans son ouvrage L'esprit de solitude éd. Albin Michel. "A vivre seul, au moins quelques années, on apprend à passer du besoin qui ligote au désir et au rêve qui ouvrent grand l'espace en soi et autour de soi", écrit encore Jacqueline Kelen. Et d'ajouter "Beaucoup s'imaginent que l'amour va mettre fin à leur solitude, alors que c'est la solitude qui permet l'éclosion et la durée de l'amour." Un constat approuvé par Céline, 36 ans. "J'ai passé plusieurs années avec mon ancien compagnon alors que je ne l'aimais plus, par crainte uniquement de ne pas savoir être seule. Et puis un jour nous avons décidé de nous séparer. Contrainte et forcée, j'ai dû faire connaissance avec moi-même. Et j'ai découvert que je n'étais pas si désagréable à fréquenter! Aujourd'hui, je viens d'entamer une relation amoureuse, mais je sais que je n'ai pas un besoin vital de vivre à deux. Et curieusement, cela rend cette rencontre bien plus intense, parce que je l'aime pour lui, pas parce qu'il représente une porte de sortie de mon célibat". Accepter aussi la peur d'être seuleNul besoin d'être célibataire pour goûter la solitude. Anne chérit ainsi "toutes ces journées seule à la maison durant lesquelles je peux créer, dessiner, peindre et surtout faire une licence d'arts plastiques, rêve de ma vie réalisé à 55 ans. Je suis bien avec moi-même. Et tous les lundis matin je me dis 'Enfin seule!'." Mais attention, tempère Cécile "c'est très facile d'apprécier sa solitude lorsqu'elle est une parenthèse, un moment pour soi dans une vie de famille et de couple 'traditionnelle'. C'est lorsque la solitude devient un mode de vie célibat principalement et garde alternée en sus qu'il devient fondamental et difficile de la transformer en une expérience riche. Un vrai challenge, très compliqué dans notre société où le couple reste la valeur phare." Une difficulté que confirme Sandra, 44 ans "je n'ai jamais vécu en couple et je n'aurai jamais d'enfants, j'en ai désormais fait mon deuil. Alors bien sûr je sais comment tromper la solitude, je suis inscrite à des activités sportives, je pars en vacances via des associations comme Terre d'Aventures qui me permettent de rencontrer des gens. Mais il ne faut pas se voiler la face. C'est difficile. On se demande 'pourquoi moi', on a tout le temps l'impression qu'il nous manque quelque chose pour être aimable. Le plus douloureux, ce sont les périodes de fêtes, les anniversaires, tous ces moments que l'on préférerait célébrer à deux. Même si ma vie est remplie, que je suis épanouie professionnellement et que j'ai des aventures, parfois, cette solitude n'est pas la meilleure des compagnes." "Pour positiver la solitude, il faut peut-être avant tout en accepter ses corollaires les moments de blues et de peur", analyse Cécile, qui poursuit sa quête de sérénité après sa séparation. "On ne peut pas y échapper. Multiplier des activités, oui, mais trop en faire est aussi une fuite en avant. Ça évite de se retrouver seule dans son appart. De mon côté, je me rends compte que j'alterne des week-ends ultra remplis, où j'ai tout à fait conscience de faire du remplissage, avec des fins de semaine où je ne vois personne. Je reste à la maison et je me pose, seule avec moi-même." Caroline Franc Desages Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely
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